COMPÉTITIONS ET ENTRAINEMENTS A RUMILLY TRAIL RUNNING / ANNÉE 2023
PRESTATIONS RÉALISÉES EN 2023 PAR FRANCISCO BOGALHO ET SES POULAINS DE RUMILLY TRAIL RUNNING
CHRONIQUE COMPRENANT COMPTES-RENDUS, INTERVIEWS, RÉSULTATS ET PHOTOS
.
.
REPORTAGE PUBLIÉ LE 2 FÉVRIER 2023
ULTIME RÉVISION LE 29 MAI 2025
Pour la deuxième année consécutive, c’est avec bonheur que j’animerai ces annales.
.
.
.
RUMILLY TRAIL RUNNING SUR LE SITE WEB COURZYVITE :
– Naissance de Rumilly Running, début des entrainements et des compétitions / Années 2018, 2019 et 2020
Bientôt en ligne !
– De Rumilly Running à Rumilly Trail Running : compétitions et entrainements / Année 2021
https://www.courzyvite.run/blog/2021/12/04/competitions-et-entrainements-a-rumilly-trail-running-annee-2021/
– Compétitions et entrainements / Année 2022
https://www.courzyvite.run/blog/2022/05/28/rumilly-trail-running-competitions-et-entrainements/
– Trail Panoramic de l’Albanais : des voeux sous le signe de la mélancolie et de Rumilly Trail Running / 22-01-2022
https://www.courzyvite.run/blog/2022/01/22/trail-panoramique-de-lalbanais-voeux-dans-un-acces-de-melancolie-06-11-22/
– Francisco Da Rocha Bogalho, l’âme de Rumilly Trail Running / 17-04-2022
https://www.courzyvite.run/blog/2022/04/17/francisco-bogalho-lame-de-rumilly-trail-running/
– Mes premières foulées à Rumilly Trail Running / 21-04-2022
https://www.courzyvite.run/blog/2022/04/21/mes-premieres-foulees-a-rumilly-trail-running-21-04-22/
.
.
.
RTR AU TELETHON DE NONGLARD : LES RÉSULTATS / 26-11-2023
.
.
Le Téléthon de Nonglard :
27ème du nom (26ème pour le trail), disputé le dimanche 22 avril 2023 à Nonglard (Haute-Savoie), sous la houlette du Comité d’Animation de Nonglard.
26ème trail.
.
.
Approfondissement :
Pour davantage d’infos sur cette manifestation caritative, voir les deux reportages sur le site Web Courzyvite :
– Compte rendu de l’édition 2019 + présentation de l’édition 2021 + photos des éditions 2007, 2016, 2018, 2019, 2021 et 2022 :
https://www.courzyvite.run/blog/2021/11/27/trails-et-marches-au-menu-du-telethon-de-nonglard-pour-son-grand-retour-28-11-21/
– Traces et photos du 16,2 km et du 7,7 km en 2023 :
https://www.courzyvite.run/blog/2023/11/26/27eme-telethon-de-nonglard-traces-et-photos-26-11-2023/
.
.
Le grand parcours :
16,2 km de long pour 558 m de dénivelé.
Le classement masculin :
– Jean-Michel Greloux : 18ème en 1h29’41 ;
– Le Portugais Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR : 28ème en 1h36’09 ;
– Laurent Lemaitre : 41ème en 1h45’14 ;
– Christophe Petitot : 43ème en 1h48’31 ;
– Igor Medel : 45ème en 1h48’49 ;
– Anthony Bousson : 46ème en 1h48’51 ;
– Mohamed Halim : abandon.
Le classement féminin :
Geneviève Couapel : 9ème (59ème au scratch) en 2h02’53.
.
.
Le petit parcours :
7,7 km de long pour 265 m de dénivelé.
Le classement féminin :
Axelle Carlioz : 9ème (24ème au scratch) en 51’43.
.
.
.
RTR AU TÉLÉTHON DE NONGLARD : LES 10 PHOTOS DES 9 PARTICIPANTS / 26-11-2023
Soulignons qu’aucun RTR n’avait revêtu le séduisant maillot bleu et vert de leur club, y compris Francisco Bogalho, leur leader charismatique, pourtant très attaché à ce que ses protégés le portent. « Bizarre, vous avez dit bizarre ? »
Eh les RTR, réenfilez vite vos fameux tee-shirts qui vous transcendent et nous font rêver !
27ème édition du Téléthon de Nonglard, disputée le 26 novembre 2023.
26ème trail.
Grand parcours (16,2 km selon l’organisation ou 15,9 km selon Trace de Trail).
Entre les km 4,2 et 4,3 d’après Trace de Trail.
Dans la montagne d’Âge.
Le chemin des Cézards, peu avant l’intersection avec le chemin de la Montagne, sur la commune de Lovagny.
Au troisième plan : Jean-Michel Greloux, 18ème en 1h29’41.
Crédit image :
Jean-Christophe Bellier (Saint-Germain-sur-Rhône).
27ème édition du Téléthon de Nonglard, disputée le 26 novembre 2023.
26ème trail.
Grand parcours (16,2 km selon l’organisation ou 15,9 km selon Trace de Trail).
Entre les km 4,2 et 4,3 d’après Trace de Trail.
Dans la montagne d’Âge.
Le chemin des Cézards, peu avant l’intersection avec le chemin de la Montagne, sur la commune de Lovagny.
Au troisième plan : le très solide Jean-Michel Greloux qui écume régulièrement le podium master 5 masculin.
Crédit image :
Jean-Christophe Bellier (Saint-Germain-sur-Rhône).
27ème édition du Téléthon de Nonglard, disputée le 26 novembre 2023.
26ème trail.
Grand parcours (16,2 km selon l’organisation ou 15,9 km selon Trace de Trail).
Entre les km 4,2 et 4,3 d’après Trace de Trail.
Dans la montagne d’Âge.
Le chemin des Cézards, peu avant l’intersection avec le chemin de la Montagne, sur la commune de Lovagny.
Au deuxième plan : Jean-Michel Greloux.
Quand l’horloger de Marcelaz-Albanais a fort à faire avec la Frangypanne Sylvie Chatenoud, excellente traileuse au demeurant comme l’atteste sa 3ème place chez les dames. Au final, 3’09 les sépareront au profit du RTR.
Crédit image :
Jean-Christophe Bellier (Saint-Germain-sur-Rhône).
27ème édition du Téléthon de Nonglard, disputée le 26 novembre 2023.
26ème trail.
Grand parcours (16,2 km selon l’organisation ou 15,9 km selon Trace de Trail).
Entre les km 4,2 et 4,3 d’après Trace de Trail.
Dans la montagne d’Âge.
Le chemin des Cézards, peu avant l’intersection avec le chemin de la Montagne, sur la commune de Lovagny.
Francisco Bogalho : 28ème en 1h36’09.
Pour le fondateur et team manager de Rumilly Trail Running, il s’agissait de son ultime compète avant la mythique diagonale de la SaintéLyon qu’il étrennera, le 2 décembre, à l’occasion du 64ème opus. L’attend un programme copieux : 78 bornes, 2296 m de dénivelé positif, enfin 2155 m de dénivelé négatif.
Toute sa famille, tous ses compatriotes, et bien sûr tous ses poulains retiennent désormais leur souffle.
Crédit image :
Jean-Christophe Bellier (Saint-Germain-sur-Rhône).
27ème édition du Téléthon de Nonglard, disputée le 26 novembre 2023.
26ème trail.
Grand parcours (16,2 km selon l’organisation ou 15,9 km selon Trace de Trail).
Entre les km 4,2 et 4,3 d’après Trace de Trail.
Dans la montagne d’Âge.
Le chemin des Cézards, peu avant l’intersection avec le chemin de la Montagne, sur la commune de Lovagny.
Laurent Lemaitre : 41ème en 1h45’14.
Ultime test pour le Marcellazien avant la SaintéLyon qu’il découvrira.
Auteur d’une belle prestation, il parvient à devancer ses coéquipiers Christophe Petitot, Igor Medel et Anthony Bousson, ce qui n’est pas rien !
Crédit image :
Jean-Christophe Bellier (Saint-Germain-sur-Rhône).27ème édition du Téléthon de Nonglard, disputée le 26 novembre 2023.
26ème trail.
Grand parcours (16,2 km selon l’organisation ou 15,9 km selon Trace de Trail).
Entre les km 4,2 et 4,3 d’après Trace de Trail.
Dans la montagne d’Âge.
Le chemin des Cézards, peu avant l’intersection avec le chemin de la Montagne, sur la commune de Lovagny.
– A gauche : Christophe Petitot, 43ème en 1h48’31 ;
– à droite : Igor Medel (Albanais Athlé / RTR), 45ème en 1h48’49.
Quand les beaux sourires espiègles d’Igor et de Christophe font rayonner le parcours…
Crédit image :
Jean-Christophe Bellier (Saint-Germain-sur-Rhône).
27ème édition du Téléthon de Nonglard, disputée le 26 novembre 2023.
26ème trail.
Grand parcours (16,2 km selon l’organisation ou 15,9 km selon Trace de Trail).
Entre les km 4,2 et 4,3 d’après Trace de Trail.
Dans la montagne d’Âge.
Le chemin des Cézards, peu avant l’intersection avec le chemin de la Montagne, sur la commune de Lovagny.
Anthony Bousson, 46ème en 1h48’51.
Comme c’est le cas parfois, l’instit de Thusy avait opté pour ses couleurs fétiches de l’Union Sportive des Cheminots, club ardennais basé à Nouvion-sur-Meuse, dont il a été l’une des figures de proue entre la fin 2008 et le 31 août 2021.
Crédit image :
Jean-Christophe Bellier (Saint-Germain-sur-Rhône).
27ème édition du Téléthon de Nonglard, disputée le 26 novembre 2023.
26ème trail.
Grand parcours (16,2 km selon l’organisation ou 15,9 km selon Trace de Trail).
Entre les km 4,2 et 4,3 d’après Trace de Trail.
Dans la montagne d’Âge.
Le chemin des Cézards, peu avant l’intersection avec le chemin de la Montagne, sur la commune de Lovagny.
Au troisième plan, à droite : Mohamed Halim qui devra, hélas, jeter l’éponge.
Crédit image :
Jean-Christophe Bellier (Saint-Germain-sur-Rhône).27ème édition du Téléthon de Nonglard, disputée le 26 novembre 2023.
26ème trail.
Grand parcours (16,2 km selon l’organisation ou 15,9 km selon Trace de Trail).
Entre les km 4,2 et 4,3 d’après Trace de Trail.
Dans la montagne d’Âge.
Le chemin des Cézards, peu avant l’intersection avec le chemin de la Montagne, sur la commune de Lovagny.
Au premier plan : Mohamed Halim.
Crédit image :
Jean-Christophe Bellier (Saint-Germain-sur-Rhône).
27ème édition du Téléthon de Nonglard, disputée le 26 novembre 2023.
26ème trail.
Grand parcours (16,2 km selon l’organisation ou 15,9 km selon Trace de Trail).
Entre les km 4,2 et 4,3 d’après Trace de Trail.
Dans la montagne d’Âge.
Le chemin des Cézards, peu avant l’intersection avec le chemin de la Montagne, sur la commune de Lovagny.
Au deuxième plan : Geneviève Couapel, 9ème femme (59ème au scratch) en 2h02’53.
Crédit image :
Jean-Christophe Bellier (Saint-Germain-sur-Rhône).
.
.
.
RTR AUX 24 HEURES DE LA BALME : LES RÉSULTATS / 16-17 – 09 – 2023
EN TRAVAUX !
.
.
Les 24 Heures de La Balme :
8ème du nom, disputées les samedi 16 et dimanche 17 septembre à La Balme-de-Sillingy (Haute-Savoie), sous la houlette d’Aventure en Mandallaz et de K Valentin Actes et Espoirs pour la Vie.
.
.
Approfondissement :
Pour davantage d’infos sur cette manifestation caritative, voir le reportage sur le site Web Courzyvite :
https://www.courzyvite.run/blog/2022/09/16/la-folle-aventure-des-24-heures-de-la-balme-17-18-09-2022/
.
.
Les 24 Heures en solo, 16 et 17 septembre :
Circuit long de 1700 m pour un dénivelé de 8 m.
Le classement scratch :
Le Portugais Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR : 9ème performance ex aequo avec Marielle Giraldo (étrangère à RTR), totalisant 130,90 km pour 77 tours.
.
.
Les 24 Heures en relais, 16 et 17 septembre :
Circuit long de 1700 m pour un dénivelé de 8 m.
Le classement scratch :
Rumilly Trail Running, composé du quatuor suivant :
– Geneviève Couapel ;
– Raphaëlle Cozic ;
– Amélie Vialle ;
– Laurent Lemaitre.
3ème performance, totalisant 263,50 km pour 155 tours.
.
.
Les
.
.
.
RTR AUX 24 HEURES DE LA BALME : LE RÉCIT DE FRANCISCO BOGALHO, AVEC F.V. / 16-17 – 09 – 2023
EN TRAVAUX !
merci 24 Heures de la Balme pour l’organisation de cet événement.
.
.
.
RTR AUX 24 HEURES DE LA BALME : LES 4 PHOTOS DES 8 PARTICIPANTS / 16-17 – 09 – 2023
EN TRAVAUX !
8ème édition des 24 Heures de La Balme, disputée les samedi 16 et dimanche 17 septembre 2023 à La Balme-de-Sillingy.
24 Heures en solo et en relais, du samedi à 15 h 00 au dimanche à 15 h 00.
Le samedi.
L’avant-course.
Présent sur les 24 Heures en solo :
au premier plan, à gauche : Francisco Bogalho.
Présents sur les 24 Heures en relais :
– 2ème à partir de la gauche : Amélie Vialle ;
– 3ème à partir de la gauche : Raphaëlle Cozic ;
– 1ère à partir de la droite : Geneviève Couapel ;
– 2ème à partir de la droite : Laurent Lemaitre.
Crédit image :
RTR.
8ème édition des 24 Heures de La Balme, disputée les samedi 16 et dimanche 17 septembre 2023 à La Balme-de-Sillingy.
24 Heures en solo et en relais, du samedi à 15 h 00 au dimanche à 15 h 00.
Le samedi.
L’avant-course.
Présent sur les 24 Heures en solo :
au deuxième plan : Francisco Bogalho.
Présent sur les 24 Heures en relais :
au premier plan : Laurent Lemaitre.
Crédit image :
RTR.
8ème édition des 24 Heures de La Balme, disputée les samedi 16 et dimanche 17 septembre 2023 à La Balme-de-Sillingy.
24 Heures en solo et en relais, du samedi à 15 h 00 au dimanche à 15 h 00.
Le samedi.
Le premier tour, effectué de concert.
Présent sur les 24 Heures en solo :
– au deuxième plan, à droite : Francisco Bogalho.
Présents sur les 24 Heures en relais :
– au premier plan, avec le dossard 205 : Laurent Lemaitre ;
– au deuxième plan, avec le dossard 203 : Geneviève Couapel ;
– au deuxième plan, avec le dossard 204 : Raphaëlle Cozic ;
– au deuxième plan, à gauche : Amélie Vialle.
8ème édition des 24 Heures de La Balme, disputée les samedi 16 et dimanche 17 septembre 2023 à La Balme-de-Sillingy.
24 Heures en solo et en relais, du samedi à 15 h 00 au dimanche à 15 h 00.
Le samedi.
Geneviève Couapel en train d’irradier cette épopée par sa prestance.
Crédit image :
JBEP Photos.
.
.
.
RTR AU MANIGOD TRAIL CHALENGE : LE RÉSULTAT / 09-10 – 09 – 2023
.
.
Le Manigod Trail Chalenge :
2ème du nom (6ème du nom en intégrant l’Aravis Sky Pursuit), disputé les samedi 9 et dimanche 10 septembre à Manigod (Haute-Savoie), sous la houlette des Trailers des Aravis.
.
.
Le Trail du Dahu, 10 septembre :
2ème du nom (4ème du nom en intégrant l’Aravis Sky Pursuit), 10 km de long pour 370 m de dénivelé.
Le classement masculin :
Anthony Bousson : 140ème (16ème M3H-M4H) en 1h37’56, soit une vitesse moyenne de 6,1 km/h et un rythme de 9’50/km.
Les résultats complets :
https://live.l-chrono.com/resultats/manigod-trail-challenge-2023
.
.
.
REPRISE EN FANFARE POUR RTR / 29-08-2023
Au crépuscule de l’été, les baroudeurs de Rumilly Trail Running (RTR) semblaient déboussolés. Accablés d’abord par cette canicule tardive, à la fois intense et interminable, mais surtout séparés de leurs potes, à commencer par Francisco Bogalho, leur coach emblématique, parti le 10 août se ressourcer dans sa mère patrie. C’est que tous commençaient à trouver le temps long. L’ultime compète du calendrier RTR ne remontait-elle pas au 23 juillet à l’occasion du Trail de l’Aigle, concouru à Manigod ?
Résurrection
Mais le « messie » a fini par revenir du diable vauvert, annonçant dans la foulée, quoi de plus normal pour un trailer (!), ses recommandations à la veille de la rentrée des forçats, aux anges pour le coup : « Qui dit nouveau départ ou reprise du sport, dit stop aux mauvaises habitudes. Un esprit sain dans un corps sain, c’est l’idéal pour éprouver d’excellentes sensations. Pour cela, il faut adopter une nouvelle hygiène de vie : basta la cigarette, au revoir la mauvaise alimentation, et bonjour aux nuits de sommeil réparatrices… »
Autre dimension
Veillant à la réussite de ses ouailles comme à la prunelle de ses yeux, le premier de cordée appelait de ses voeux un nouveau cycle pour RTR : « primo, faire passer certains athlètes du groupe 2 au groupe 1 ; deuxio, être plus exigeant par rapport aux résultats de leurs courses. Deux objectifs terriblement ambitieux », reconnaît le Lusitanien avant d’ajouter : « à condition de maintenir la cohésion du club au moment où mes favoris n’ont jamais été aussi nombreux, en l’occurrence 63 ! (1) A condition également, insiste la tête pensante, « de ne pas altérer, ne serait-ce que d’un iota, la convivialité ambiante. A n’en pas douter, je serai très ferme sur ces deux points que sont l’unité et la chaleur humaine, à vrai dire les deux mamelles de Rumilly Trail Running », lance-t-il dans une de ses envolées lyriques dont il a le secret.
Foultitude et intrépidité
« Comme j’ai hâte de retrouver notre team manager et tous mes amis », clamait la Boussignole Geneviève Couapel Lebée, Gege pour les intimes. Un véritable cri du coeur qui témoignait, une fois de plus, de l’enthousiasme et de la complicité qui règnent dans le groupe, de prime abord entre le natif de Gondomar et ses protégés. La forte affluence rencontrée dans les deux groupes lors des deux premières séances d’entraînement, celles des 29 et 31 août, n’étonnera donc personne.
Cette rentrée a également été marquée par les deux premières sorties en montagne, accomplies en rando-course dans le but d’augmenter son endurance. Au final, elles ont illustré la forme étincelante des participants. Faisant preuve de pugnacité et d’audace, tous ont en effet surmonté avec aisance les pentes démoniaques du Gros Foug et de la montagne du Charbon, respectivement les 3 et 10 septembre.
Premiers dossards
On soulignera aussi la célérité avec laquelle cinq RTR ont épinglé un dossard. C’est l’instit de Thusy, le vétéran Anthony Bousson, qui ouvrait le bal dès le 26 août sur le mythique Bélier et ses 27 bornes (48ème M2H). Increvable, cet ardennais de souche récidivait le 10 septembre à Manigod sur le 10 kil du Trail du Dahu (16ème M3H + M4H). L’occasion d’encourager de bout en bout Laure, sa fille de 21 ans, du Team Mayouche, qui s’est entraînée des mois durant pour disputer son premier trail.
Loïc Aubert n’était pas en reste. Ce gaineur d’origine bourguignonne lui emboîtera le pas le même jour sur le 13 km en semi-nocturne de la Verti’Trail du Môle. Trustant une honorable 23ème place au scratch (14ème SEH + M0H), le Rumillien confirmait amplement son statut de leader dans la bande à Bogalho. En vérité, ce jeune trentenaire aurait dû parcourir les 64 bornes de l’Echappée Belle, reliant la commune d’Allevard à celle d’Aiguebelle, via la redoutable chaîne de Belledonne. C’était sans compter sur une météo exécrable, marquée par un vent violent, de la grêle et des pluies abondantes, provoquant l’annulation anticipée de l’épreuve.
Par ailleurs, comment ne pas mettre en exergue Jean-Michel Greloux qui échoue au pied du podium master 5 du 27 km du Bélier. Une belle perf au regard des 36 concurrents classés dans sa catégorie d’âge. Cependant, c’est la première fois, sur les sept courses concourues cette année, qu’il rate le tiercé de tête (2). L’horloger de Marcellaz-Albanais est tout simplement tombé sur plus fort que lui. Pas moins de 7’ le séparent en effet du 3ème vétéran 5 qui n’est autre que Pascal Lillaz, un des Traileurs du Parmelan, autre groupe informel. Jadis excellent coureur, celui-ci était connu comme le loup blanc pour enfiler éternellement sa chemise aux teintures hawaïennes, surmontée d’un bob beige. A la fois attachante et singulière, cette personnalité figure encore dans l’équipe organisatrice du Trail de la Mandallaz.
Enfin, saluons, toujours sur la course phare du Bélier, les prestations du Rumillien Guillaume Devise (415ème SEH) et du Marcellazien Laurent Lemaitre (77ème M2H).
Il n’y a pas à dire, RTR reste plus que jamais sur de bons rails, d’autant plus avec le nouvel aiguillage annoncé par son homme-orchestre.
F.V.
(1) Apparues lors de la séance d’entraînement du 29 août 2023, les deux dernières recrues de Rumilly Trail Running sont :
– La Normande Anne-Charlotte Lacroix, arrivée en août à Rumilly ;
– Aurore Clavel, installée il y a un an dans l’Albanais, originaire du village de Villiers-sous-Grez, au sud du département de la Seine-et-Marne.
(2) Dans le détail, le palmarès 2023 de Jean-Michel Greloux donne, pour le moment, les résultats suivants chez les masters 5 masculins :
– 1er sur le 14 km des Foulées de Gruffy ;
– 2ème sur le 55 km du Trail Nivolet-Revard ;
– 1er sur le 21,6 km du Trail de la Mandallaz ;
– 1er sur le 18 km d’Entrelacs Run and Trail ;
– 2ème sur le 28 km de la Massingienne ;
– 3ème sur le Trail Blanc du Semnoz.
Cet article figure également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 14 septembre 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne sera plus importante que la version papier...
.
.
.
REPRISE EN FANFARE POUR RTR / 29-08-2023 : LES CINQ DERNIERES COMPÈ TES DU CALENDRIER RTR, COMPRISES ENTRE SEPTEMBRE ET DÉCEMBRE 2023
Les 17 et 18 septembre : Les 24 Heures de La Balme, disputées à La Balme-de-Sillingy.
Quatre épreuves :
– les 24 Heures, en solo ou en relais ;
– les 6 Heures, en solo ou en relais ;
– les 3 Heures, en solo ou en relais ;
– l’Heure.
Le 24 septembre : le Trail des Aiguilles Rouges, disputé à Chamonix-Mont-Blanc.
Deux distances :
– 53 km pour 3800 m de dénivelé ;
– 16 km pour 1250 m de dénivelé.
Le 15 octobre : le Défi de Fort-l’Ecluse, disputé à Léaz.
Deux distances :
– 19,5 km pour 890 m de dénivelé ;
– 12,3 km pour 610 m de dénivelé.
Le 5 novembre : le Trail Panoramic de l’Albanais, disputé à Saint-Eusèbe.
Trois distances :
– 27 km pour 960 m de dénivelé ;
– 16 km pour 500 m de dénivelé ;
– 10 km pour 290 m de dénivelé.
Parallèlement, de nombreux RTR accourront en tant que bénévoles, à l’image des éditions 2021 et 2022.
Les 2 et 3 décembre : la SaintéLyon, disputée entre Saint-Etienne et Lyon.
Cinq distances :
– 156 km pour 4390 m de dénivelé ;
– 78 km pour 2050 m de dénivelé positif et 2350 m de dénivelé négatif, en solo ou en relais 2, 3 ou 4 ;
– 44 km pour 926 m de dénivelé positif et 1450 m de dénivelé négatif ;
– 24 km pour 350 m de dénivelé positif et 525 m de dénivelé négatif ;
– 13 km pour 190 m de dénivelé positif et 340 m de dénivelé négatif.
.
.
.
REPRISE EN FANFARE POUR RTR / 29-08-2023 : LES 4 PHOTOS ET LES 2 CARTES
Première séance d’entraînement après les vacances, pour les RTR du groupe 1, en date du 29 août 2023.
Les 15 participants :
– 1er à partir de la gauche : Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR ;
– 2ème à partir de la gauche : Aurore Clavel qui a adhéré à RTR à l’occasion de cette sortie ;
– 3ème à partir de la gauche : Laura Bilbaut ;
– dans le dos de Laura, avec une casquette noire : Jean-Michel Greloux ;
– dans le dos de Laura, à droite : Ibtissam Sihapanya ;
– à droite d’Ibtissam, avec des lunettes noires : Cyril Chaise ;
– devant Cyril, en train de se dandiner : Yannick Glatre ;
– dans le dos de Yannick, à droite : Laurent Lemaitre ;
– 1er à partir de la droite : Laurent Carlioz ;
– 2ème à partir de la droite : Anne-Charlotte Lacroix qui a adhéré à RTR à l’occasion de cette sortie ;
– 3ème à partir de la droite : Sylvain Clermont ;
– 4ème à partir de la droite : Vanessa Bachelet ;
– dans le dos de Vanessa : Freddy Monteil ;
– à gauche de Vanessa : Raphaëlle Cozic ;
– enserré par Raphaelle : ?
Cliché réalisé sur le parking, situé à Rumilly en face de La Panière, et symbolisant le clap de fin de cette sortie.
Crédit image :
RTR.Deuxième séance d’entraînement après les vacances, pour les RTR des groupes 1 et 2, en date du 31 août 2023.
Les 15 participants :
– 1er à partir de la gauche : Igor Medel ;
– 2ème à partir de la gauche : Jean-Michel Greloux ;
– 3ème à partir de la gauche : Loïc Aubert ;
– dans le dos de Loïc, avec des lunettes noires : Cyril Chaise ;
– 4ème à partir de la gauche, avec une casquette : Estelle Vizioz-Fortin ;
– dans le dos d’Estelle, avec une casquette : Cyril Point ;
– 5ème à partir de la gauche, avec un débardeur rose fluo : Ibtissam Sihapanya ;
– 1er à partir de la droite : Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR ;
– 2ème à partir de la droite : Anne-Charlotte Lacroix ;
– dans le dos d’Anne-Charlotte, à droite : Laurent Lemaitre ;
– dans le dos d’Anne-Charlotte, à gauche : Laurent Crouzet ;
– 3ème à partir de la droite : Aurore Clavel ;
– 4ème à partir de la droite : Vanessa Bachelet ;
– dans le dos de Vanessa : Pablo Clain ;
– 5ème à partir de la droite : Geneviève Couapel Lebée.
Cliché réalisé sur le parking, situé à Rumilly en face de La Panière, et symbolisant le clap de fin de cette sortie.
Crédit image :
RTR.Première sortie en montagne après les vacances, sillonnant le Gros Foug, en date du 3 septembre 2023.
Les sept participants :
– 1er à partir de la gauche : Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR ;
– 2ème à partir de la gauche : Sylvain Clermont ;
– 3ème à partir de la gauche : Igor Medel ;
– 4ème à partir de la gauche : Laurent Carlioz ;
– 5ème à partir de la gauche : Jean-Michel Greloux ;
– 1ère à partir de la droite : Vanessa Bachelet ;
– dans le dos de Vanessa, avec un débardeur rose : Alexandra Carlioz.
Crédit image :
RTR.Première sortie en montagne après les vacances, sillonnant le Gros Foug, en date du 3 septembre 2023.
Le bilan.
Crédit image :
RTR.
Deuxième sortie en montagne après les vacances, sillonnant la montagne du Charbon, dans le massif des Bauges, en date du 10 septembre 2023.
Les cinq participants :
– 1er à partir de la gauche : Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR ;
– 2ème à partir de la gauche : Laurent Carlioz ;
– 3ème à partir de la gauche : Jean-Michel Greloux ;
– 4ème à partir de la gauche : Vanessa Bachelet, à l’origine de cette admirable boucle ;
– 5ème à partir de la gauche : Alexandra Carlioz.
Cliché réalisé sur le spectaculaire et pittoresque pas de la Combe (1500 m d’altitude), taillé dans la falaise en 1893, afin de faciliter l’accès des paysans de la commune de Lathuile et de leur bétail à l’alpage de la Combe.
Le chemin est plus impressionnant que dangereux. A vrai dire, il ne présente aucune difficulté, du moins par temps sec. Tout d’abord, il est large d’environ 1 mètre 50, ce qui n’est pas rien. Ensuite, les garde-corps métalliques sécurisent le passage dans son entièreté.
Après cette curiosité qui offre un ravissant point de vue sur le lac d’Annecy, les RTR graviront deux des quatre sommets de la montagne du Charbon, dénomination de la partie septentrionale du chaînon du Trélod : la pointe de Banc Plat (1907 m d’altitude) puis la dent des Portes (1932 m d’altitude).
Crédit image :
RTR.
Deuxième sortie en montagne après les vacances, sillonnant la montagne du Charbon, dans le massif des Bauges, en date du 10 septembre 2023.
Le bilan.
.
.
.
RTR AU SAINT-JOIRE TRAIL FESTIVAL : LE RÉSULTAT / 26-08-2023
.
.
Le Saint-Jeoire Trail Festival :
1er du nom, disputé le samedi 26 août à Saint-Jeoire (Haute-Savoie), sous la houlette des Trailers du Môle – Les Féroces.
.
.
La Verti’Trail du Môle :
3ème du nom, 13 km de long pour 1150 m de dénivelé, concouru en semi-nocturne.
Le classement masculin :
Loïc Aubert : 23ème (14ème SEH + M0H) en 1h50’00, soit une vitesse moyenne de 7,1 km/h et un rythme de 8’27/km.
Les résultats complets :
https://live.l-chrono.com/resultats/saint-jeoire-trail-festival-2023
.
.
.
RTR AU BÉLIER TRAIL & RANDO : LES RÉSULTATS / 25-27 – 08 – 2023
.
.
Le Bélier Trail & Rando :
37ème du nom, disputé du vendredi 25 au dimanche 27 août à La Clusaz (Haute-Savoie), sous la houlette du Club des Sports de La Clusaz.
.
.
Le 27 km, samedi 26 août :
1000 m de dénivelé (en réalité 1237 m de dénivelé positif et 1232 m de dénivelé négatif).
Le classement masculin :
– Jean-Michel Greloux : 279ème (4ème M5H) en 2h58’18, soit une vitesse moyenne de 8,8 km/h et un rythme de 6’49/km ;
– Anthony Bousson : 582ème (48ème M2H) en 3h21’44, soit une vitesse moyenne de 7,7 km/h et un rythme de 7’47/km ;
– Guillaume Devise : 858ème (415ème SEH) en 3h42’17, soit une vitesse moyenne de 6,7 km/h et un rythme de 8’57/km ;
– Laurent Lemaitre : 873ème (77ème M2H) en 3h43’43, soit une vitesse moyenne de 6,8 km/h et un rythme de 8’49/km.
Les résultats complets :
https://live.l-chrono.com/resultats/belier-trail-rando-2023
.
.
.
RTR À L’ÉCHAPPÉE BELLE : L’AVANT-COURSE / 25-27 – 08 – 2023
ENTRETIEN AVEC LOIC AUBERT, INSCRIT SUR LE PARCOURS DES CRÊTES (64 KM), PREVU LE 26 AOÛT
EN TRAVAUX !
La mort dans l’âme, l’organisation a dû saborder la 8ème édition du Parcours des Crêtes, une des quatre épreuves de l’Echappée Belle, concourue dans la majestueuse chaine de Belledonne. Elle s’en explique dans ce communiqué adressé aux trailers : « Les conditions météo déjà compliquées n’ont cessé d’empirer jusqu’à atteindre des prévisions qui nous contraignent à anticiper une décision d’annulation. Vent violent, grêle, pluie abondante, dans une nature déjà essoufflée et fragilisée par la canicule, voilà ce qui nous attend ce week-end des 26 et 27 août. Tous nos scénarios de repli (nombreux) et tous nos efforts sont réduits à néant pour la journée de samedi. »
Du coup, l’interview d’avant-course de Loïc Aubert, si elle figure bien sur le blog Courzyvite, ne paraîtra pas en revanche dans l’Hebdo des Savoie, en date du jeudi 31 août 2023 comme il était prévu. Mais en accord avec Loïc, une autre course réputée, qu’il disputera en cette fin d’année, fera l’objet d’un nouvel entretien qui sera, cette fois-ci, divulgué dans l’Hebdo des Savoie, et bien évidemment sur Courzyvite. L’interview ci-dessous sera reprise, hormis l’ultime partie concernant sa préparation en vue du 64 km de l’Echappée Belle, finalement annulée.
« », nous déclare Loïc Aubert.
Question de F.V. : Pouvez-vous vous présenter ?
Réponse de Loïc Aubert : J’ai vu le jour le 5 octobre 1991 à Saint-Rémy, dans la banlieue de Chalon-sur-Saône, avant de grandir à Authumes, à une trentaine de km de Chalon.
.
.
.
RTR À LA TRESSERVIENNE : LES RÉSULTATS / 21-05-2023
.
.
La Tresservienne :
36ème du nom, disputée le dimanche 21 mai 2023 à Tresserve (Savoie), sous la houlette de La Tresservienne.
.
.
Le 8 km :
8,66 km pour 124 m de dénivelé positif et 126 m de dénivelé négatif, d’après la montre de Francisco Bogalho.
Le classement masculin :
le Portugais Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR : 17ème (3ème M2H) en 37’05.
Le classement féminin :
– Raphaëlle Cozic : 3ème (2ème M1F, 32ème au scratch) en 41’03 ;
– Geneviève Couapel Lebée : 10ème (1ère M4F, 48ème au scratch) en 45’44.
Les résultats complets :
http://www.tresservienne.fr/download/8km2023.pdf
.
.
.
RTR À LA TRESSERVIENNE : LE COMPTE RENDU / 21-05-2023
CARTON PLEIN !
Voilà une opération commando rondement menée par le team manager Francisco Bogalho. Quoi de plus normal pour celui qui a accompli, entre le 11 novembre 1994 et le 11 mai 1996, son service militaire chez les parachutistes au sein du régiment des troupes aéroportées, basé à Tancos (1), au centre du Portugal.
Challenge
L’objectif de cette opération : faire razzia, le 21 mai, sur La Tresservienne qui figurait en début d’année dans les compètes proposées aux RTR pour être l’une des cinq manches du 23ème Challenge de l’Amitié. Mais force était de constater que son parcours asphalté faisait office de repoussoir. Qu’à cela ne tienne, le team manager lançait le 15 mai un vibrant appel à ses ouailles pour rallier Tresserve, notamment à celles qui avaient disputé les deux premières étapes du challenge, à savoir la Massingienne puis Entrelacs Run and Trail. Il faut effectivement avoir concouru trois épreuves pour être classé, et de facto, récompensé.
Guerrières
In fine, le Lusitanien parviendra à convaincre deux de ses plus redoutables amazones (2). En premier lieu, Geneviève Couapel Lebée, aussitôt après l’invitation de son coach, avant que Raphaëlle Cozic ne lui emboîte le pas le 17 mai. Deux nanas actuellement au sommet de leur art, comme l’attestent leurs prestations réalisées le dimanche précédent sur les 14 bornes des Foulées de Gruffy. Celles-ci verront en effet Geneviève et Raphaelle rafler respectivement la 1ère place parmi les masters 4 et la 6ème chez les masters 1. Deux résultats épatants qui pourtant n’apaiseront pas leur… faim de victoire en prenant la direction du bassin aixois !
Reconnaissance
De son côté, Francisco annonce le 17 mai le déplacement à Tresserve du traditionnel entraînement rumillien du jeudi, témoignant de la minutie de cette opération commando. Outre l’insatiable trio, le groupe qui part en Savoie en pleine semaine comprend Vanessa Bachelet et Laurent Carlioz, désireux d’encourager dès maintenant leurs camarades sans faire pour autant La Tresservienne. Un énième exemple d’empathie et d’altruisme qui émanent de cette bande soudée comme les doigts de la main. Au final, 49’24 seront nécessaires à ces cinq baroudeurs pour avaler les 8,6 km, l’une des deux distances au menu qui a eu la préférence de Francisco et de ses deux potes.
Succès en cascade
« 3 RTR sur la ligne de départ, 3 RTR sur la boîte », dixit le premier de cordée à l’issue de cette journée faste.
Une triple prouesse qui enrichit un peu plus leur palmarès en 2023 :
– le triomphe de Geneviève chez les masters 4, soit son 6ème podium et sa 4ème victoire ;
– la place de dauphine parmi les masters 1 pour Raphaëlle, soit son 6ème podium ;
– la 3ème marche pour Francisco chez les masters 2, soit son 3ème podium (3).
Avec mention pour Raphaelle qui ne concède qu’1’16 à la robuste lauréate Anne Michel. Licenciée au Thonon Athlétic Club, cette Annemassienne de souche, âgée de 49 ans, a bouclé cette année le Semi de Marrakech en 1h34’27 puis le 10 km de Cluses en 42’57. Soit deux perfs de niveau régional 2. C’est dire les gros progrès enregistrés par la Marignienne depuis ses débuts en course à pied, survenus en septembre 2021 avant de rejoindre RTR en octobre 2022.
En guise d’épilogue
Sur leur brillante lancée, tous les trois se donnent rendez-vous le 1er octobre pour la dernière manche du Challenge de l’Amitié, coïncidant avec la Foulée de Drumettaz-Clarafond, la Grésylienne qui devait se tenir le 24 septembre ayant été annulée. Reste à savoir si le trio prendra le départ du Trail de la Parchale (20 km pour 750 m de dénivelé) ou bien de la Ronde des Fours (10 km pour 215 m de dénivelé, dont 90% de route). De toute évidence, leur état de forme jouera un rôle clef dans leur choix, et notamment s’ils auront récupéré des 24 Heures de La Balme dont ils seront les hôtes.
F.V.
(1) Etabli à Tancos, le régiment des troupes aéroportées qu’intégra Francisco Bogalho durant son service militaire, a connu un grand moment d’histoire : l’échec du coup d’Etat, fomenté le 25 novembre 1975 par des parachutistes d’extrême gauche, qui marqua la fin de la fameuse Révolution des Oeillets, en place depuis le 25 avril 1974, suite au renversement de la dictature salazariste.
(2) Dans la mythologie grecque et romaine, le nom « amazone » désigne une femme appartenant à une tribu de guerrières organisées de manière matriarcale.
(3) Dans le détail, le palmarès 2023 de ce trio donne, pour le moment, les résultats par catégories d’âge suivants :
Francisco Bogalho :
– 3ème M2H sur le 8 km de La Tresservienne ;
– 2ème M2H sur le 10 km d’Entrelacs Run and Trail ;
– 3ème M2H sur le 10 km du Trail des Grottes.
Raphaëlle Cozic :
– 2ème M1F sur le 8 km de La Tresservienne ;
– 3ème M1F-M2F sur le 27 km du Trail Nivolet-Revard ;
– 2ème M1F sur le 10 km de la Mandallaz ;
– 2ème M1F sur le 10 km d’Entrelacs Run and Trail ;
– 2ème M1F sur le 10 km du Trail des Grottes ;
– 1ère MIF sur le 15 km de la Massingienne.
Geneviève Couapel Lebée :
– 1ère M4F sur le 8 km de La Tresservienne ;
– 1ère M4F sur le 14 km des Foulées de Gruffy ;
– 3ème M4F sur le 10 km d’Entrelacs Run and Trail ;
– 3ème M4F sur le 10 km du Trail des Grottes ;
– 1ère M4F sur le 15 km de la Massingienne ;
– 2ème M4F sur le Trail Blanc du Semnoz.
.
.
.
RTR À LA TRESSERVIENNE : LES 10 PHOTOS DES 3 FINISHERS / 21-05-2023Préparation et reconnaissance du 8 km, effectuées le 18 mai 2023, en vue de la 36ème édition de La Tresservienne, disputée le 21 mai 2023 à Tresserve.
– 1er à partir de la gauche : Laurent Carlioz, non-inscrit ;
– 2ème à partir de la gauche : Vanessa Bachelet, non-inscrit ;
– au centre : Geneviève Couapel Lebée, inscrite ;
– 1er à partir de la droite : Francisco Bogalho, inscrit ;
– 2ème à partir de la droite : Raphaëlle Cozic, inscrite.
Crédit image :
RTR.
36ème édition de La Tresservienne, disputée le 21 mai 2023 à Tresserve.
8 km.
L’avant-course.
– A gauche : Geneviève Couapel Lebée ;
– au centre : Francisco Bogalho ;
– à droite : Raphaëlle Cozic.
Crédit image :
RTR.36ème édition de La Tresservienne, disputée le 21 mai 2023 à Tresserve.
8 km.
A l’arrivée.
Francisco Bogalho : 17ème (3ème M2H) en 37’05.
Crédit image :
La Tresservienne.
36ème édition de La Tresservienne, disputée le 21 mai 2023 à Tresserve.
8 km.
A l’arrivée.
Raphaëlle Cozic : 3ème femme (2ème M1F, 32ème au scratch) en 41’03.
Crédit image :
La Tresservienne.
36ème édition de La Tresservienne, disputée le 21 mai 2023 à Tresserve.
8 km.
A l’arrivée.
Geneviève Couapel Lebée : 10ème femme (1ère M4F, 48ème au scratch) en 45’44.
Crédit image :
La Tresservienne.
36ème édition de La Tresservienne, disputée le 21 mai 2023 à Tresserve.
8 km.
La remise des prix du podium M2H.
A droite : Francisco Bogalho, 3ème en 37’05.
Crédit image :
RTR.
36ème édition de La Tresservienne, disputée le 21 mai 2023 à Tresserve.
8 km.
La remise des prix du podium M2H.
A droite : Francisco Bogalho, 3ème en 37’05.
Crédit image :
RTR.36ème édition de La Tresservienne, disputée le 21 mai 2023 à Tresserve.
8 km.
La remise des prix du podium M1F.
A gauche : Raphaëlle Cozic, 2ème en 41’03.
Crédit image :
RTR.
36ème édition de La Tresservienne, disputée le 21 mai 2023 à Tresserve.
8 km.
La remise des prix du podium M4F.
Sur le faîte : Geneviève Couapel Lebée, 1ère en 45’44.
Le sourire est à la beauté ce que les fleurs sont au printemps…
Crédit image :
RTR.
36ème édition de La Tresservienne, disputée le 21 mai 2023 à Tresserve.
8 km.
La remise des prix du podium M4F.
Sur le faîte : Geneviève Couapel Lebée, 1ère en 45’44.
Sourire dérobé, presque pudique…
Crédit image :
RTR.
.
.
.
RTR AUX PRINCES EN FOULEES : LE RÉSULTAT / 22-04-2023
.
.
Les Princes en Foulées :
9ème du nom, disputés le samedi 22 avril 2023 à Seyssel (Haute-Savoie), sous la houlette de Seyssel Court Pour Offrir.
.
.
Le Trail Les Princes :
27 km de long pour 1700 m de dénivelé.
Le classement masculin :
Loïc Aubert : 63ème (20ème SEH) en 3h11’58, soit une vitesse moyenne de 8,6 km/h et un rythme de 6’58/km.
La réaction :
Loïc Aubert : « Pas la forme espérée, mais bon c’est comme ça ! »
Les résultats complets :
https://live.l-chrono.com/resultats/les-princes-en-foulees-2023
.
.
.
RTR AU TRAIL DE LA MANDALLAZ : LES RÉSULTATS / 16-04-2023
.
.
Le Trail de la Mandallaz :
6ème du nom, disputé le dimanche 16 avril à La Balme-de-Sillingy (Haute-Savoie), sous la houlette d’Aventure en Mandallaz.
.
.
Le Trail à Deux Têtes :
5ème du nom, 21,6 km de long pour 900 m de dénivelé.
Le classement masculin :
– Jean-Michel Greloux : 67ème (1er M5H) en 2h15’55, soit une vitesse moyenne de 9,5 km/h et un rythme de 6’18/km ;
– Nicolas Ayroulet : 90ème (7ème M1H) en 2h23’08, soit une vitesse moyenne de 9 km/h et un rythme de 6’40/km.
– Igor Medel (Albanais Athlé / RTR) : 107ème (5ème M4H) en 2h27’39, soit une vitesse moyenne de 8,7 km/h et un rythme de 6’53/km..
.
.
Le Trail à Une Tête :
10,4 km de long pour 440 m de dénivelé.
Le classement masculin :
Laurent Carlioz (Trail Panoramic de l’Albanais / RTR) : 66ème (3ème M3H) en 1h16’01, soit une vitesse moyenne de 8,7 km/h et un rythme de 6’53/km.
Le classement féminin :
Raphaelle Cozic : 10ème (2ème M1F, 63ème au scratch) en 1h15’01, soit une vitesse moyenne de 8,8 km/h et un rythme de 6’49/km.
.
.
Les résultats complets :
https://live.l-chrono.com/resultats/trail-de-la-mandallaz-2023
.
.
.
RTR AU TRAIL DE LA MANDALLAZ : LE COMPTE RENDU / 16-04-2023
DEUX ETOILES AU FIRMAMENT !
Sans surprise, Jean-Michel Greloux et Raphaëlle Cozic ont été de nouveau à leur avantage. C’est de la tête et des épaules que l’horloger de Marcelaz-Albanais s’est imposé sur le 21 km chez les masters 5, repoussant à 13’22 son dauphin Richard Goulu, licencié à Sill’N Run.
Par ricochet, il intègre pour la quatrième fois cette année le tiercé de tête, après le Trail Blanc du Semnoz (1er), le 28 km de la Massingienne (2ème), enfin le 18 km d’Entrelacs Run and Trail (1er).
Coup double pour Cozic
De son côté, mais cette fois-ci sur les 10 bornes, la Marignienne réussit le tour de force, grande première pour l’occasion, à distancer d’une minute son camarade Laurent Carlioz.
Parallèlement, elle accapare la 2ème place dans une catégorie d’âge, en l’occurrence les masters 1, qui est souvent la plus nombreuse et la plus disputée après celle des seniors. Ce qui n’a pas été le cas cette fois-ci, la salariée d’Adequat Intérim surclassant sa poursuivante Coralie Peterschmitt (Sill’N Run), près d’un quart d’heure les départageant. En revanche, la victoire était inenvisageable, la lauréate Aurélie Chaine, ex-Perret, lui mettant 4’ dans la vue, ce qui n’est guère étonnant de la part de celle qui a fait les beaux jours de l’ASPTT Annecy de septembre 2006 à août 2021.
N’empêche, Raphaëlle n’en figure pas moins dans le top 3, et ce pour la quatrième fois en cette année 2023, imitant ainsi Jean-Michel. Auparavant, elle s’était distinguée sur le 15 km de la Massingienne (1ère), de même que sur les 10 km du Trail des Grottes et d’Entrelacs Run and Trail (2ème à chaque fois).
Carlioz vaille que vaille
Toujours sur le 10 kil, on soulignera la belle prestation du premier de cordée du Trail Panoramic de l’Albanais. Le Saint-Eusébien Laurent Carlioz parvient en effet à truster la 3ème position au sein des masters 3, décrochant du même coup son premier podium cette saison. Bouclant le parcours en 1h16’01, il termine cependant loin derrière ces deux indéboulonnables trailers que sont le Persjussien David Drost (1er en 1h01’29) et le Thusylien Jean-Yves Laplace (2ème en 1h04’07).
Précisons que David a été victime, il y a une vingtaine d’années, d’une double fracture tibias-péroné multi-fragmentaire qui l’oblige à ne pas excéder les deux heures de course. En conséquence, il s’est limité exclusivement au trail découverte, ce qui en fait un redoutable adversaire. Quant à Jean-Yves, connu pour être le meilleur élément de RTT 74 (1), il performe dans toutes les disciplines du trail, y compris l’ultra. Une polyvalence qui n’est vraiment pas banale !
F.V.
(1) Le sigle RTT 74 signifie Running Team Thusy 74.
.
.
.
RTR AU TRAIL DE LA MANDALLAZ : LES 22 PHOTOS DES 5 FINISHERS / 16-04-2023
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
Au retrait des dossards.
Au premier plan, à gauche : Igor Medel.
Crédit image :
JBEP Photo6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
Dans la première et éprouvante ascension, accédant à la Tête (899 m d’altitude), deuxième sommet le plus élevé de la montagne de la Mandallaz.
Avec sa casquette : Jean-Michel Greloux, 67ème (1er M5H) en 2h15’55.
On le voit ici au coude à coude avec le Suisse Andréas Diemand, à droite, licencié à Urania Genève Sport, club omnisport basé à Genève. Jadis excellent trailer, cet habitant d’Arbusigny, sur le plateau des Bornes, s’appropriera la 81ème place (6ème M3H) en 2h19’08.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
Dans la première et éprouvante ascension, accédant à la Tête (899 m d’altitude), deuxième sommet le plus élevé de la montagne de la Mandallaz.
A gauche : Igor Medel, 107ème (5ème M4H) en 2h27’39 ;
à droite : Nicolas Ayroulet, 90ème (7ème M1H) en 2h23’08.
Quand l’union fait la force…
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
Dans la première et éprouvante ascension, accédant à la Tête (899 m d’altitude), deuxième sommet le plus élevé de la montagne de la Mandallaz.
Igor Medel.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
Dans la première et éprouvante ascension, accédant à la Tête (899 m d’altitude), deuxième sommet le plus élevé de la montagne de la Mandallaz.
Igor Medel.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
Au retour, dans la descente du chemin de la Montagne, ralliant l’arrivée.
Dossard 267 : Jean-Michel Greloux, 67ème (1er M5H) en 2h15’55.
Il tente alors de suivre le rythme effréné, imprimé par la Sillingienne Victoria Sérignat. In fine, celle-ci décrochera la troisième place féminine (2ème M3F, 66ème au scratch) en 2h15’38.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
Au retour, dans la descente du chemin de la Montagne, ralliant l’arrivée.
Au premier plan : Nicolas Ayroulet, 90ème (7ème M1H) en 2h23’08.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
Au retour, dans la descente du chemin de la Montagne, ralliant l’arrivée.
Igor Medel, 107ème (5ème M4H) en 2h27’39.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
A l’arrivée, jugée sur la route de Paris.
Au deuxième plan, à gauche : Jean-Michel Greloux.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
A l’arrivée, jugée sur la route de Paris.
Dossard 267 : Jean-Michel Greloux, 67ème (1er M5H) en 2h15’55.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
A l’arrivée, jugée sur la route de Paris.
Nicolas Ayroulet, 90ème (7ème M1H) en 2h23’08.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
5ème Trail à Deux Têtes (21,6 km).
A l’arrivée, jugée sur la route de Paris.
Dossard 403 : Igor Medel, 107ème (5ème M4H) en 2h27’39.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
Trail à Une Tête (10,4 km).
Dans la principale et épuisante montée, accédant à la Tête (899 m d’altitude), deuxième sommet le plus élevé de la montagne de la Mandallaz.
Raphaëlle Cozic, 10ème femme (2ème M1F, 63ème au scratch) en 1h15’01.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
Trail à Une Tête (10,4 km).
Dans la principale et épuisante montée accédant à la Tête (899 m d’altitude), deuxième sommet le plus élevé de la montagne de la Mandallaz.
Laurent Carlioz, 66ème (3ème M3H) en 1h16’01.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
Trail à Une Tête (10,4 km) et Trail à Deux Têtes (21,6 km).
Au retour, dans la descente du chemin de la Montagne, ralliant l’arrivée.
Dossard 174 : Raphaëlle Cozic, en train de se faire devancer par Amélie Dubois, un des fers de lance du club Courir à Poisy. Domiciliée à Sillingy, cette spécialiste de trail longue distance s’adjugera la 2ème place du 21 km en 2h13’47. Au final, 2’05 la départagera de la lauréate Karine Marguerettaz, ancienne figure emblématique de l’ASPTT Annecy.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
Trail à Une Tête (10,4 km) et Trail à Deux Têtes (21,6 km).
Au retour, dans la descente du chemin de la Montagne, ralliant l’arrivée.
Dossard 174 : Raphaëlle Cozic, en train de se faire déposer par Amélie Dubois, une des vedettes de la formation Courir à Poisy.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
Trail à Une Tête (10,4 km).
Au retour, dans la descente du chemin de la Montagne, ralliant l’arrivée.
Raphaëlle Cozic.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
Trail à Une Tête (10,4 km).
Au retour, dans la descente du chemin de la Montagne, ralliant l’arrivée.
Laurent Carlioz, 66ème (3ème M3H) en 1h16’01.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
Trail à Une Tête (10,4 km).
L’arrivée, jugée sur la route de Paris.
Raphaëlle Cozic, 10ème femme (2ème M1F, 63ème au scratch) en 1h15’01.
Crédit image :
JBEP Photo6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
Trail à Une Tête (10,4 km).
L’arrivée, jugée sur la route de Paris.
Laurent Carlioz, 66ème (3ème M3H) en 1h16’01.
Crédit image :
JBEP Photo
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
Trail à Deux Têtes (21,6 km) et Trail à Une Tête (10,4 km).
L’arrivée, jugée sur la route de Paris.
– A gauche : Raphaëlle Cozic ;
– au centre : Jean-Michel Greloux ;
– à droite : Igor Medel.
Impatiemment, il va sans dire, tous trois attendent la remise des prix où sera récompensé Jean-Michel pour son triomphe chez les masters 5.
Crédit image :
RTR.
6ème édition du Trail de la Mandallaz, disputée le 16 avril 2023 à La Balme-de-Sillingy.
Trail à Deux Têtes (21,6 km).
A la remise des prix des podiums masculins, aussi bien scratch que par catégories d’âge, célébrée sur la route de Paris.
Juste à gauche de la 2ème marche : Jean-Michel Greloux, 1er M5 en 2h15’55.
Crédit image :
JBEP Photo
.
.
.
RTR AU MARATHON INTERNATIONAL DU LAC D’ANNECY : LES RÉSULTATS / 15-16 – 04 – 2023
.
.
Le Marathon International du Lac d’Annecy :
43ème du nom, disputé les samedi 15 et dimanche 16 avril à Annecy sous la houlette d’Annecy Haute-Savoie Athlétisme et Feelingjack.
.
.
Le 10 km du Lac d’Annecy, 16 avril :
Le classement masculin :
Laurent Lemaitre (Dream Team Arenov / RTR) : 999ème sur 2662 classés en 53’45, soit le niveau départemental 8.
Les résultats complets :
https://bases.athle.fr/asp.net/liste.aspx?frmbase=resultats&frmmode=1&frmespace=0&frmcompetition=270210&frmepreuve=10+Km+Route+TC&frmposition=0
.
.
Le Marathon du Lac d’Annecy, 16 avril :
42,195 km de long.
Le classement masculin :
Le Portugais Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR : 653ème sur 2532 classés en 3h28’26, soit le niveau départemental 3.
Dans sa catégorie d’âge, il termine 97ème M2H sur 250 classés.
Enfin, parmi ses compatriotes, il finit 2ème Portugais sur 7 inscrits.
Dans le détail du parcours, cela donne :
– 47’ au 10ème km ;
– 1h33 au 20ème km ;
– 2h21 au 30ème km.
La réaction de Francisco Bogalho :
Se reporter à son interview ci-dessous.
Les résultats complets :
https://bases.athle.fr/asp.net/liste.aspx?frmbase=resultats&frmmode=1&frmespace=0&frmcompetition=270210&frmepreuve=Marathon+TC
.
.
Le Semi-Marathon du Lac d’Annecy, 15 avril :
21,095 km de long.
Le classement masculin :
Cyril Chaize : 1563ème sur 3782 classés en 1h52’09, soit le niveau départemental 7.
Dans sa catégorie d’âge, il termine 91ème M2H sur 160 classés.
La réaction de Cyril Chaize :
« Sans RTR, je pense que je n’aurais jamais tenté mon premier semi. Alors merci au groupe ! »
Les résultats complets :
https://bases.athle.fr/asp.net/liste.aspx?frmbase=resultats&frmmode=1&frmespace=0&frmcompetition=270210&frmposition=3
.
.
.
RTR AU MARATHON INTERNATIONAL DU LAC D’ANNECY : ENTRETIEN AVEC FRANCISCO BOGALHO / 15-16 – 04 – 2023
« Mission accomplie ! », nous déclare le fondateur et team manager de Rumilly Trail Running.
Question de F.V. : Alors satisfait de votre prestation après avoir parcouru les 42km195 en 3h28’26 ?
Réponse de Francisco Bogalho : Mission accomplie puisque mon objectif initial était de boucler entre 3h15 et 3h30 de course ce ravissant périple au fil de l’eau.
Pas mal du tout pour votre deuxième expérience sur cette mythique distance !
Oui, mais contrairement à ce marathon de montagne qu’est le Gerês Extreme, disputé le 4 décembre dernier dans mon pays natal, celui d’Annecy est dépourvu de dénivelé. Raison pour laquelle il est classant et qualificatif pour les championnats de France, ce qui n’est pas le cas des marathons de montagne où le dénivelé qui accroit sensiblement les temps est jugé trop important. Toujours est-il que j’éprouve une certaine fierté d’avoir découvert les deux types de marathon à seulement quatre mois et demi d’intervalle !
Votre perf est d’autant plus convaincante que vous n’avez pas suivi de plan d’entraînement spécifique au marathon, n’est-ce pas ?
J’acquiesce ! Et inutile de claironner que j’aurai apprécié, tout particulièrement, une préparation conçue autour de dix semaines où rien n’est laissé au hasard. Une préparation destinée à ceux qui aspirent à devenir marathoniens en moins de 3h30, à raison de quatre séances hebdomadaires, dévolues à l’endurance, à la VMA, enfin au seuil. Avec une seule compète au programme, en l’occurrence un 15 bornes ou un semi avec allure marathon.
A vrai dire, j’ai fait exactement l’inverse, multipliant les trails dont le titanesque Paléozoïque, long de 48 km pour une dénivellation de 2600 m, surmonté le 19 mars dans la souffrance, à deux pas de mon domicile portugais. Il est clair, en prévision du marathon, qu’il aurait fallu en garder sous la semelle.
Et pourquoi ne pas avoir souscrit à cette prépa ?
Assurément, je l’aurais fait mienne si j’avais été seul. Mais pour le coup, il était hors de question de négliger mes poulains durant une période aussi longue. Car l’animation de mon groupe incarne ce qu’il y a de plus précieux après ma famille, vous ne pouvez pas imaginer à ce point ! Et donc pour rien au monde, je ne regrette d’être resté fidèle à mes potes.
Autre facteur qui vous a empêché d’améliorer votre temps : votre blessure à la cheville gauche. Pouvez-vous nous parler de ce fâcheux contretemps ?
C’est à partir du 31 mars que j’ai commencé à ressentir une douleur à cette cheville. A chaque fois que je posais mon talon par terre, j’avais en effet mal au talon et au tendon d’Achille. A tel point qu’il n’était plus question de franchir la ligne entre 3h15 et 3h30 de cavalcade, mais simplement de finir, et ce quel que soit le chrono.
A quel moment êtes-vous redevenu ambitieux ?
Peu avant les trois coups ! Dans un premier temps, j’ai rejoint mon point de départ la boule au ventre à cause bien sûr de cette blessure. Et puis tout a basculé, comme par magie, en remarquant l’oriflamme où sont indiquées les fameuses 3 heures 30. Défilent alors, comme les paysages à la fenêtre d’un train, toutes mes séances d’entraînement qui témoignent, on ne peux mieux, de mon acharnement à me surpasser. Me serais-je alors défoncé pour des clopinettes ? Il n’en est pas question, disais-je sur un ton péremptoire et sec !
Au même instant, me tiennent compagnie mon épouse Susana et mon fils Rafael qui croient tellement en moi. Est également présent mon fan numéro 1, en la personne de Sylvain Clermont, qui n’a jamais eu le moindre doute sur mon potentiel. Autant de soutiens indéfectibles qui risquent de s’effondrer s’ils me voient abdiquer.
De toute évidence, l’heure de vérité avait sonné !
Je ne vous le fais pas dire ! Et en effet, j’ai estimé que cette souffrance au pied était mineure au regard des 42 bornes à avaler. Et puis je me suis remémoré cette citation émanant d’une ancienne personnalité angolaise : « La chose facile, on la fait immédiatement. L’impossible prend un peu plus de temps. »
Vous êtes donc passer à l’action !
Naturellement ! Au bout de 2 km, j’avais déjà laissé l’oriflamme des 3h30 derrière moi, tentant alors de rattraper le lièvre qui emmenait les marathoniens désireux d’atteindre leur Graal : les 3h15. Bingo au 25ème km ! Hélas, mon rêve fut de courte durée, la douleur réapparaissant 12 bornes plus loin. Fort heureusement, je parvenais à rester in extremis sous les 3h30 durant les cinq ultimes km.
L’accueil que m’ont réservé Susana, Rafael, Sylvain, mais aussi Solange, Carlos et Santiago, n’en sera que plus chaleureux. Mais quelle virée !
Propos de Francisco Bogalho, recueillis le 17 avril 2023 par F.V.
Cet article figurera également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 27 avril 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne sera plus importante que la version papier..
.
.
.
RTR AU MARATHON INTERNATIONAL DU LAC D’ANNECY : LES 3 PHOTOS DE 1 DES 2 FINISHERS / 15-16 – 04 – 2023
43ème édition du Marathon International du Lac d’Annecy, disputée à Annecy les 15 et 16 avril 2023.
Marathon du Lac d’Annecy (42,195 km), 16 avril.
A l’arrivée.
Au deuxième plan : Francisco Bogalho, 653ème (97ème M2H) en 3h28’26.
Crédit image :
RTR.
43ème édition du Marathon International du Lac d’Annecy, disputée à Annecy les 15 et 16 avril 2023.
Marathon du Lac d’Annecy (42,195 km), 16 avril.
A l’arrivée.
Au deuxième plan : Francisco Bogalho.
Crédit image :
RTR.
43ème édition du Marathon International du Lac d’Annecy, disputée à Annecy les 15 et 16 avril 2023.
Marathon du Lac d’Annecy (42,195 km), 16 avril.
L’après-course.
Francisco Bogalho, 653ème (97ème M2H) en 3h28’26.
Après l’effort…
Crédit image :
RTR.
.
.
.
RTR À ENTRELACS RUN AND TRAIL : LES RÉSULTATS / 02-04-2023
.
.
Entrelacs Run and Trail :
5ème du nom, disputé le dimanche 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie), sous la houlette d’Albens Club Pédestre Entrelacs.
.
.
Le Trail Perché :
18 km de long pour 680 m de dénivelé.
Le classement masculin :
Jean-Michel Greloux : 64ème (1er M5H) en 1h37’55, soit une vitesse de 11,03 km/h et un rythme de 5’26/km.
Le classement féminin :
– Geneviève Couapel Lebée : 60ème (3ème M4F, 232ème au scratch) en 2h09’52, soit une vitesse de 8,32 km/h et un rythme de 7’12/km ;
c’est son vrai classement, et non pas celui qui figure sur Altichrono qui a inséré Geneviève dans le classement homme ;
– Sabrina Grosdidier : 83ème (10ème M2F, 276ème au scratch) en 2h28’54, soit une vitesse de 7,25 km/h et un rythme de 8’16/km.
.
.
Le Trail des Granges :
10 km de long pour 270 m de dénivelé.
Le classement masculin :
– le Portugais Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR : 29ème (2ème M2H) en 47’47, soit une vitesse de 12,56 km/h et un rythme de 4’46/km ;
– Léo Carlioz : 33ème (3ème JUH) en 48’13, soit une vitesse de 12,44 km/h et un rythme de 4’49/km ;
– Laurent Carlioz (Trail Panoramic de l’Albanais / RTR) : 41ème (4ème M3H) en 51’01, soit une vitesse de 11,76 km/h et un rythme de 5’06/km.
Le classement féminin :
– Raphaëlle Cozic : 9ème (2ème M1F, 58ème au scratch) en 54’12, soit une vitesse de 11’07 km/h et un rythme de 5’25/km ;
– Axelle Carlioz (Trail Panoramic de l’Albanais / RTR) : 15ème (2ème ESF, 78ème au scratch) en 59’15, soit une vitesse de 10’13 km/h et un rythme de 5’55/km ;
– Estelle Vizioz-Fortin : 72ème (7ème M2F, 165ème au scratch) en 1h16’40, soit une vitesse de 7’83 km/h et un rythme de 7’39/km.
.
.
Les résultats complets :
https://altichrono.fr/resultats/2023_ert/
.
.
.
RTR À ENTRELACS RUN AND TRAIL : LE COMPTE RENDU DANS SA GLOBALITE / 02-04-2023
Hormis Jean-Michel Greloux, vainqueur du Trail Perché (18 bornes) parmi les masters 5 masculins (voir infra son récit et son interview), six RTR se sont distingués :
Egalement sur le Trail Perché (18 km) :
– La Boussignole Geneviève Couapel Lebée :
Elle continue à faire tourner la tête à son fidèle fan club. En effet, elle avale son équipée sauvage au 3ème rang chez les masters 4 féminins. In fine, c’est la quatrième fois qu’elle intègre cette année le trio de tête par catégories d’âge après le Trail Blanc du Semnoz, le 15 km de la Massingienne et le 10 km du Trail des Grottes. Chapeau bas !
Sur le Trail des Granges (10 km) :
– Le Rumillien Francisco Bogalho :
Malgré sa blessure, contractée le 31 mars dernier à la cheville gauche, qui l’a fait souffrir de bout en bout, le Lusitanien réussit le tour de force de récolter la 2ème place parmi les masters 2 masculins. Toujours aussi indomptable, le team manager !
– La famille Carlioz, de Saint-Eusèbe :
Elle aura brillé de mille feux ! Avec mention pour Léo et Axelle, respectivement 3ème junior masculin et 2ème espoir féminin. Quant à leur père Laurent, il retrouve des couleurs en échouant au pied du podium master 4 masculin.
– Enfin, la talentueuse Marignienne Raphaëlle Cozic, qui s’améliore de jour en jour, bouclant son périple en 2ème position chez les masters 1 féminins.
F.V.
Cet article figurera également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 20 avril 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne sera plus importante que la version papier..
.
.
.
RTR À ENTRELACS RUN AND TRAIL : LE RÉCIT DE JEAN-MICHEL GRELOUX, LAURÉAT CHEZ LES MASTER 5 SUR LE 18 KM / 02-04-2023
Par un dimanche matin bruineux, je rejoins avec mes coéquipiers Albens où a lieu le 5ème opus d’Entrelacs Run & Trail qui s’annonce frisquet. Le départ du Trail Perché, et ses 18 bornes pour un dénivelé de 680 m, est donné dans une ambiance chaude et conviviale.
Nous sommes rapidement dans le vif du sujet avec un terrain gras et pentu.
Tout le monde ajuste sa foulée ; j’en fais de même !
Après le cinq ou sixième km, alors que j’ai progressé de plusieurs places – partant en effet un peu en retrait, comme à l’accoutumée -, tout se passe bien. Les sensations sont bonnes.
Au sein d’un groupe de 4 à 5 personnes, je remonte des coureurs en mauvaise posture au 10ème km.
Il reste l’ultime grosse difficulté vers le 12ème km, et mes compagnons de parcours s’égrènent. Je me sens toujours bien et je décide donc de donner le maximum.
Je file à l’anglaise et rattrape du coup quelques concurrents, juste avant la ligne d’arrivée.
Nous sommes accueillis par des applaudissements et des encouragements. Parmi les supporters, je remarque quelques visages familiers. C’est un réel plaisir d’avoir vécu cette nouvelle aventure : indubitablement, elle m’enhardit pour la suite !
Jean-Michel Greloux
Cet article figurera également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 20 avril 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne sera plus importante que la version papier…
.
.
.
RTR A ENTRELACS RUN AND TRAIL : ENTRETIEN AVEC JEAN-MICHEL GRELOUX, LAURÉAT CHEZ LES MASTER 5 SUR LE 18 KM / 02-04-2023
« Avec mon métier d’horloger, RTR est devenu ma soupape de décompression », nous déclare Jean-Michel Greloux.
Question de F.V. : Pouvez-vous vous présenter ?
Réponse de Jean-Michel Greloux : Je suis né le 11 février 1962 dans la ville de Pithiviers, au nord du Loiret, un des six départements de la région Centre-Val de Loire.
Quant à mon enfance, je l’ai vécue dans le village de Boynes, à une dizaine de km de Pithiviers, au coeur de ce territoire qu’est le Gâtinais, cet ancien comté qui s’étend d’Orléans à Fontainebleau, entre Loire et Seine.
A quel moment avez-vous basculé dans la course à pied ?
En 1987 à Combloux sur des montées sèches, dénommées à cette époque « courses de côte ».
Pouvez-vous nous décrire ensuite, dans ses grandes lignes, votre parcours ?
Après plusieurs années d’interruption, j’ai repris la course à pied entre 2002 et 2007, alternant goudron et nature. Ma plus belle année intervient en 2004 où je dispute le Marathon d’Annecy (277ème en 3h23’49), mais aussi le 37 km du Trail de Faverges (78ème en 5h07’10), sans oublier le Bélier et ses 27 bornes (149ème en 2h46’57).
D’excellents résultats, assurément !
Sans aucun doute, mais ma carrière a été trop saccadée pour pouvoir progresser, à l’image de cette nouvelle coupure, consacrée au cyclisme. Sans retrouver pour autant mon niveau, je suis redevenu trailer en 2013, les multiples cessations et le poids des ans produisant irrémédiablement leurs effets. En témoignent mes prestations sur le 20 km de la Saintinoise (113ème en 2h38’29) puis du Bélier (414ème en 3h13’17). Mais le plus important n’était-il pas de rechausser ses baskets et de se faire plaisir ?
Puis c’est la merveilleuse aventure avec RTR ?
Effectivement ! A l’issue d’un énième arrêt, j’ai repris l’entraînement il y a deux ans avant d’intégrer, grande première (!), un collectif, et ce en septembre 2022 : Rumilly Trail Running pour lequel j’ai étrenné le maillot à l’occasion des 24 Heures de La Balme, jetant mon dévolu sur les Trois Heures, avec à la clef la deuxième perf pour avoir parcouru 35,7 km.
Quelle entrée fracassante ! Mais comment avez-vous rejoint l’emblématique Francisco Bogalho et sa bande ?
Par les réseaux sociaux.
Quels bienfaits vous apporte RTR ?
J’ai trouvé au sein du groupe un esprit convivial et bon enfant que j’apprécie tout particulièrement. A vrai dire, c’est la marque de fabrique du club.
Avec mon métier d’horloger, que j’exerce dans mon atelier à Marcellaz-Albanais où je réside, RTR est devenu ma soupape de décompression. D’autant plus quand je cavale dans la nature, éprouvant alors un sentiment de liberté qui n’a pas de prix.
Combien de séances d’entraînement faites-vous par semaine, aussi bien à RTR qu’en dehors ? Les fractionnés sont-ils incontournables pour vous ?
Je m’entraine trois fois par semaine et ne pratique pas de fractionnés, car je cours aux sensations.
Etes-vous prêt à courir le plus longtemps possible ? Qu’est-ce qui peut vous arrêter ?
Courir le plus longtemps, oui, mais à l’échelle de mon existence.
Ce qui pourrait me stopper ? Je ne sais pas car le corps humain s’adapte à beaucoup de contraintes, y compris au handicap.
Voulez-vous ajouter quelque chose qui vous est cher ?
Le dépassement de soi pourrait être une valeur exemplaire pour chacun d’entre nous.
Propos de Jean-Michel Greloux, recueillis le 11 avril 2023 par F.V.
Merci à lui !
Cet article figurera également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 20 avril 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne sera plus importante que la version papier..
.
.
.
RTR À ENTRELACS RUN AND TRAIL : LES 40 PHOTOS DES 9 FINISHERS / 02-04-2023
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
L’avant-course.
– A gauche : Geneviève Couapel Lebée, 60ème femme (3ème M4F, 232ème au scratch) en 2h09’52 ;
– au centre gauche : Aurélie Dolez, en off ;
– au centre droit : Jean-Michel Greloux, 64ème (1er M5H) en 1h37’55 ;
– à droite : Sabrina Grosdidier, 83ème femme (10ème M2F, 276ème au scratch) en 2h28’54.
Crédit image :
RTR.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
A hauteur du hameau de Dressy.
Au troisième rang : Jean-Michel Greloux.
Crédit image :
Albens Club Pédestre Entrelacs.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
A hauteur du hameau de Dressy.
Au premier plan : Sabrina Grosdidier.
Crédit image :
Albens Club Pédestre Entrelacs.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
A l’arrivée.
Jean-Michel Greloux.
Crédit image :
RTR.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
A l’arrivée.
Jean-Michel Greloux.
Crédit image :
RTR.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
A l’arrivée.
A droite : Jean-Michel Greloux, 64ème (1er M5H) en 1h37’55.
Crédit image :
Julie Faure.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
A l’arrivée.
Sur le passage piéton : Sabrina Grosdidier.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
A l’arrivée.
Sabrina Grosdidier.
Crédit image :
RTR.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
A l’arrivée.
Sabrina Grosdidier.
Crédit image :
RTR.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
A l’arrivée.
Sabrina Grosdidier.
Crédit image :
RTR.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
A l’arrivée.
Sabrina Grosdidier.
Crédit image :
RTR.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail Perché (18 km).
A l’arrivée.
Sabrina Grosdidier : 83ème femme (10ème M2F, 276ème au scratch) en 2h28’54.
Crédit image :
RTR.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
Au départ.
– A gauche, avec le dossard commençant par 7 : Estelle Vizioz-Fortin, 72ème femme (7ème M2F, 165ème au scratch) en 1h16’40 ;
– à droite, derrière le dossard 810, avec un maillot mauve : Axelle Carlioz, 15ème femme (2ème ESF, 78ème au scratch) en 59’15.
Crédit image :
Julie Faure.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
Au départ.
Au premier plan, à gauche : Estelle Vizioz-Fortin.
Crédit image :
Julie Faure.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
Au lieu-dit Le Longeret.
Francisco Bogalho, 29ème (2ème M2H) en 47’47.
Crédit image :
Cédric Cornuez.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
Au lieu-dit Le Longeret.
Dossard 817 : Laurent Carlioz, 41ème (4ème M3H) en 51’01.
Crédit image :
Cédric Cornuez.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
Au lieu-dit Le Longeret.
Dossard 817 : Laurent Carlioz.
Crédit image :
Cédric Cornuez.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
Au lieu-dit Le Longeret.
Au deuxième plan : Raphaëlle Cozic, 9ème femme (2ème M1F, 58ème au scratch) en 54’12.
Crédit image :
Cédric Cornuez.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
Au lieu-dit Le Longeret.
Au premier plan : Raphaëlle Cozic.
Crédit image :
Cédric Cornuez.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
Au lieu-dit Le Longeret.
Au troisième plan, à gauche : Axelle Carlioz.
Crédit image :
Cédric Cornuez.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
Au lieu-dit Le Longeret.
Dossard 709 : Estelle Vizioz-Fortin.
Crédit image :
Cédric Cornuez.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
Au lieu-dit Le Longeret.
Au premier plan : Estelle Vizioz-Fortin.
Crédit image :
Cédric Cornuez.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
Au lieu-dit Le Longeret.
Au premier plan : Estelle Vizioz-Fortin.
Crédit image :
Cédric Cornuez.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Au deuxième plan : Francisco Bogalho.
Crédit image :
RTR.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
A gauche : Francisco Bogalho.
Crédit image :
RTR.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Francisco Bogalho, 29ème (2ème M2H) en 47’47.
Crédit image :
Julie Faure.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Léo Carlioz : 33ème (3ème JUH) en 48’13.
Crédit image :
Julie Faure.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Laurent Carlioz.
Crédit image :
RTR.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Laurent Carlioz.
Crédit image :
RTR.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Laurent Carlioz.
Crédit image :
RTR.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Laurent Carlioz.
Crédit image :
RTR.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Laurent Carlioz.
Crédit image :
RTR.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Au deuxième plan : Laurent Carlioz.
Crédit image :
Julie Faure.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Laurent Carlioz, 41ème (4ème M3H) en 51’01.
Crédit image :
Julie Faure.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Raphaëlle Cozic : 9ème femme (2ème M1F, 58ème au scratch) en 54’12.
Crédit image :
Julie Faure.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Estelle Vizioz-Fortin.
Crédit image :
RTR.5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Estelle Vizioz-Fortin.
Crédit image :
RTR.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Estelle Vizioz-Fortin.
Crédit image :
RTR.
5ème édition d’Entrelacs Run and Trail, disputée le 2 avril 2023 à Albens (commune d’Entrelacs, Savoie).
Trail des Granges (10 km).
A l’arrivée.
Estelle Vizioz-Fortin, 72ème femme (7ème M2F, 165ème au scratch) en 1h16’40.
Crédit image :
RTR.
.
.
.
RTR AU TRAIL DES GROTTES : LES RÉSULTATS / 26-03-2023
.
.
Le Trail des Grottes :
2ème du nom, disputé le dimanche 26 mars à Saint-Christophe-la-Grotte (Savoie) sous la houlette du Site Historique des Grottes de Saint-Christophe et de Sange’As.
.
.h
Le Petit Trail des Grottes :
10 km de long pour 500 m de dénivelé.
Le classement masculin :
– le Portugais Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR : 30ème (3ème M2H) en 1h07’07, soit une vitesse moyenne de 7,87 km/h.
Le classement féminin :
– Raphaëlle Cozic : 13ème (2ème M1F, 42ème au scratch) en 1h13’54, soit une vitesse moyenne de 7,18 km/h ;
– Geneviève Couapel Lebée : 18ème (3ème M4F, 60ème au scratch) en 1h21’10, soit une vitesse moyenne de 6,56 km/h ;
– Vanessa Bachelet : 24ème (1ère M2F, 69ème au scratch) en 1h25’00, soit une vitesse moyenne de 6,27 km/h.
Les résultats complets :
https://www.unautresport.com/_Files/Meetings/2023/2023-TrailDesGrottes/Uploads/Results/r%C3%A9sultats%20Trail%20des%20Grottes%209km%202023.pdf
.
.
La Randonnée Pédestre :
10 km de long pour 500 m de dénivelé.
Parcours identique à celui du Petit Trail des Grottes.
Laura Bilbaut : a fait cause commune avec Vanessa Bachelet, alignée sur le Petit Trail des Grottes.
.
.
.
RTR AU TRAIL DES GROTTES : LE COMPTE RENDU / 26-03-2023
DES PROUESSES A GOGO !
Direction le parc naturel régional de Chartreuse, précisément la commune de Saint-Christophe-la-Grotte, aux confins de la Savoie et du Dauphiné, connue pour ses deux cavités préhistoriques.
Increvable
Un quatuor féminin et le team manager Francisco Bogalho ne voulaient pour rien au monde manquer cette compète en tous points atypique.
Une semaine après avoir dompté dans son pays natal les 49 bornes titanesques des Trails du Paléozoïque, l’inusable Lusitanien remettait le couvert, via le 10 km qu’il avait étrenné l’an passé. Au forceps, il concédera 1’19 au regard de sa première prestation, réalisée sur un parcours identique. « Hormis les 200 m de descente de la première bosse, qui semblent avoir été modifiées », dixit l’une des têtes pensantes de cette manifestation en la personne de Gwen Masson-Schaeffer, également organisateur de la Sange’Run.
Outre la fatigue de son périple au Portugal, le léger recul s’explique aussi par la pluie incessante qui tombait, obligeant Francisco à ne prendre aucun risque dans les dégringolades particulièrement casse-gueules. Ce qui ne l’a pas empêché de se classer au 3ème rang des masters 2 masculins.
Sur leurs petits nuages
Parallèlement, trois filles, toutes vétéranes, auront marqué les esprits sur ce 10 bornes. Qu’il s’agit de la Rumilienne Vanessa Bachelet, lauréate chez les M2 ; de la Marignienne Raphaëlle Cozic, dauphine parmi les M1 ; enfin de la Boussignole Geneviève Couapel Lebée, 3ème M4. A vrai dire, celle-ci ne faisait que confirmer son excellent début d’année, en intégrant pour la troisième fois le trio de tête par catégories d’âge après le Trail Blanc du Semnoz puis le 15 km de la Massingienne. Ce qui n’est pas un mince exploit pour une quinqua qui n’a découvert le trail qu’en septembre 2020 !
En dehors de leurs faits d’armes, elles ont été enchantées par le décor époustouflant de cette course si singulière, à l’instar de Raphaëlle : « En dépit de la météo maussade, je ne suis pas prête d’effacer de ma mémoire ce trail ô combien baroque ! A refaire, indubitablement ! » Geneviève ne disait pas autre chose : « Les temps forts ont foisonné, entre autres en grimpant les escaliers pour accéder à la grotte inférieure avant de la traverser. Et que dire de la voie Sarde et du pont romain ! Dommage que les nuages aient obstrué les points de vue sur la plaine des Echelles où coule cet ensorcelant torrent qu’est le Guiers Vif. »
Raphaëlle n’en revenait pas moins sur l’aspect sportif, en mettant l’accent sur le redoutable ratio distance (10 km) – dénivelé (450 m), d’autant plus que la pluie et la boue ne facilitaient pas la progression des trailers.
Marche-course
Concluons avec Laura Bilbaut, qui a préféré s’aligner sur la Randonnée Pédestre empruntant le tracé du 10 bornes. En effet, cette Parisienne de souche sortait d’une blessure contractée le 11 décembre dernier, lors d’une séance d’entraînement au Semnoz dans le but de préparer le Trail Blanc, programmé le 28 janvier. Des brûlures au deuxième degré sur les deux chevilles l’auront contraint à jeter l’éponge.
Finalement, elle a éprouvé beaucoup de plaisir à… recourir en compagnie de Vanessa, toutes les deux franchissant la ligne de concert. Mais quel bel état d’esprit que le trail cultive à merveille !
A l’occasion du décès du père de Laura, survenu le 1er avril, tous ses camarades de Rumilly Trail Running ont partagé son chagrin et celui de ses proches.
F.V.
Cet article figurera également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 13 avril 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne sera plus importante que la version papier.
.
.
.
RTR AU TRAIL DES GROTTES : LES 6 PHOTOS DES 5 FINISHERS ET D’UN PAYSAGE / 26-03-2023
2ème édition du Trail des Grottes, disputée le 26 mars 2023 à Saint-Christophe-la-Grotte (Savoie).
L’avant-course.
La grotte supérieure, non concernée par le Petit Trail des Grottes et la Randonnée Pédestre.
L’équipe au complet, composée de cinq RTR :
– à gauche : Francisco Bogalho, 30ème (7ème M1H) en 1h07’07 sur le Petit Trail des Grottes ;
– au centre gauche : Geneviève Couapel Lebée, 18ème femme (3ème M2F, 60ème au scratch) en 1h21’10 sur le Petit Trail des Grottes ;
– au centre : Laura Bilbaut qui a fait cause commune avec Vanessa Bachelet, la première sur la Randonnée Pédestre, la deuxième sur le Petit Trail des Grottes ;
– au centre droit : Vanessa Bachelet, 24ème femme (1ère M2F, 69ème au scratch) en 1h25’00 sur le Petit Trail des Grottes ;
– à droite : Raphaëlle Cozic, 13ème femme (2ème M1F, 42ème au scratch) en 1h13’54 sur le Petit Trail des Grottes.
Crédit image :
RTR.
2ème édition du Trail des Grottes, disputée le 26 mars 2023 à Saint-Christophe-la-Grotte (Savoie).
Petit Trail des Grottes (10 km).
Randonnée Pédestre (10 km).
L’avant-course.
Le monument dédié à Charles-Emmanuel ll de Savoie, sur la voie Sarde.
Il a été érigé en 1674 sur la voie Sarde, juste avant l’accès aux deux grottes.
Creusée par les eaux des torrents des périodes glaciaires, la voie Sarde est quant à elle une gorge d’origine naturelle, dénommée le « Défilé des Echelles ». C’est au XVIIème siècle que cette voie fut aménagée en route. Elle fut qualifiée de « Sarde » en 1815 lorsque les Ducs de Savoie sont devenus les rois du Piémont-Sardaigne.
Quatre des cinq RTR présents :
– à gauche : Francisco Bogalho ;
– au centre gauche : Laura Bilbaut ;
– au centre droit : Vanessa Bachelet ;
– à droite : Raphaëlle Cozic.
Crédit image :
RTR.
2ème édition du Trail des Grottes, disputée le 26 mars 2023 à Saint-Christophe-la-Grotte (Savoie).
Petit Trail des Grottes (10 km).
Randonnée Pédestre (10 km).
Les coureurs et les marcheurs en piste.
Blotti dans son écrin de pierres, tel est l’ensorcelant pont romain qui enjambe le Guiers Vif.
Jadis, cette rivière marquait la frontière entre la France et le Duché de Savoie. Raison pour laquelle était installé sur cet ouvrage un poste de douane qui disparaîtra en 1860, année qui coïncide avec l’annexion de la Savoie à la France.
Malgré son nom, le pont ne date pas de l’époque romaine. A vrai dire, la période de construction n’est pas connue avec exactitude mais daterait plus probablement du XVIIIème siècle.
Crédit image :
Matthias Kroll (Alpigraphie).
2ème édition du Trail des Grottes, disputée le 26 mars 2023 à Saint-Christophe-la-Grotte (Savoie).
Petit Trail des Grottes (10 km).
Randonnée Pédestre (10 km).
Au deuxième plan : Vanessa Bachelet sur le Petit Trail des Grottes.
Crédit image :
Matthias Kroll (Alpigraphie).
2ème édition du Trail des Grottes, disputée le 26 mars 2023 à Saint-Christophe-la-Grotte (Savoie).
Petit Trail des Grottes (10 km).
Randonnée Pédestre (10 km).
Au deuxième plan : Vanessa Bachelet sur le Petit Trail des Grottes.
Crédit image :
Matthias Kroll (Alpigraphie).
2ème édition du Trail des Grottes, disputée le 26 mars 2023 à Saint-Christophe-la-Grotte (Savoie).
Petit Trail des Grottes (10 km).
Au sortir de la remise des prix du podium M2F.
Vanessa Bachelet : 1ère en 1h25’00.
Crédit image :
RTR.
.
.
.
RTR AUX TRILHOS DO PALEOZOICO (TRAILS DU PALÉOZOÏQUE) : LES RÉSULTATS / 19-03-2023
.
.
Os Trilhos do Paleozoico :
10ème du nom, disputés le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (Portugal), sous la houlette de Trilhos do Paleozoico que préside Luís Pereira.
.
.
L’Ultra :
48 km de long pour 2600 m de dénivelé (avant la course) ; 49,1 km de long pour 2576 m de dénivelé (à l’arrivée).
Le classement masculin :
– le Portugais Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR : 54ème (22ème M40H) en 9h02’23, soit une vitesse de 5,4 km/h et un rythme de 11’02/km ;
– Sylvain Clermont : 63ème (27ème M40H) en 9h29’33, soit une vitesse de 5,1 km/h et un rythme de 11’35/km.
.
.
Le Mini :
12 km de long pour 500 m de dénivelé (avant-course) ; 11,8 km de long pour 495 m de dénivelé (arrivée).
Le classement masculin :
le Portugais Afonso Guedes, convié par sa soeur Susana Bogalho : 624ème (162ème SEH) en 2h08’34, soit une vitesse de 5,5 km/h et un rythme de 10’50/km.
Le classement féminin :
la Portugaise Susana Bogalho, épouse de Francisco : 94ème (31ème M40F, 455ème au scratch) en 1h45’42, soit une vitesse de 6,7 km/h et un rythme de 08’54/km.
.
.
Les résultats complets :
https://resultados.stopandgo.pro/947/Individual
.
.
.
RTR AUX TRILHOS DO PALEOZOICO (TRAILS DU PALÉOZOÏQUE) : LE RÉCIT DE SYLVAIN CLERMONT, AVEC F.V. / 19-03-2023
Par rapport au premier voyage effectué au Portugal en décembre dernier, nous avons pris davantage de jours avant et après le D-Day, à la fois pour repérer le lieu de course, visiter plus en profondeur l’aire urbaine de Porto, enfin se détendre.
En apparence, ce trail est à notre portée au regard du ratio distance-dénivelé (49,1 km pour 2576 m de dénivelé), et des entraînements managés par Francisco Bogalho. Mais en dialoguant le samedi avec l’organisateur Luís Pereira lors du retrait des dossards, celui-ci nous met en garde : « S’il n’y a pas de difficultés majeures jusqu’au 20ème km, la suite est tout autre. Vous allez en effet souffrir, à tel point que vous allez connaître l’enfer ! » Et effectivement, il n’a pas forcé le trait ! Car oui, j’ai vraiment vécu un calvaire. Perclus d’énormes crampes dès le 23ème km, j’ai dû m’arrêter en me demandant si je n’allais pas abdiquer.
Durant les 15 premières bornes, j’ai fait cause commune avec mon mentor avant qu’il ne fasse cavalier seul. On s’est retrouvé au 26ème km, Francisco étant victime de crampes, moi-même y échappant de justesse. Tant bien que mal, nous avons progressé de concert jusqu’au 35ème km qui a vu mon équipier prendre définitivement la poudre d’escampette, son état de forme grimpant en flèche.
Les cuisses en feu, j’ai alors serré les dents jusqu’à l’arrivée, aussi bien dans les ascensions avoisinant les 70% (!) que dans les descentes hyper techniques. Une fois avalé, au km 43,5, le bien nommé « Ascenseur », il ne me restait plus qu’à gérer mon allure afin ne pas excéder les 10 heures de course, barrière horaire oblige.
In fine, jamais, depuis mes premières foulées intervenues en avril 2009, je n’en avais autant bavé. Assurément, ce tracé restera gravé dans ma mémoire ! On peut lui accoler plusieurs adjectifs : sympa par ses forêts d’eucalyptus, atypique par ses rivières à traverser, renversant par ses multiples montées verticales, certaines parsemées de grosses pierres, de cailloux et d’ardoises, ce qui accentue bien sûr la difficulté.
En guise d’épilogue, je tiens à féliciter chaleureusement les têtes pensantes de cette manifestation pour le balisage réalisé à la perfection. Et que dire des concurrents que nous avons côtoyés lorsque nous étions à la ramasse ! Loin d’être des adversaires, ils se sont en effet mis en quatre pour atténuer nos souffrances, certains n’hésitant pas à nous fournir des capsules anti-crampes. Il n’y a pas à dire, l’esprit trail est encore bien vivant en dépit des mauvaises langues !
Sylvain Clermont, avec F.V.
Sylvain Clermont en bref :
Sa première compète a lieu le 19 avril 2009 à l’occasion du Semi-Marathon International du Lac d’Annecy. Il boucle les 21,0975 km en 1h49’53, terminant à la 1353ème place (569ème SEH).
C’est à l’automne 2019 qu’il intègre RTR.
Il est originaire de Tourcoing pour y être né le 31 janvier 1977 avant d’y grandir. Cette commune du Nord est aujourd’hui la deuxième ville la plus peuplée de la Métropole européenne de Lille.
Il quitte sa commune de souche au terme de ses études pour aller s’installer, suite à une rencontre, dans le département de l’Isère. Il est alors âgé de 23 ans.
Les aléas de la vie le font atterrir en 2020 à Saint-Félix après avoir vécu à Saint-Etienne puis à Chambéry.
Il est responsable qualité sécurité environnement dans un atelier de découpe de viande à Rumilly.
Cet article figurera également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 30 mars 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne sera plus importante que la version papier.
.
.
.
RTR AUX TRILHOS DO PALEOZOICO (TRAILS DU PALÉOZOÏQUE) : LE RÉCIT DE FRANCISCO BOGALHO, AVEC F.V. / 19-03-2023
A la différence de Sylvain Clermont, j’ai couru à un jet de pierre de mon domicile. Je connais donc bien le terrain de jeu, même si je n’ai jamais eu le courage d’affronter ce parcours ô combien dantesque, long de 49,1 km pour une dénivellation de 2576 m. D’ailleurs, les finishers de ce trail ont toujours été, pour ma part, des malades pour ne pas dire des déments.
Cette année, c’est moi qui étais malade, c’est moi qui avais perdu la raison en choisissant cette compète, uniquement pour sa démesure. Malade mentalement, mais aussi physiquement ! Par deux fois, je me suis mis en effet à débecter. Mais surtout, alors qu’il restait pas moins de 23 km, j’ai été victime de crampes musculaires particulièrement douloureuses, inconnues depuis mes débuts en course à pied. J’ai été alors à deux doigts de capituler, d’autant plus que les pentes de catastrophe se répétaient à profusion.
Heureusement, je me suis souvenu que je disposais d’une carte maîtresse : mes potes de RTR, toujours prompts, dans leurs starting blocks, à réagir pour me venir en aide. Et dans le cas présent, tout faire pour me galvaniser, me transcender, et ainsi me permettre d’en finir avec cette équipée sauvage extravagante, avec ce truc de malade, avec ce truc de ouf !
C’est par messages que le contact a été établi avec mes ouailles, et finalement, leur soutien est allé au-delà de toute espérance ! Le moral gonflé à bloc, je me suis autorisé, à 14 bornes de la délivrance, à accélérer la cadence. Et par ricochet à me détacher de Sylvain, qui revenu du diable vauvert, avait réussi le tour de force de me rattraper au 26ème km. Cerise sur le gâteau, j’ai pu atteindre le Graal : boucler en neuf heures ce parcours du combattant. Hagard, vacillant, rincé, tels étaient les symptômes du finisher que dorénavant je suis. Et fier de l’être, conscient d’avoir dompté, comme par magie, un trail unique en son genre, digne d’une autre planète.
Francisco Bogalho, avec F.V.
Cet article figurera également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 30 mars 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne sera plus importante que la version papier.
.
.
.
RTR AUX TRILHOS DO PALEOZOICO (TRAILS DU PALÉOZOÏQUE) : LES 16 PHOTOS DES 4 FINISHERS, ILLUSTRANT CE MÉMORABLE D-DAY / 19-03-202310ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Ultra (48 km).
Seuls au monde, avant les trois coups…
– A gauche : Sylvain Clermont ;
– à droite : Francisco Bogalho.
Crédit image :
RTR.10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Ultra (48 km) et Mini (12 km).
Seuls au monde, avant les trois coups…
– A gauche : Sylvain Clermont ;
– au centre : Susana Bogalho, épouse de Francisco ;
– à droite : Francisco Bogalho.
Les deux garçons s’élanceront sur le 48 km, la fille figurant sur le 12.
Crédit image :
RTR.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Ultra (48 km) et Mini (12 km).
Seuls au monde, avant les trois coups…
– A gauche : Sylvain Clermont ;
– au centre : Susana Bogalho ;
– à droite : Francisco Bogalho.
Les deux messieurs s’aligneront sur le 48 km, la traileuse s’engageant sur le 12.
Crédit image :
RTR.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Ultra (48 km).
L’heure de vérité approche à grandes enjambées…
– A droite : Francisco Bogalho ;
– à gauche : Sylvain Clermont.
Crédit image :
RTR.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Ultra (48 km).
– Au premier plan : Francisco Bogalho ;
– au deuxième plan : Sylvain Clermont.
Crédit image :
Hélder Marques.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Ultra (48 km).
Sylvain Clermont.
Crédit image :
Hélder Marques.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Ultra (48 km).
– Au premier plan : Francisco Bogalho, 54ème (22ème M40H) en 9h02’23 ;
– au deuxième plan : Sylvain Clermont, 63ème (27ème M40H) en 9h29’33.
Crédit image :
RTR.10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Mini (12 km).
Les premiers frétillements : l’heure de vérité approche…
Afonso Guedes, convié par sa soeur Susana Bogalho.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Mini (12 km).
Frère et soeur arborent enfin le maillot de RTR : la tension commence à monter…
– A droite : Afonso Guedes ;
– à gauche : Susana Bogalho.
Crédit image :
RTR.10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Mini (12 km).
Le départ vient d’être donné.
– Dossard 2613 : Susana Bogalho, 94ème femme (31ème M40F, 455ème au scratch) en 1h45’42 ;
– derrière et à gauche de Susana, enfilant le maillot bleu de RTR : Afonso Guedes, 624ème (162ème SEH) en 2h08’34.
Crédit image :
Rui Vilas.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Mini (12 km).
L’arrivée.
Au deuxième plan : Susana Bogalho.
Crédit image :
Filipe Marques Photography.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Mini (12 km).
L’arrivée.
Susana Bogalho.
Crédit image :
Filipe Marques Photography.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Mini (12 km).
L’arrivée.
Susana Bogalho, épouse de Francisco : 94ème femme (31ème M40F, 455ème au scratch) en 1h45’42.
Crédit image :
Filipe Marques Photography.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Mini (12 km).
L’arrivée.
Afonso Guedes.
Crédit image :
Filipe Marques Photography.10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Mini (12 km).
L’arrivée.
Afonso Guedes, convié par sa soeur Susana Bogalho : 624ème (162ème SEH) en 2h08’34.
Crédit image :
Filipe Marques Photography.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico, disputée le dimanche 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal).
Ultra (48 km).
A l’arrivée.
Après avoir bouclé le Mini (12 km), Susana Bogalho piaffe d’impatience en attendant son âme soeur et Sylvain Clermont.
Crédit image :
RTR.
.
.
.
RTR AUX TRILHOS DO PALEOZOICO (TRAILS DU PALÉOZOÏQUE) : L’AVANT-COURSE VIA LES 4 PHOTOS ILLUSTRANT LE VOYAGE PUIS LE SÉJOUR / 17-18 – 03-2023
10ème édition des Trilhos do Paleozoico : l’avant-course, le vendredi 17 mars 2023.
Dans l’aérogare de l’aéroport international de Genève.
– A gauche : Francisco Bogalho ;
– au centre : Susana Bogalho ;
– à droite : Sylvain Clermont.
Crédit image :
RTR.10ème édition des Trilhos do Paleozoico : l’avant-course, le vendredi 17 mars 2023.
Sur le tarmac de l’aéroport international de Genève.
– Au premier plan : Francisco Bogalho qui fera parler, comme à l’accoutumée, son coeur : « A bientôt Portugal ! » ;
– au deuxième plan : Susana Bogalho.
Crédit image :
RTR.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico : l’avant-course, le vendredi 17 mars 2023.
Le diner dans le restaurant O Laranjal, à Gondomar.
Cet établissement a la particularité d’être situé dans le stade de football de São Pedro Da Cova, petite ville où a grandi Francisco Bogalho, qui intègre la municipalité de Gondomar.
– 1er à droite : Francisco Bogalho ;
– 2ème à droite : Susana Bogalho ;
– 1er à gauche : Sylvain Clermont ;
– 2ème à gauche : Saloua Chhab.
Crédit image :
RTR.
10ème édition des Trilhos do Paleozoico : l’avant-course, le samedi 18 mars 2023.
La chapelle du Seigneur de la Pierre, dans le village de Miramar, dépendant de la commune de Vila Nova de Gaia.
Erigé au XVIIIème siècle sur un rocher, au bord de l’Atlantique et au milieu de l’immense plage de sable qui porte son nom, cet édifice est unique en son genre, par son architecture hexagonale, et bien sûr par son site.
Ce lieu de culte est situé à 10 km au sud de Porto.
– Au premier plan : Francisco Bogalho ;
– au deuxième plan, à droite : Sylvain Clermont ;
– au deuxième plan, à gauche : Saloua Chhab ;
– au fond : Susana Bogalho.
Crédit image :
RTR.
.
.
.
RTR AUX TRILHOS DO PALEOZOICO (TRAILS DU PALÉOZOÏQUE) : L’AVANT-COURSE VIA LES 4 PHOTOS DES 4 PARTICIPANTS / 19-03-2023Le team manager Francisco Bogalho, inscrit sur l’Ultra (48 km), disputé le 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal) dans le cadre de la 10ème édition des Trilhos do Paleozóico, orchestrée par Luís Pereira.
Il s’agit de sa seconde participation. En effet, neuf ans auparavant, précisément le 16 mars 2014, il prenait part au 2ème millésime où il se classera, sur le 23 km, à la 533ème place, 4h40’13 lui étant nécessaires pour boucler son périple. Toujours à Valongo, il disputait sa première compète le 29 juillet 2012, à l’occasion du néo-Trail de Santa Justa dont les parcours se confondent en grande partie avec ceux des Trilhos do Paleozóico. Cette manifestation intervenait un mois seulement après avoir jeté son dévolu sur la course à pied.
Le Lusitanien devra surmonter un dénivelé de 2600 m en s’invitant dans un décor exceptionnel où émergent trois chaînes montagneuses, dénommées « serras » en portugais : la serra de Santa Justa, la Serra da Pia, enfin la Serra do Castiçal.
Niveau Betrail :
48,80.
Compétitions en 2023 :
– 75ème sur le 28 km de la Massingienne ;
– 422ème sur le Trail Blanc du Semnoz.
Compétitions en 2022 :
– 53ème sur le 42,3 km du Gerês Extreme Marathon ;
– 312ème sur le 75 km du Grand Trail du Lac ;
– 49ème sur le 12 km les Trails de Thusy ;
– 15ème sur les 24 Heures de La Balme ;
– 448ème sur le 42,5 km du Trail des Passerelles du Monteynard ;
– 18ème sur le 43 km d’Entrelacs Run and Trail ;
– 24ème sur le 7 km de la Cusy’Hard ;
– 13ème par équipes sur le 11 km de la Course Relais à 2 de la Vela Corsa ;
– 420ème sur le 51,5 km du Trail Nivolet-Revard ;
– 129ème sur le 21 km du Trail de la Mandallaz ;
– 31ème sur le 9 km du Trail des Grottes ;
– 76ème sur le 10 km de la Corrida de Carnaval ;
– 251ème sur le 11,5 km du Trail Blanc du Semnoz.
Cliché pris le 19 juin 2022 à l’occasion du 4ème Entrelacs Run and Trail, concouru à Albens (commune d’Entrelacs), où Francisco s’appropriera, sur le Trail des Hauts du Lac (43 km), la 18ème place (4ème M2H) en 6h14’59.
Photo réalisée à Longeret.
Crédit image :
Albens Club Pédestre Entrelacs.Sylvain Clermont, inscrit sur l’Ultra (48 km), disputé le 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal) dans le cadre de la 10ème édition des Trilhos do Paleozóico, orchestrée par Luís Pereira.
Il devra surmonter un dénivelé de 2600 m en s’invitant dans un décor exceptionnel où émergent trois chaînes montagneuses, dénommées « serras » en portugais : la serra de Santa Justa, la Serra da Pia, enfin la Serra do Castiçal.
Niveau Betrail :
44,17.
Compétitions en 2022 :
– 167ème sur le 42,3 km du Gerês Extreme Marathon ;
– 29ème par équipes mixtes sur le 75 km du Grand Trail du Lac ;
– 418ème sur le 51,5 km du Trail Nivolet-Revard.
Cliché pris le 1er mai 2022 à l’occasion du 18ème Trail Nivolet-Revard, concouru à Voglans, où Sylvain s’appropriera, sur le 51,5 km, la 418ème place (118ème M1H-M2H) en 8h46’26.
Photo réalisée au fameux belvédère du mont Revard, orienté sur le bassin aixois et le lac du Bourget.
Crédit image :
pixalpes photo•sportSusana Bogalho, inscrite sur le Mini (12 km), disputé le 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal) dans le cadre de la 10ème édition des Trilhos do Paleozóic, orchestrée par Luís Pereira.
Elle devra surmonter un dénivelé de 500 m.
Afonso Guedes, convié par sa soeur Susana Bogalho, inscrit sur le Mini (12 km), disputé le 19 mars 2023 à Valongo (nord-ouest du Portugal) dans le cadre de la 10ème édition des Trilhos do Paleozóic, orchestrée par Luís Pereira.
Il devra surmonter un dénivelé de 500 m.
.
.
.
ENTRETIEN AVEC ANTHONY BOUSSON, NOUVEAU COACH À RTR POUR LA SÉANCE DE FRACTIONNÉ
« L’objectif est de faire progresser le groupe et de permettre un entrainement adapté à chacun », nous déclare Anthony Bousson.
Question de F.V. : Où avez-vous grandi ?
Réponse d’Anthony Bousson : Dans cette ancienne région administrative qui s’appelait la Picardie, absorbée aujourd’hui par les Hauts-de-France. En effet, j’ai vécu toute mon enfance à Château-Thierry, dans le sud du département de l’Aisne, où je suis né le 21 juillet 1974.
Quelle direction avez-vous prise ensuite ?
Je suis parti dans le département voisin des Ardennes, précisément en 1998, à l’âge de 24 ans, en prenant mes quartiers à Saint-Aignan, un village de 150 habitants niché près de la sous-préfecture sedanaise. Au bout du compte, j’y suis resté 23 ans.
Puis l’envie des montagnes et du soleil m’a poussé à demander, avec mon épouse Natacha, notre mutation dans le 74 en tant que professeurs des écoles. Finalement, nous avons été nommés tous les deux à Thusy, ma femme prenant en charge les MS-GS, moi-même les CM1-CM2. Depuis juillet dernier, nous résidons à Bonneguête.
Quand et comment avez-vous inoculé le virus de la course à pied ?
Au milieu des années 2000, en participant notamment à la mythique course sur route de 23,9 km, Sedan-Charleville, fondée en 1906, soit la plus ancienne compète de ville à ville en France. Puis j’ai rejoint en 2008 la formation ardennaise de l’Union sportive des cheminots, basée à Nouvion-sur-Meuse. Très vite, je me suis spécialisé dans les épreuves d’endurance, qu’il s’agit du marathon, du trail long ou de l’ultra-trail. Sur la route, je compte à mon actif 10 marathons. Mais c’est la course nature qui est ma discipline de prédilection comme en témoigne le nombre de compètes déjà disputées, certaines à plusieurs reprises : la SaintéLyon par trois fois, Le Roc La Tour et le Trail du Gypaète par deux fois, l’Ardenne Mega Trail, la Bouillonnante, Olne-Spa-Olne, le Trail du Haut-Koenigsbourg, le Trail des Tranchées, le Trail des Trappistes, enfin l’Ultra Trail des Montagnes du Jura (1).
Parallèlement, ma passion débordante pour le trail m’a incité à prendre en main la section adulte du club, pour laquelle je concoctais des plans d’entraînement.
Et finalement vous avez opéré à peu près de la même manière à RTR ?
Tout à fait, puisque j’ai proposé à Francisco Bogalho, notre team manager, la création d’une séance de fractionné qui faisait cruellement défaut. Enthousiaste à cette idée, le Portugais l’a aussitôt avalisée. Le but est triple : faire progresser le groupe, permettre un entraînement adapté à chacun, enfin séduire des coureurs qui craignent les trois autres séances (2).
Vous avez intégré RTR en juillet 2021. Pourquoi ne pas l’avoir fait auparavant ?
A vrai dire, j’avais déjà envisagé cette séance l’an passé. Mais j’ai eu des problèmes de santé qui m’ont conduit à arrêter la course à pied pendant neuf mois.
Comment se déroule cette séance ?
Pour le moment, nous faisons du fractionné court, compris entre 30 secondes et 4 minutes. Depuis le 16 janvier, nous partons le lundi à 18 h 45 du parking d’Intermarché, pour finir 1 h plus tard sur la piste d’athlétisme du collège du Clergeon. Au préalable, 20 à 25 minutes sont réservées au footing puis 5 minutes aux gammes, avec comme exercices les talons aux fesses, les montées de genoux, enfin les accélérations. Intervient alors, et pendant 25 minutes, le fractionné de la semaine avant un retour au calme qui n’excède pas les 5 minutes.
La piste est-elle idéale ?
Honnêtement, elle a le mérite d’exister. In fine, le must serait une piste de 400 m. Mais n’oublions pas que RTR est axé principalement sur le trail. Du coup, il faudrait s’adonner également aux séances de côte, sur route ou en nature, peu importe. Le lieu ne devrait pas être très difficile à trouver, les coteaux étant légion dans cette pénéplaine de l’Albanais, y compris sur Rumilly.
Y a-t-il foule ?
Nous sommes une dizaine à chaque fois, quelques uns faisant preuve d’une grande fidélité.
Pour encourager nos membres à se déplacer, je divulgue tous les dimanches le programme qui figure sur ma montre.
Les retombées sont-elles positives ?
Je constate déjà des progrès, principalement chez les adhérents qui ont envie de faire des compètes pour aller chercher des chronos, à l’image de Laurent Lemaitre.
Voulez-vous ajouter quelque chose qui vous tient à coeur ?
Bientôt, je proposerai un test VMA pour adapter ces séances de fractionné à chaque RTR.
Propos d’Anthony Bousson, recueillis le 24 février 2023 par F.V.
Merci à lui !
(1) Le palmarès d’Anthony Bousson sur trail long et ultra-trail figure sur le site Web Deutsche Ultramarathon Vereinigung :
https://statistik.d-u-v.org/getresultperson.php?runner=793432
(2) Les séances du mardi et du jeudi sont menées tambour battant dans le groupe 1, et celle du dimanche est longue, ce qui peut rebuter certains RTR.
Cet article figurera également dans l’Hebdo des Savoie, le jeudi 28 septembre 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne sera plus importante que la version papier.
.
.
.
ENTRETIEN AVEC ANTHONY BOUSSON, NOUVEAU COACH À RTR POUR LA SÉANCE DE FRACTIONNÉ : LA PHOTOAnthony Bousson, coach à RTR pour la séance de fractionné depuis le 16 janvier 2023.
Cliché pris le 3 octobre 2021 à l’occasion des 2ème Trails de Thusy où Anthony s’appropriera, sur le 1er Trail du Tilleul (24 km), la 42ème place (6ème M2H) en 2h36’34.
On le voit ici enfiler les couleurs de l’Union sportive des cheminots, club ardennais basé à Nouvion-sur-Meuse, dont il a été l’une des figures de proue entre la fin 2008 et le 31 août 2021. Parallèlement, cet Axonais de souche avait rejoint RTR en juillet 2021.
Photo réalisée au deuxième passage de la route départementale 251, ou route de Foraz.
Crédit image :
Thusy en Trail.
.
.
.
RTR AU BÉLIER BLANC : LES RÉSULTATS / 04-03-2023
.
.
Le Bélier Blanc :
5ème du nom, disputé le samedi 4 mars 2023 en nocturne à La Clusaz (Haute-Savoie), sous la houlette du Club des Sports de La Clusaz.
.
.
Le grand parcours :
14 km de long pour 536 m de dénivelé positif et 590 m de dénivelé négatif.
Le classement féminin :
– la Franco-Marocaine Ibtissam Sihapanya : 34ème (6ème M1F, 293ème au scratch) en 1h28’42, soit une vitesse moyenne de 9,3 km/h et un rythme de 6’27/km ;
– Séverine Revillard : 107ème (17ème M1F, 521ème au scratch) en 1h41’21, soit une vitesse de 8,2 km/h et un rythme de 7’19/km ;
– Sabrina Grosdidier : 194ème (20ème M2F, 694ème au scratch) en 1h57’59, soit une vitesse de 7,0 km/h et un rythme de 8’34/km.
Les résultats complets :
https://live.l-chrono.com/resultats/belier-blanc-2023
.
.
.
RTR AU BÉLIER BLANC : LE COMPTE RENDU / 04-03-2023
COUP D’ESSAI, COUP DE MAÎTRE POUR IBTISSAM !
Au regard de sa réaction, la Franco-Marocaine Ibtissam Sihapanya n’est pas prête d’oublier sa deuxième compète, synonyme de premier trail blanc : « J’ai vécu une très belle aventure avec une organisation au top, des paysages envoûtants, la magie d’un parcours enneigé au coeur de la nuit, enfin la présence de mes coéquipières Stéphanie Revillard et Sabrina Grosdidier. Bien évidemment, je tiens à remercier RTR pour ses entraînements fructueux et son indéfectible soutien. »
Fusse sa modestie en pâtir, on soulignera sa remarquable prestation, Ibtissam trustant la 34ème place féminine sur un total de 219 finisheuses. Entamée le 23 octobre 2022, à l’occasion du 75 km du Grand Trail du Lac où elle s’est classée 33ème chez les dames, son ascension pourrait bien s’accélérer. A l’aube de ses 40 ans, cette bouchère n’a donc pas fini de nous surprendre.
F.V.
Cet article figure également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 16 mars 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne est plus importante que la version papier. .
.
.
.
RTR AU BÉLIER BLANC : LES 2 PHOTOS DES 3 FINISHEUSES / 04-03-20235ème édition du Bélier Blanc, disputée le 4 mars 2023 à La Clusaz.
14 km.
L’avant-course.
Les trois baroudeuses de Rumilly Trail Running :
– à gauche : Sabrina Grosdidier ;
– au centre : Séverine Revillard ;
– à droite : Ibtissam Sihapanya.
Crédit image :
RTR.5ème édition du Bélier Blanc, disputée le 4 mars 2023 à La Clusaz.
14 km.
L’avant-course.
Sabrina Grosdidier.
Crédit image :
RTR..
.
.
.
RTR À LA MASSINGIENNE : LES RÉSULTATS / 04-03-2023
.
.
La Massingienne :
6ème du nom, disputée le samedi 4 mars à Massingy, sous la houlette de Massingy Pour Tous.
.
.
Le Trail de la Néphaz :
28 km de long pour 1200 m de dénivelé.
Le classement masculin :
– Jean-Michel Greloux : 59ème (2ème M5H) en 2h51’51, soit une vitesse de 9,8 km/h et un rythme de 6’07/km ;
– le Portugais Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR : 75ème (5ème M2H) en 2h58’15, soit une vitesse de 9,4 km/h et un rythme de 6’22/km ;
– Laurent Lemaitre : 91ème (7ème M2H) en 3h06’11, soit une vitesse de 9,0 km/h et un rythme de 6’40/km ;
– Anthony Bousson : 119ème (11ème M2H) en 3h20’17, soit une vitesse de 8,4 km/h et un rythme de 7’08/km ;
– Laurent Carlioz (Trail Panoramic de l’Albanais / RTR) : 129ème (12ème M3H) en 3h24’23, soit une vitesse de 8,2 km/h et un rythme de 7’19/km.
.
.
Le Trail du Lénard :
15 km de long pour 500 m de dénivelé.
Le classement masculin :
– Loïc Aubert : 24ème (14ème SEH) en 1h10’52, soit une vitesse de 12,7 km/h et un rythme de 4’43/km ;
– Nicolas Ayroulet : 46ème (7ème M1H) en 1h17’19, soit une vitesse de 11,5 km/h et un rythme de 5’10/km ;
– Cyril Chaize : 79ème (8ème M2H) en 1h26’42, soit une vitesse de 10,4 km/h et un rythme de 5’46/km ;
– Guillaume Devise : 89ème (33ème SEH) en 1h27’46, soit une vitesse de 10,3 km/h et un rythme de 5’49/km ;
– Yann Tracoulat : 90ème (13ème M1H) en 1h28’04, soit une vitesse de 10,2 km/h et un rythme de 5’52/km ;
– Stéphane Delrieu : 93ème (8ème M3H) en 1h28’41, soit une vitesse de 10,1 km/h et un rythme de 5’56/km.
Le classement féminin :
– Raphaëlle Cozic : 6ème (1ère M1F, 76ème au scratch) en 1h26’27, soit une vitesse de 10,4 km/h et un rythme de 5’46/km ;
– Geneviève Couapel Lebée : 23ème (1ère M4F, 133ème au scratch) en 1h37’20, soit une vitesse de 9,2 km/h et un rythme de 6’31/km ;
– Axelle Carlioz : 36ème (2ème ESF, 158ème au scratch) en 1h44’19, soit une vitesse de 8,6 km/h et un rythme de 6’58/km ;
– Justine Mongellaz : 38ème (21ème SEF, 160ème au scratch) en 1h44’41, soit une vitesse de 8,6 km/h et un rythme de 6’58/km ;
– Estelle Vizioz-Fortin : 52ème (4ème M2F, 187ème au scratch) en 2h09’50, soit une vitesse de 6,9 km/h et un rythme de 8’41/km.
.
.
Les résultats complets :
https://live.l-chrono.com/resultats/la-massingienne-2023
.
.
.
RTR À LA MASSINGIENNE : LE COMPTE RENDU / 04-03-2023
Intégrant, le 28 janvier dernier, le tiercé de tête dans leur catégorie d’âge lors du Trail Blanc du Semnoz, le sexagénaire Jean-Michel Greloux et la quinqua Geneviève Couapel Lebée récidivent de la plus belle manière qui soit. Tous les deux progressent en effet d’un rang. Sur le 28 km, le Loirétain (1) s’approprie la place de dauphin parmi les masters 5, tandis que la Finistérienne accroche à son tableau de chasse le 15 km chez les masters 4. Cerise sur le gâteau, Jean-Michel caracole en tête devant ses quatre coéquipiers.
Mission accomplie de justesse, précisément en 2h58’15, pour le team manager Francisco Bogalho qui souhaitait boucler le 28 bornes en moins de trois heures. « Une course rapide à l’entame avec des avions de chasse qui font rêver. J’ai essayé de tenir le plus longtemps possible en leur compagnie avant de souffrir dans les montées », résume-t-il. En conséquence, il y a fort à parier que les fractionnés de côte constituent désormais sa priorité.
L’épreuve reine a également été marquée par le résultat convainquant de Laurent Lemaitre. Indubitablement, les séances de fractionné dont il est le coureur le plus assidu portent leurs fruits.
Passons au 15 km où Loïc Aubert confirme qu’il est le trailer le plus véloce à RTR, en avalant le parcours à la vitesse de près de 13 km/h. Lui aussi affectionne les séances de fractionné dont il est un fidèle adepte.
De son côté, Nicolas Ayroulet réalise une performance encourageante. Voilà qui va lui donner du baume au coeur après une année 2022 laborieuse, du moins par à-coups. Les séances de fractionné qu’il pratique régulièrement devraient lui permettre de revenir à son meilleur niveau.
Chez les filles, et en dehors de la prouesse accomplie par Raphaëlle Cozic (voir infra), on soulignera la belle chevauchée effectuée par l’espoir Axelle Carlioz, sans oublier la première compète de son histoire pour Estelle Vizioz-Fortin.
Enfin, comment ne pas mettre en exergue les encouragements incessants prodigués par Alexandra Carlioz, métamorphosée en photographe, mais aussi par Igor Medel et Cyril Point. Pour rien au monde, ils ne voulaient manquer ce rendez-vous, quand bien même ils ne pouvaient, pour diverses raisons, épingler un dossard. Par ricochet, ils auront joué leur propre partition, tout aussi envoûtante que celle des coureurs, témoignant de leur attachement viscéral envers leur deuxième famille : Rumilly Trail Running.
F.V.
(1) Le Loirétain est le nom des habitants du Loiret.
Jean-Michel Greloux a grandi à Boynes, au coeur de cette région naturelle qu’est le Gâtinais qui s’étend entre la Loire et la Seine.
Cet article figure également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 16 mars 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne est plus importante que la version papier.
.
.
.
RTR À LA MASSINGIENNE : ENTRETIEN AVEC RAPHAELLE COZIC, 6ÈME FEMME ET 1ÈRE MASTER 1 SUR LE 15 KM / 04-03-2023
« Ma progression très rapide est liée aux séances de fractionnés, mais aussi à la super ambiance qui règne à RTR », nous déclare Raphaelle Cozic.
Question de F.V. : Pouvez-vous vous présenter ?
Réponse de Raphaelle Cozic : Je suis né à Annecy le 19 janvier 1981 avant de grandir à Saint-Eusèbe. Mon domicile se trouve toujours dans mon cher pays de l’Albanais, mais désormais dans la commune de Marigny-Saint-Marcel. J’ai deux enfants : Tymeo, un garçon de 11 ans, et Ema, une fille de 7 ans. Par ailleurs, je suis responsable d’une agence chez Adequat Intérim. Quant à mon époux Yvan, de souche bretonne, il est responsable d’un site pour colis privés à La Motte-Servolex.
Comment êtes vous arrivée à cette 6ème place inattendue ?
Ma course a connu deux phases totalement antinomiques. J’ai démarré avec un point de côté, si énorme que je me suis demandé si je n’allais pas abandonner. Du coup, je me suis retrouvée en compagnie des tout derniers concurrents. Mais quelle poisse !
Vous vous êtes réveillée à quel moment ?
A partir du 8ème km, mon point de côté ayant disparu. Bien en jambes, adoptant un bon rythme, j’ai alors entamé ma remontée en me fixant à chaque fois des objectifs de doubler telle ou telle personne.
Mais c’est surtout dans les cinq dernières bornes que j’ai mis les bouchées doubles. En témoigne l’ultime montée où je suis parvenue à déposer deux rivales avant de coiffer un homme sur le fil. Mais quelle joie d’avoir renversé la situation en récoltant, chez les filles, la 6ème place au scratch, et la victoire chez les masters 1.
C’est d’autant plus remarquable que vous avez basculé dans la course à pied depuis peu de temps ?
Effectivement, j’ai débuté en septembre 2021 avec des copines sur de petites distances, bien moindres que ce 15 bornes. Et avant la Massingienne, je n’avais disputé que trois compètes : le Trail Panoramic de l’Albanais à deux reprises, le 9 km en novembre 2021 puis le 27 km un an plus tard, enfin le Trail Blanc du Semnoz en janvier dernier.
Comment êtes vous venue à RTR ?
Très vite, j’ai senti que ce sport était fait pour moi. Je ne rechignais jamais à courir, même en solitaire, et les sensations étaient excellentes. L’idée de rejoindre un collectif, à la fois pour progresser et gagner en convivialité, a finalement jailli. Le fameux proverbe africain n’affirme-t-il pas : « Seul, on va plus vite ; ensemble, on va plus loin » ?
En conséquence, j’ai rallié RTR en octobre 2022. Et si j’ai opté pour cette formation, c’est que j’en avais entendu parlé dans mon entourage et sur les réseaux sociaux, en bien, il va sans dire ! Après avoir contacté le team manager Francisco Bogalho, j’ai effectué une séance d’essai, et depuis tout s’enchaîne parfaitement. Un vrai conte de fées !
Quelles ont été les retombées suite à votre adhésion au club ?
Mon intégration s’est faîte à la vitesse de l’éclair, ayant été remarquablement accueillie par toute l’équipe, au premier chef par Francisco. Lui-même et ses poulains mettent une ambiance du tonnerre. Il faut le vivre pour le croire ! Sans cette atmosphère, je ne suis pas certaine que ma progression aurait été aussi fulgurante, c’est dire ! Et je comprends, on ne peut mieux, pourquoi RTR est devenue notre deuxième famille.
Sur le plan sportif stricto sensu, jamais je n’aurais imaginé atteindre ce niveau. Incontestablement, la séance de fractionné du lundi, animée avec ferveur et talent depuis le 16 janvier dernier par le très expérimenté Anthony Bousson, porte ses fruits, notamment pour gérer notre allure dans les compètes.
Parvenez-vous à concilier la course à pied avec vos autres activités ?
Ce n’est pas évident du tout, en particulier avec le boulot et les enfants, qui eux aussi s’adonnent à des loisirs plusieurs fois par semaine. Fort à propos, et je l’en remercie infiniment, mon mari m’encourage continuellement tout en veillant à Tymeo et Ema durant mes entraînements.
Voulez-vous ajouter quelque chose qui vous est cher ?
Oui, et on ne le répétera jamais assez, je veux rendre hommage à notre adorable coach Francisco, qui prend soin de nous sur son temps libre de manière totalement désintéressée. Je terminerai par remercier chaleureusement le groupe pour son dynamisme, sa gentillesse, sa bonne humeur, son humour, enfin son sens de l’altruisme.
Propos de Raphaëlle Cozic, recueillis le 5 mars 2023 par F.V.
Merci à elle !
Cet article figure également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 16 mars 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne est plus importante que la version papier.
.
.
.
RTR À LA MASSINGIENNE : LES 15 PHOTOS DE 15 DES 16 FINISHERS / 04-03-20236ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail de la Néphaz (28 km) et Trail du Lénard (15 km).
L’avant-course.
10 des 16 baroudeurs de Rumilly Trail Running présents :
au premier plan :
– à gauche : Francisco Bogalho, 75ème (5ème M2H) en 2h58’15 sur le 28 km ;
– dossard 461 : Anthony Bousson, 119ème (11ème M2H) en 3h20’17 sur le 28 km ;
– à droite d’Anthony : Geneviève Couapel Lebée, 23ème femme (1ère M4F, 133ème au scratch) en 1h37’20 sur le 15 km ;
– dossard 647 : Justine Mongellaz, 38ème femme (21ème SEF, 160ème au scratch) en 1h44’41 sur le 15 km ;
– dossard 661 : Raphaëlle Cozic, 6ème femme (1ère M1F, 76ème au scratch) en 1h26’27 sur le 15 km ;
– avec un pull rose : Estelle Viziot-Fortin, 52ème femme (4ème M2F, 187ème au scratch) en 2h09’50 sur le 15 km ;
– à droite : Jean-Michel Greloux, 59ème (2ème M5H) en 2h51’51 sur le 28 km ;
au deuxième plan :
– à gauche : Cyril Chaize, 79ème (8ème M2H) en 1h26’42 sur le 15 km ;
– au centre : Laurent Lemaitre, 91ème (7ème M2H) en 3h06’11 sur le 28 km ;
– à droite : Nicolas Ayroulet, 46ème (7ème M1H) en 1h17’19 sur le 15 km.
Crédit image :
RTR.
6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail du Lénard (15 km).
L’avant-course.
Quatre des cinq filles présentes :
– à gauche : Estelle Vizioz-Fortin ;
– au centre gauche : Geneviève Couapel Lebée ;
– au centre droit : Justine Mongellaz ;
– à droite : Raphaëlle Cozic.
Crédit image :
RTR.
6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail du Lénard (15 km).
Le départ.
– Au premier plan, avec un K-way vert : Loïc Aubert, 24ème (14ème SEH) en 1h10’52 ;
– dossard 688 : Nicolas Ayroulet, 46ème (7ème M1H) en 1h17’19 ;
– au centre, avec un anorak bleu et un camelbak noir : Raphaëlle Cozic, 6ème femme (1ère M1F, 76ème au scratch) en 1h26’27.
Crédit image :
RTR.
6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail du Lénard (15 km).
Dans la montée finale.
Raphaëlle Cozic, 6ème femme (1ère M1F, 76ème au scratch) en 1h26’27.
Crédit image :
RTR.6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail du Lénard (15 km).
Dans la montée finale.
Cyril Chaize : 79ème (8ème M2H) en 1h26’42.
Crédit image :
RTR.
6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail du Lénard (15 km).
Dans la montée finale.
Au premier plan : Guillaume Devise, 89ème (33ème SEH) en 1h27’46.
Crédit image :
RTR.6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail du Lénard (15 km).
Dans la montée finale.
Yann Tracoulat : 90ème (13ème M1H) en 1h28’04.
Crédit image :
RTR.
6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail du Lénard (15 km).
Dans la montée finale.
Stéphane Delrieu : 93ème (8ème M3H) en 1h28’41.
6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail du Lénard (15 km).
Dans la montée finale.
Geneviève Couapel Lebée, 23ème femme (1ère M4F, 133ème au scratch) en 1h37’20.
Quel que soit le temps de course, quel que soit le pourcentage de pente, quelle que soit la fatigue engendrée, le salut de la main et le sourire sont toujours de mise chez cette valeureuse Finistérienne qui ne lâche jamais rien. Mais quel exemple pour le groupe !
Crédit image :
RTR.
6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail de la Néphaz (28 km).
Dans la montée finale.
– A droite : Jean-Michel Greloux, 59ème (2ème M5H) en 2h51’51, qui en a fini avec son périple. Encore une prestation de haut vol pour le sexagénaire, ce qui lui permet, une nouvelle fois, de rafler la mise chez les RTR, à l’image du Trail Blanc du Semnoz, concouru le 28 janvier dernier. Déférence !
A peine arrivé, il retournera sur le parcours, mais cette fois-ci pour booster ses coéquipiers.
– A gauche : Igor Medel, accouru en vélo pour acclamer ses potes, adhérant ou non à RTR.
Crédit image :
RTR.6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail de la Néphaz (28 km).
Dans la montée finale.
– 1er à partir de la gauche : Igor Medel ;
– 2ème à partir de la gauche : Cyril Point ;
– 3ème à partir de la gauche : Axelle Carlioz, 36ème femme (2ème ESF, 158ème au scratch) en 1h44’19 sur le 15 km ;
– 1er à partir de la droite : Jean-Michel Greloux, 59ème (2ème M5H) en 2h51’51 sur le 28 km ;
– 2ème à partir de la droite : Raphaëlle Cozic, 6ème femme (1ère M1F, 76ème au scratch) en 1h26’27 sur le 15 km ;
– 3ème à partir de la droite : Justine Mongellaz, 38ème femme (21ème SEF, 160ème au scratch) en 1h44’41 sur le 15 km.
Les six RTR s’apprêtent à donner du coeur au ventre à leurs camarades qui sont toujours en course :
– les quatre concurrents ayant déjà franchi la ligne, à savoir Raphaëlle, Axelle, Justine et Jean-Michel ;
– les deux supporters n’ayant pas couru, en l’occurrence Cyril et Igor. On ajoutera aussi la photographe qui n’est autre qu’Alexandra Carlioz.
6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail de la Néphaz (28 km).
Dans la montée finale.
– Au centre : Francisco Bogalho, 75ème (5ème M2H) en 2h58’15. Le Team manager est encouragé :
– à gauche : par Cyril Point, non inscrit ;
– à droite : par Justine Mongellaz, sa collègue de travail à Style Métal, déjà finisheuse sur le 15 km.
Crédit image :
RTR.6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail de la Néphaz (28 km).
Dans la montée finale.
– Au centre : Francisco Bogalho, galvanisé par son fan club ;
– à gauche : Cyril Point, non inscrit ;
– à droite : Justine Mongellaz, sa collègue de travail à Style Métal, déjà classée sur le 15 km.
Crédit image :
RTR.6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail de la Néphaz (28 km).
Dans la montée finale.
Anthony Bousson, connu pour avoir mis en place, le 16 janvier dernier, la séance de fractionné, 119ème (11ème M2H) en 3h20’17.
Crédit image :
RTR.
6ème édition de la Massingienne, disputée le 4 mars 2023 à Massingy.
Trail de la Néphaz (28 km).
Dans la montée finale.
Laurent Carlioz, 129ème (12ème M3H) en 3h24’23.
Crédit image :
RTR.
.
.
.
RTR AU TRAIL DE LA FÉE BLANCHE : LE RÉSULTAT / 25-02-2023
.
.
Le Trail de la Fée Blanche :
14ème du nom, disputé le samedi 25 février en nocturne sur le domaine d’Aillons-Margériaz 1400 (commune d’Aillons-le-Jeune, Savoie), sous la houlette d’Aillons-Margériaz Evènements.
.
.
L’unique compète :
10,5 km de long pour 270 m de dénivelé.
Le classement masculin :
Laurent Lemaitre : 79ème (9ème M2H) en 1h03’46, soit une vitesse de 9,4 km/h et un rythme de 6’22/km.
Les résultats complets :
https://live.l-chrono.com/resultats/trail-la-fee-blanche-2023
.
.
.
UN DEUXIÈME COACH POUR RTR : LA RÉSURRECTION DE LAURENT CROUZET / 13-02-2023
Avec ses 53 fanatiques (1), RTR ne cesse de drainer du monde, poursuivant ainsi son irrésistible ascension entamée le 28 octobre 2018 (2), et ce pour le plus grand bonheur de son fondateur et team manager Francisco Bogalho. Revers de la médaille, celui-ci a bien du mal aujourd’hui à gérer tout seul l’hétérogénéité de son équipe, du moins sur le plan sportif, les valeurs qu’il inculque dans les relations humaines faisant quant à elles consensus dès l’éclosion de RTR.
En conséquence, il n’a pas hésité, le 8 février dernier, à lancer un vibrant appel (3) sur Facebook pour recruter un nouvel entraîneur, et ainsi constituer un deuxième groupe qu’intégreraient les coureurs les moins véloces. Cinq jours après, cette sollicitation portait ses fruits, le natif de Gondomar ayant convaincu un revenant, en la personne de Laurent Crouzet, de relever ce challenge.
Originaire de Montceau-les-Mines, en Saône-et-Loire, l’heureux élu s’est installé à Rumilly en 2010. Directeur de succursale d’une société de menuiseries extérieures, ce jeune quadra avait disparu des écrans radar après avoir défié, le 10 juillet 2021, le mythique tremplin olympique de Courchevel à l’occasion du fameux Red Bull 400. L’accompagnaient à cette occasion Francisco Bogalho, Laurent Carlioz, Michèle Alda et Vanessa Bachelet. Une blessure insidieuse et persistante au genou l’avait en effet contraint à s’éloigner de la course à pied.
Aujourd’hui, tout baigne pour le Bourguignon qui ne cache pas sa joie de revoir ses potes qu’il avait perdus de vue : « C’est avec un immense plaisir que je vais retrouver le club et ma paire de basket. Je serai donc au départ, ce mardi 14 février, de la ” Trankil Team “, pour reprendre l’appellation donnée, fort à propos, par Sabrina Grosdidier au groupe 2. » Sans surprise, la réaction du Portugais était à l’avenant : « Je tiens à remercier Laurent Crouzet pour avoir accepté mon invitation de manager la deuxième troupe. Peut-être qu’il entendra quelques jérémiades, gémissements, jurons et autres plaintes. Mais je tiens à le rassurer : au terme de sa sortie, et en guise de remerciement, il sera couvert d’éloges unanimes et tonitruants qui émaneront de ses poulains. »
F.V.
(1) A l’occasion de la séance d’entrainement du 14 février dernier, Amélie Vialle a rejoint RTR qui compte désormais 53 adhérents.
(2) RTR a vu le jour le 28 octobre 2018 sous l’appellation « Rumilly Running ».
(3) Voir l’ultime texte ci-dessous.
Cet article figure également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 23 février 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne est plus importante que la version papier.
.
.
.
UN DEUXIÈME COACH POUR RTR : QUAND LE CLUB VEUT GRANDIR SANS LAISSER QUICONQUE DE CÔTÉ / 08-02-2023
Surtout, n’hésitez pas à répandre le vibrant appel au bénévolat lancé par Francisco Bogalho que vous pourrez lire ci-dessous !
En effet, l’emblématique fondateur et team manager recherche son alter ego. Celui-ci encadrerait dans la capitale de l’Albanais, à raison de trois séances hebdomadaires, un groupe désireux de courir à une allure plus modeste.
In fine, le but du Portugais est de mettre l’accent sur la convivialité qui ignore la pression, la perf à tout prix, et en même temps favorise l’entraide et l’amitié. Autre précepte, l’accessibilité à tout à chacun, ce qui n’était pas le cas jusqu’à maintenant, certains ayant bien du mal à boucler les circuits proposés le mardi et le jeudi à Rumilly.
F.V.
Cet article figure également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 23 février 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne est plus importante que la version papier..
.
.
.
UN DEUXIEME COACH POUR RTR : LE VIBRANT APPEL DE FRANCISCO BOGALHO, AVEC F.V. / 08-02-2023
Le groupe RTR Rumilly Trail Running est à la recherche d’une personne motivée et compétente afin de guider le groupe 2, moins rapide, dans les sorties suivantes :
– le mardi et le jeudi, d’une durée d’une heure à une heure trente, avec un départ commun pour les deux groupes fixé à 18 h 45 ;
– le dimanche, d’une durée de plusieurs heures, avec un départ commun pour les deux groupes fixé à 8 h 00.
Les rendez-vous ont lieu dans la capitale de l’Albanais sur le parking qui fait face à La Panière. Le parcours du groupe 2 est adapté afin que les deux troupes finissent de concert. Si le temps est identique pour les deux groupes, la distance est forcément plus courte et la vitesse plus lente pour le groupe 2.
Enfin, le salaire se résume à un bon groupe d’amis, heureux de régénérer leurs cellules cardiaques et cérébrales.
Si vous êtes disponible et passionné, envoyez alors un message privé pour davantage d’informations.
RTR – Réalise Tes Rêves
Francisco Bogalho, avec F.V.
Cet article figure également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 23 février 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne est plus importante que la version papier.
.
.
.
UN DEUXIEME COACH POUR RTR : LES 2 PHOTOS / 13-02-2022Cliché pris le 14 février 2023, symbolisant le terme d’une séance d’entrainement de RTR, renfermant pour la première fois deux groupes.
Photo réalisée sur le parking, situé à Rumilly en face de La Panière.
La foule des grand jours, avec pas moins de 16 fans dont six représentantes de la gent féminine : quand RTR monte en puissance !
Emmené par Laurent Crouzet, le deuxième groupe a eu la préférence de Frédéric Monteil et de Cyril Point, les 13 autres runners optant pour le premier groupe, managé par Francisco Bogalho.
Au final, l’avant-garde a parcouru 10 bornes en 56’ environ, et le trio 8 km peu ou prou en une heure.
A gauche :
– 1ère à partir de la gauche : Amélie Vialle qui a adhéré à RTR à l’issue de cette séance d’entraînement, devenant par ricochet la 53ème membre ;
– 2ème à partir de la gauche : Cyril Chaize ;
– 3ème à partir de la gauche : Frédéric Monteil ;
– 4ème à partir de la gauche : Ivan Crouzet, fils de Laurent ;
– 5ème à partir de la gauche : Cyril Point.
Au centre :
– 1er à partir de la gauche : Laurent Crouzet, responsable de l’inédit groupe 2 ;
– 2ème à partir de la gauche : Raphaëlle Cozic ;
– 3ème à partir de la gauche : Camille Lefevre ;
– 4ème à partir de la gauche : Jean-Michel Greloux ;
– 5ème à partir de la gauche : Aurélie Dolez ;
– 6ème à partir de la gauche : Isabelle, cousine d’Aurélie Dolez ;
– 7ème à partir de la gauche : Stéphanie Revillard.
A droite :
– 1er à partir de la droite : Francisco Bogalho, responsable du groupe 1 ;
– 2ème à partir de la droite : Laurent Lemaitre ;
– 3ème à partir de la droite : Laurent Carlioz ;
– 4ème à partir de la droite : Nicolas Ayroulet.
Laurent Crouzet, nouveau coach de RTR, chargé du groupe 2, depuis le 13 février 2023.
Cliché pris le 20 juin 2021 à l’occasion du 3ème Entrelacs Run and Trail, concouru le 20 juin 2021 à Albens (commune d’Entrelacs), où Laurent s’appropriera, sur le 2ème Trail des 2 Cols (33 km), la 92ème place (16ème M1H) en 5h32’46.
Photo réalisée sur la crête de la montagne de Cessens, avec en arrière-plan :
– en contrebas, à droite : le lac du Bourget ;
– en toile de fond, à droite : le mont de la Charvaz ;
– en toile de fond, à l’extrême droite : le Turrioz.
Crédit image :
Albens Club Pédestre Entrelacs.
.
.
.
RTR AU TRAIL BLANC DU SEMNOZ : LES RÉSULTATS / 28-01-2023
.
.
Le Trail Blanc du Semnoz :
15ème du nom, disputé en nocturne le samedi 28 janvier dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz, Haute-Savoie), sous la houlette de l’ASPTT Annecy Athlétisme.
L’unique compète :
11,5 km de long pour 502 m de dénivelé positif et 500 m de dénivelé négatif.
En raison d’un épais brouillard, les dimensions ont été réduites. Officiellement, la distance a été ramenée à 8,5 km, et selon la montre de Francisco Bogalho à 8,7 km et le dénivelé à 323 m.
Le classement masculin :
– Jean-Michel Greloux : 130ème (3ème M5H) en 48’31, soit une vitesse de 10,5 km/h et un rythme de 5’42/km ;
– Anthony Bousson : 292ème (27ème M2H) en 55’47, soit une vitesse de 9,1 km/h et un rythme de 6’35/km ;
– Laurent Carlioz : 368ème (25ème M3H) en 59’33, soit une vitesse de 8,6 km/h et un rythme de 6’58/km ;
– le Portugais Francisco Bogalho, fondateur et team manager de RTR : 422ème (37ème M2H) en 1h01’47, soit une vitesse de 8,3 km/h et un rythme de 7’13/km ;
– Laurent Lemaitre : 538ème (42ème M2H) en 1h06’50, soit une vitesse de 7,6 km/h et un rythme de 7’53/km ;
– Freddy Monteil : 666ème (43ème M3H) en 1h15’21, soit une vitesse de 6,8 km/h et un rythme de 8’49/km.
Le classement féminin :
– Raphaëlle Cozic : 66ème (11ème M1F, 375ème au scratch) en 59’56, soit une vitesse de 8,5 km/h et un rythme de 7’03/km ;
– Justine Mongellaz : 88ème (51ème SEF, 421ème au scratch) en 1h01’47, soit une vitesse de 8,3 km/h et un rythme de 7’13/km ;
– Aurélie Dolez : 92ème (13ème M0F, 428ème au scratch) en 1h02’06, soit une vitesse de 8,2 km/h et un rythme de 7’19/km ;
– Camille Lefevre : 114ème (64ème SEF, 469ème au scratch) en 1h03’49, soit une vitesse de 8,0 km/h et un rythme de 7’30/km ;
– Geneviève Couapel Lebée : 117ème (2ème M4F, 474ème au scratch) en 1h03’59, soit une vitesse de 8,0 km/h et un rythme de 7’30/km ;
– Laurie Lemaitre (conviée par son époux Laurent Lemaitre) : 156ème (24ème MOF, 539ème au scratch) en 1h06’51, soit une vitesse de 7,6 km/h et un rythme de 7’53/km ;
– Sabrina Grosdidier : 270ème (29ème M2F, 700ème au scratch) en 1h18’29, soit une vitesse de 6,5 km/h et un rythme de 9’13/km.
Deux duos ont fait cause commune : Francisco Bogalho et Justine Mongellaz ; Laurent Lemaitre et Laurie Lemaitre.
Les résultats complets de l’unique compète :
https://live.l-chrono.com/resultats/trail-blanc-du-semnoz-2023
.
.
.
RTR AU TRAIL BLANC DU SEMNOZ : LE COMPTE RENDU / 28-01-2023
BELLE ENTAME EN CETTE NOUVELLE ANNÉE !
De prime abord, soulignons la résilience du team manager Francisco Bogalho et de ses 11 poulains, et au-delà, d’un peloton investi par 745 casse-cous qui ont su tiré, in fine, leur épingle de ce manteau blanc, à la fois titanesque, piégeux, mais surtout glacial pour ne pas dire polaire. La température est ainsi descendu à -5° au départ, avec un vent assez fort soufflant à une vitesse moyenne de 30 km à l’heure, qui engendrait un ressenti avoisinant les -15°. Des conditions atmosphériques qui illustrent la difficulté à apprivoiser le Semnoz en hiver, et ce quelles que soient les éditions, prolifiques ou pauvres en neige.
Ce ne sont pas les chevilles ouvrières de l’ASPTT Annecy, métamorphosées en gardiennes du temple, qui diront le contraire. En effet, elles ont été contraintes d’écourter, 3 heures avant le départ, le parcours inédit de 11,5 km prévu initialement, laissant place à une boucle de 8,5 km, purée de pois oblige.
Pourtant, en dépit de cette redoutable adversité, les forçats de la neige ont fait preuve d’un flegme à toute épreuve, gardant irrésistiblement leurs sourires immuables et contagieux. Quoi de plus normal sur cette barbacane baujue qu’illuminait, en dépit du brouillard, une interminable guirlande de lucioles humaines. Assurément, une autre fête des lumières, plus intime celle-là, mais tout aussi envoûtante…
Au terme de cette épopée, la tête pensante de RTR ne cachait pas son enthousiasme à l’égard de ses protégés : « Tous auront donné le maximum. Je pense à ceux qui ont couru pour faire un chrono, à ceux qui ont aidé les autres à relever le défi, enfin à celle qui a découvert la course nature en choisissant d’emblée la difficulté à travers un trail blanc nocturne. »
On retiendra en particulier les cinq morceaux de bravoure que sont :
– Le podium master 5 pour Jean-Michel Greloux à la faveur de sa 3ème place. Porte-étendard parmi les 12 RTR alignés, il n’en finit plus d’écumer le tiercé de tête de sa catégorie d’âge. Quand les anciens se font respecter…
– Le podium master 4 pour la dauphine Geneviève Couapel Lebée. Quand une Bretonne pur jus dompte la neige, ce qui, on en conviendra, n’est guère courant !
– La belle prestation d’Anthony Bousson, 2ème de son club en prenant l’avantage sur Laurent Carlioz, ce qui ne lui était jamais arrivé. Parallèlement, il a profité, pour atteindre cette place, de l’absence de toute ambition de la part de Francisco Bogalho, qui avait pris la décision d’encourager de bout en bout Justine Mongellaz. Parfaitement intégré dans le groupe, cet Ardennais de souche anime le lundi en fin de journée, via la piste d’athlétisme du collège du Clergeon à Rumilly, la séance de fractionné qu’il a étrennée le 16 janvier dernier. Une initiative ô combien salutaire qui permettra aux RTR de progresser plus rapidement !
– La perf réalisée par Raphaëlle Cozic, leader de la gent féminine en devançant ses six coéquipières alors que le trail blanc lui était étranger. Chapeau bas la Marignienne (1) !
– Le tout premier trail pour Justine Mongellaz, remarquablement boostée par Francisco Bogalho. Il faut dire que tous deux se connaissent parfaitement en étant collègues dans l’entreprise Style Métal, installée à Massingy.
F.V.
(1) La Marignienne est l’habitante de Marigny-Saint-Marcel.
Cet article figure également dans l’Hebdo des Savoie du jeudi 2 février 2023, en page Rumilly.
Merci à Stéphane Ducret, son rédacteur en chef !
Cette version en ligne est plus importante que la version papier.
.
.
.
RTR AU TRAIL BLANC DU SEMNOZ : LES 29 PHOTOS DES 13 FINISHERS ET LES 3 PHOTOS DE LA BÉNÉVOLE / 28-01-2023
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée en nocturne le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Les 12 baroudeurs de Rumilly Trail Running et leur invitée, excités comme des puces avant leur envol :
– dossard 274 : Francisco Bogalho, 422ème (37ème M2H) en 1h01’47 ;
– à droite du dossard 274 : Jean-Michel Greloux, 130ème (3ème M5H) en 48’31 ;
– dossard 706 : Laurent Carlioz, 368ème (25ème M3H) en 59’33 ;
– dossard terminant par 73 : Anthony Bousson, 292ème (27ème M2H) en 55’47 ;
– dossard 331 : Laurie Lemaitre (conviée par son époux Laurent Lemaitre), 156ème femme (24ème MOF, 539ème au scratch) en 1h06’51 ;
– derrière le dossard 331, faisant le signe du shaka : Laurent Lemaitre, 538ème (42ème M2H) en 1h06’50 ;
– dossard 658 : Justine Mongellaz, 88ème femme (51ème SEF, 421ème au scratch) en 1h01’47 ;
– derrière le dossard 658, faisant le signe V : Camille Lefevre, 114ème femme (64ème SEF, 469ème au scratch) en 1h03’49 ;
– à droite de Camille : Geneviève Couapel Lebée, 117ème femme (2ème M4F, 474ème au scratch) en 1h03’59 ;
– dossard 247 : Raphaëlle Cozic, 66ème femme (11ème M1F, 375ème au scratch) en 1h01’47 ;
– dossard 256 : Aurélie Dolez, 92ème femme (13ème M0F, 428ème au scratch) en 1h02’06 ;
– au deuxième plan, entre les dossards 247 et 256 : Freddy Monteil, 666ème (43ème M3H) en 1h15’21 ;
– à droite du dossard 256 : Sabrina Grosdidier, 270ème femme (29ème M2F, 700ème au scratch) en 1h18’29.
Crédit image :
RTR.15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Bénévole à double tâche.
A gauche : Estibaliz Montaru (ASPTT Annecy Athlétisme / RTR).
Sourire aux lèvres, comme à l’accoutumée, cette Espagnole, originaire de la Navarre, assurait le retrait des dossards avant de se métamorphoser en serre-file. N’est-ce pas la définition de la super bénévole ? Bravo à elle en tout cas !
Crédit image :
ASPTT Annecy Athlétisme.15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Les premiers frétillements : l’heure de vérité approche…
Dossard 9 : Estibaliz Montaru (ASPTT Annecy Athlétisme / RTR).
Après avoir géré de main de maître la remise des dossards, l’Espagnole s’apprête à devenir serre-file.
Crédit image :
ASPTT Annecy Athlétisme.15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Silence de mort avant le départ, enfin presque !
Surplombant le dossard 275 qui est accroupi, on aperçoit quatre RTR qui sont debout :
– avec sa capuche rouge : Freddy Monteil ;
– à droite de Freddy, avec sa capuche noire par-dessus son bonnet blanc : Sabrina Grosdidier ;
– à gauche de Freddy, avec son bonnet mauve : Geneviève Couapel Lebée ;
– derrière et à droite de Geneviève, avec sa capuche par-dessus son bonnet : Raphaëlle Cozic.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Atmosphère surréaliste avant le départ !
Soudainement, les trailers se sont complètement tus, cédant la place à un invraisemblable silence de plomb.
Surplombant le dossard 275 qui est accroupi, on remarque un RTR qui est assis et deux autres debout :
– avec sa capuche rouge, quasiment masqué : Freddy Monteil ;
– à gauche de Freddy, avec son bonnet mauve, toute guillerette : Geneviève Couapel Lebée ;
– derrière et à droite de Geneviève, avec sa capuche par-dessus son bonnet : Raphaëlle Cozic.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Ambiance de folie avant le départ !
Il n’a pas fallu attendre longtemps pour que les casse-cous s’enflamment au quart de tour, au demeurant bien aidés par le speaker saintinois Patrick Dubouchet.
Dominant le dossard 275 qui est accroupi, on distingue deux RTR qui sont debout :
– avec sa capuche rouge : Freddy Monteil ;
– à gauche de Freddy, avec son bonnet mauve : Geneviève Couapel Lebée.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Atmosphère toujours aussi indescriptible avant le départ !
Lorsque l’animateur Patrick Dubouchet continue à mettre le feu.
Surplombant le dossard 275 qui est accroupi, on reconnaît trois RTR qui sont debout :
– avec sa capuche rouge : Freddy Monteil ;
– à droite de Freddy, avec sa capuche noire par-dessus son bonnet blanc : Sabrina Grosdidier ;
– à gauche de Freddy, avec son bonnet mauve, quasiment masquée : Geneviève Couapel Lebée.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Le départ vient d’être donné.
Dossard 274 : Francisco Bogalho.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Le départ vient d’être donné.
– En deuxième ligne, à droite, avec son K-way vert : Laurent Carlioz ;
– à droite de Laurent, avec sa capuche rouge : Freddy Monteil ;
– dans les talons de Laurent et de Freddy, avec son anorak blanc cassé et son bonnet mauve : Geneviève Couapel Lebée.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Le départ vient d’être donné.
Derrière et à droite du dossard 245 : Laurie Lemaitre, conviée par son époux Laurent.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
A gauche, avec son K-way vert et ses gants noirs : Laurent Carlioz.
Crédit image :
ASPTT Annecy Athlétisme.
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Dossard 706 : Laurent Carlioz.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Dossard commençant par 70 : Laurent Carlioz, 368ème (25ème M3H) en 59’33.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
– A droite du trailer au bonnet blanc : Raphaëlle Cozic ;
– avec son K-way vert : Anthony Bousson ;
– derrière et à gauche d’Anthony, avec son anorak bleu : Camille Lefevre.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
– Derrière et à droite du trailer au bonnet blanc : Raphaelle Cozic ;
– avec son K-way vert et ses gants noirs : Anthony Bousson ;
– dans le dos du dossard 63 : Camille Lefevre.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
– Au deuxième plan, avec son K-way vert : Anthony Bousson ;
– dossard 825 : Camille Lefevre.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Dossard 825 : Camille Lefevre, 114ème femme (64ème SEF, 469ème au scratch) en 1h03’49.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
En arrière-plan à droite, avec son anorak orange : Francisco Bogalho, 422ème (37ème M2H) en 1h01’47. Une modeste prestation justifiée par son soutien, tout au long de la course, à sa collègue de travail en la personne de Justine Mongellaz, à peine visible derrière lui à droite.
Celle-ci se classe à la 88ème place féminine (51ème SEF, 421ème au scratch) en 1h01’47. Une jolie perf pour sa première expérience en trail !
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
– Au premier plan, à droite du dossard 660 : Geneviève Couapel Lebée ;
– en arrière-plan à droite, avec son bonnet blanc et son camelbak rouge : Aurélie Dolez.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Dossard 256 : Aurélie Dolez, 92ème femme (13ème M0F, 428ème au scratch) en 1h02’06.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Dans le dos des dossards 802 et 578 :
– à gauche, avec son anorak bleu : Laurent Lemaitre ;
– à droite, avec son anorak rouge : Freddy Monteil.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
– Dossard 322 : Laurent Lemaitre ;
– dossard 325 : Freddy Monteil ;
– dossard 331 : Laurie Lemaitre, conviée par son époux Laurent.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
– Dossard 322 : Laurent Lemaitre, 538ème (42ème M2H) en 1h06’50 ;
– dossard 325 : Freddy Monteil, 666ème (43ème M3H) en 1h15’21 ;
– dossard 331 : Laurie Lemaitre, conviée par son époux Laurent, 156ème femme (24ème MOF, 539ème au scratch) en 1h06’51.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Dossard 259 : Sabrina Grosdidier.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
A gauche de la traileuse au bonnet orange : Sabrina Grosdidier, 270ème femme (29ème M2F, 700ème au scratch) en 1h18’29.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Dossard 9 : Estibaliz Montaru (ASPTT Annecy Athlétisme / RTR).
Perpétuellement souriante, l’Espagnole était également de la partie en enfilant, avec toute sa verve, le costume de serre-file.
Crédit image :
Denis Morel (ASPTT Annecy Athlétisme).
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
Dossard 247 : Raphaëlle Cozic.
Crédit image :
ASPTT Annecy Athlétisme.
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
– Dossard 247 : Raphaëlle Cozic, 66ème femme (11ème M1F, 375ème au scratch) en 1h01’47.
Elle réussit le tour de force de finir devant ses six coéquipières alors que le trail blanc lui était étranger. Chapeau bas la Marignienne (1) !
– A gauche de Raphaelle, avec son K-way jaune : Anthony Bousson, 292ème (27ème M2H) en 55’47.
L’Ardennais d’origine a su tiré son épingle du jeu, en terminant 2ème de son club après avoir devancé Laurent Carlioz, ce qui ne lui était jamais arrivé. Parallèlement, il a profité, pour atteindre cette place, de l’absence de toute ambition de la part de Francisco Bogalho, le team manager, qui avait pris la décision d’encourager de bout en bout Justine Mongellaz.
(1) La Marignienne est l’habitante de Marigny-Saint-Marcel.
Crédit image :
ASPTT Annecy Athlétisme.
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
– A gauche du dossard 386, avec un K-way jaune : Anthony Bousson ;
– au fond à droite, avec sa capuche noire par-dessus son bonnet bleu : Raphaelle Cozic.
Crédit image :
ASPTT Annecy Athlétisme.15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
– Dossard 658 : Justine Mongellaz, 88ème femme (51ème SEF, 421ème au scratch) en 1h01’47 ;
– au deuxième plan, à droite : Geneviève Couapel Lebée, 117ème femme (2ème M4F, 474ème au scratch) en 1h03’59.
Crédit image :
ASPTT Annecy Athlétisme.
15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
A gauche : Geneviève Couapel Lebée.
Malgré la profondeur de la nuit, malgré la température glaciale, malgré le dénivelé et les pièges du manteau blanc, rien n’arrête la dame du Pays de Quimperlé (1) qui détalle comme un lièvre pour rallier l’arrivée.
Cette vélocité, qui force l’admiration, s’explique par son obstination, son audace, mais aussi son talent malgré son âge et sa récente conversion à la course à pied. En effet, n’est-elle pas devenue une quinqua en novembre 2018 avant d’étrenner ses baskets en septembre 2020, au moment de rejoindre Rumilly Running ? Un club informel où elle s’est rapidement imposée, étant aujourd’hui l’une des figures de proue, tant dans la cohésion du groupe que dans le domaine sportif où elle cartonne chez les masters 4.
(1) « Gege » a vécu toute son enfance à Rédené, une des 16 communes du Pays de Quimperlé, ce territoire du sud finistérien attenant au Morbihan, pourvu d’un riche patrimoine historique et paysager.15ème édition du Trail Blanc du Semnoz, disputée le 28 janvier 2023 dans la station du Semnoz (commune de Viuz-la-Chiésaz).
La remise des prix du podium M4F.
A gauche : Geneviève Couapel Lebée, 2ème en 1h03’59.
Quand une Bretonne pur jus dompte la neige, ce qui, on en conviendra, n’est guère courant !
Crédit image :
RTR.
.
.
.
.
LES AVENTURES DE GEGE DANS LE CHAUDRON DE L’ARMS PARK DE CARDIFF !
Le nationalisme gallois en 1968 sous le prisme de l’ovalie
Tout de suite, une vidéo en avant-goût, avec en prime les commentaires du regretté Roger Courdert qui savait mieux que quiconque faire vivre un match, y compris à la radio, via Europe 1, où on avait l’incroyable sensation d’y être :
https://www.youtube.com/watch?v=DiF4QI5nIIY
| wales anthem arms parck cardiff 1968 hymne gallois
Un jour historique, le 23 mars 1968 à l’Arms Park de Cardiff. Sous une pluie battante balayée par un vent glacial et sur un terrain transformé en champ de boue, le Pays de Galles affronte la France. L’enregistrement commence par le traditionnel God save the Queen en l’honneur des Gallois. Mais l’hymne est couvert par les sifflets du public… www.youtube.com |
Notre emblématique commentateur insiste dans cette vidéo sur le caractère exceptionnel des sifflés au moment où retentit l’hymne britannique, mais sans en dévoiler la cause. A vrai dire, il s’explique avant tout par l’essor du nationalisme gallois dans les années 60 bien qu’il reste très minoritaire, n’ayant pas l’ampleur du pendant écossais, loin s’en faut. Toujours est-il que le public avait hâte d’entendre son hymne, d’autant plus qu’il s’agissait d’une grande première ! Alors, subir le sempiternel God Save the Queen (l’hymne britannique) était devenu insupportable pour bon nombre de spectateurs, à plus forte raison avant La terre de mes ancêtres m’est chère (l’hymne gallois).
.
.
1er chapitre :
Contrairement à God Save the Queen hué à tue-tête, La terre de mes ancêtres m’est chère, autrement dit l’hymne gallois, est repris en coeur par toute une nation. Voilà qui donne la chair de poule à Geneviève, tout émue et encore plus gracieuse qu’à l’accoutumée avec sa mini-jupe bleu océan, ses bottes blanches Hermine (1) et son collant voile. Un début à tout pour cette nounou que cette tenue qui rime en 1968 avec l’air du temps, qui de surcroît fleure bon la Bretagne et qui in fine lui va à ravir. Mine de rien, un témoignage qui atteste, pour ceux qui en douteraient encore, son attachement viscéral à sa terre natale.
Mais revenons à cette ambiance électrique qui va redoubler à l’instant où elle va croiser, au milieu des nationalistes gallois, en l’occurrence ses frères celtes, cet homme sorti de nulle part, qui s’incruste depuis trois ans dans sa vie, à tel point qu’il parvient à bouleverser sa destinée…
Nous sommes le 23 mars 1968 lors du choc Pays de Galles – France, resté à jamais dans les annales du rugby. A l’issue de la partie, les Bleus remporteront en effet leur premier grand chelem dans le tournois des Cinque Nations, consécutif à leur victoire 14 à 9 contre leurs redoutables adversaires.
(1) Petit mammifère au pelage blanc, l’hermine apparaît à 11 reprises sur le drapeau breton.
.
.
2ème chapitre :
De son côté, son courtisant se laisse aller à une douce et tendre rêverie, ce qui l’incite à interrompre très vite sa séance de trail. A plus forte raison au moment de tutoyer la croix de Nonglard et son décor grisant. En réalité, il n’arrive toujours pas à se remettre de cette nuit rocambolesque, tellement qu’il en perd la boule.
Les années défilant comme les paysages à la fenêtre d’un train, il est temps pour lui d’assouvir les multiples fantasmes qui ne cessent de l’assaillir. D’autant plus quand ils révèlent une femme ensorcelante, de prime abord si près de son coeur, mais finalement si distante…
A la fois imprévisibles, bigarrés et abracadabrantesques comme le disait si bien Jacques Chirac, ses fantasmes le poussent à rejoindre dare-dare le Pays de Galles. La raison ? Assister au match opposant les Tricolores aux Dragons rouges à l’occasion du 39ème tournoi des 5 Nations. Et ainsi découvrir l’atmosphère absolument unique de l’Arms Park de Cardiff qui culmine lorsque les chants raisonnent puissamment dans les gradins.
Même s’il a beaucoup progressé en France, le rugby n’a jamais été une passion débordante dans la région des Hauts de France, en l’occurrence la sienne, où pullulent les manchots, dixit « nos amis rugbymans lorsqu’ils se moquent des footeux ». Sacrebleu, pourquoi ce déplacement alors ?
Mais oui, que voulez-vous, Gege lui manque affreusement, et le meilleur moyen de suivre sa trace, du moins de la sentir, c’est de rejoindre diligemment la planète de l’Ovalie, l’enfant de Rédené étant une admiratrice exaltée du rugger. Raison de plus pour mieux connaître ce sport, et ainsi l’apprécier enfin à sa juste valeur.
.
.
Prélude du 3ème chapitre :
Attention, les personnes allergiques aux émotions fortes réfléchiront à deux fois avant de dévorer cet épilogue qui s’invite dans une tribune debout du légendaire Arms Park. Y ont pris place les nationalistes gallois, Gege et son prétendant, à distance respectable, de telle manière qu’ils ne puissent se voir. L’ambiance devient chaud bouillante à tous les égards ! Mais que de frissons en perspective !
.
.
3ème chapitre :
Ce 23 mars 1968, pas moins de 55 000 fanatiques en pleine effervescence envahissent le temple du rugby gallois. De France et de Navarre, les fans des bleus se sont déplacés en force. Mais ce n’est rien au regard de la marée rouge qui déferle dans l’Arms Park, bien décidée à épauler le XV du Poireau. Et par là même, à priver les Tricolores du premier grand chelem de son histoire dans le cadre du Tournoi des Cinq Nations.
Accourue du Finistère, Gege est venue seule braver les supporters gallois dans cet antre historique où les femmes constituent une denrée rare. Raison pour laquelle elle rejoint à reculons la tribune debout pleine à craquer, qu’enflamment à satiété une cohorte de nationalistes. Elle se fait alors toute petite, commençant à regretter sérieusement sa tenue audacieuse et glamour, d’autant plus qu’il pleut à torrent ! Et voilà qu’elle se met à suffoquer au moment où débarque son éternel postulant qui ne renonce jamais à l’accompagner, quitte à faire le tour du monde pour la chercher. Peu amène, elle annonce d’emblée la couleur : « Si tu as le culot d’invoquer le pur hasard ou une simple coïncidence, je t’en fous une, et gratinée par-dessus le marché ! »
Son soupirant tente alors de faire parler son coeur : « J’ai su par Sandrine l’objet de ton voyage. En conséquence, je ne pouvais pas manquer cette incroyable occasion d’assister à mon premier match de rugby, à plus forte raison avec cette femme exubérante dont les connaissances sont dignes de la grande spécialiste qu’elle est. D’ores et déjà, je suis surexcité à l’idée d’entendre ton intonation qui risque de vibrer sans répit au regard du formidable enjeu de cette partie. Me comprends-tu mon amour ? ! ô pardonne-moi pour ce dérapage inapproprié mais tu sais, je n’arrive plus dans ce contexte à contenir mon enthousiasme, mes émotions. Du coup, ça part dans tous les sens…
Par ailleurs, sache que je ne pouvais pas te laisser seule à moitié nue devant cette gent masculine omniprésente, et par conséquent oppressante, par la force des choses. In fine, j’apprécie les tenues sexys chez une fille, à condition qu’elle soit respectée, en premier lieu qu’elle le veuille, ce qui n’est jamais acquis, contrairement à beaucoup d’hommes pour qui il n’y a pas à négocier… »
« Franchement, j’ai été à deux doigts, mon cher François, de fondre en larmes en t’écoutant, et ce depuis notre première rencontre. »
« Peut-être le fameux déclic qui change tout, n’est-ce pas ma Gege ? »
« On verra ça plus tard, lui répond son égérie avant d’ajouter : C’est le match qu’on regarde, mais certainement pas mes gambettes fuselées, aussi envoûtantes soient-elles !
.
.
4ème chapitre : lettre à Gege
Je profite de la mi-temps du match pour lire mon billet d’amour car in fine c’est la seule façon de tuer les jours qui me séparent de cette meuf pas comme les autres, du moins je l’espère… Pourtant, mes secrets sont déjà bien éventés, n’est-il pas ? Alors que lui dire de plus ? Que j’ai envie de l’aimer pour l’éternité ? Hélas, c’est tellement énorme, tellement démesuré que je vais avoir du mal à traduire en de si petits mots toute ma passion, toute ma flamme, toute ma tendresse, toute ma fibre, oui rien que pour elle…
Pourtant, une lettre d’amour est unique en soi. En effet, à bien la lire, elle ne s’apparente à aucune autre prose, si enchanteresse soit-elle… En conséquence, je continuerai à lui écrire en partageant avec elle des mélodies, à plus forte raison celles qui m’abreuvent à l’eau pure d’une fontaine pour résister de toutes mes forces à la soif de ses lèvres…
Mais quelle merveilleuse période de latence qui a le don d’exacerber mes sentiments ! Pas un jour sans que je rêve les yeux ouverts que je suis près d’elle, que mes mains sont blotties dans les siennes. Ou bien qu’elles caressent amoureusement sa mini-jupe turquoise qui se confond avec la beauté grandiose de la mer d’Iroise (1), ou encore qu’elles effleurent délicatement, pour ne pas les filer, ses collants voile. Oui tellement proches l’un et l’autre que nous nous sommes enlacés, si fort que les battements de nos coeurs deviennent indiscernables, si fort qu’une musique langoureuse nous berce, toi et moi tendrement étreints…
Ton amoureux frissonnant
(1) La mer d’Iroise est la mer qui avoisine les côtes occidentales du Finistère.
.
.
5ème chapitre :
« Avec tous ces mots doux, je me rends compte, ma chère Gege, que tu bois du petit lait, ce qui me rend vraiment heureux si tu savais ! On en reparlera car je dois ranger mon stylo, la partie étant sur le point de reprendre. N’empêche, reste toi-même surtout, et par-conséquent ne me crie pas à tue-tête que tu préfères désormais le romantisme au rugby, à moins d’apprécier les tremblements de terre ! Car c’est bien connu, il n’y a que l’amour qui peut engendrer de tels renversements. »
« Oh là là, voilà déjà Gareth Edwards qui revient des vestiaires pour fouler ce terrible bourbier », s’enthousiasme le novice. « A vrai dire, on a l’impression qu’il a hâte d’en finir avec nos Bleus. Le bougre, c’est qu’il est capable, avec son talent inné, de faire la différence à lui tout seul (1) ! »
« Dis donc », s’exclame Geneviève, « tu m’épates mon cher François, moi qui pensais que tu n’y connaissais rien en bon footeux que tu es ! »
« Il s’agit de ta deuxième parole aimable à mon égard depuis nos retrouvailles dans cet antre. Incontestablement, c’est ton jour de bonté, tellement rare que je vais me lécher les babines ! »
« Et voilà Walter Spanghero qui surgit en me fixant du regard », hurle la native de Morlaix avant d’ajouter : « mais quel beau gosse ! »
« Beau, beau, beau et con à la fois, extrait de La Chanson de Jacky, publiée en 1965 par Jacques Brel », réplique du tac au tac son prétendant qui ne manque pas de renchérir : « avec une tenue pareille, cela me paraît normal qu’il t’a lorgné ! Du coup, tu as dû déstabiliser ce colosse, ce qui n’est pas donné à tout le monde ! »
« Mais quelle jalousie qui t’amène à dire des âneries ! Pendant que tu y es, n’hésite pas à claironner que je vais avoir une responsabilité dans le cas d’une défaite de l’équipe de France ! Franchement, tu n’as pas honte », tacle la dame du Pays de Quimperlé.
« Tu as raison, je vais m’assagir », dixit le chevalier servant.
« Chasser le naturel, il revient au galop », persifle ma Bretonne préférée !
(1) « Gareth Edwards sera désigné, le 21 novembre 2021, « meilleur joueur gallois de tous les temps. »
.
.
6ème chapitre : quand l’amour est plus fort que tout !
« Tu sais, j’étais quasiment tout seul pendant le voyage entre Londres et Cardiff. Du coup, j’ai cogité sur notre relation, un peu baroque, tu en conviendras ? »
« Il n’y a pas à dire, tu choisis le bon moment », lui rétorque sa bien-aimée !
Mais son soupirant n’a cure de sa remarque : « Tu ne trouves pas qu’on coche les mêmes cases, de surcroit les plus importantes pour nous deux », insiste son courtisant, tremblant d’émotion : « celles du trail, de la montagne, de la Bretagne bien sûr, mais aussi de nos inséparables toutous, ne les oublions surtout pas ! Au final, une telle analogie entre deux êtres ne peut qu’aboutir à l’amour fusionnel, celui que je qualifierai d’indépassable…
« Parallèlement, l’attachement affectif à ma dulcinée ne peut que me transformer comme l’atteste mon souhait de m’enflammer pour le rugby, ce qui est une grande première pour moi. L’objectif principal, c’est naturellement de trouver du plaisir au bonheur de Gege.
Mais attention de ne pas tomber dans le cercle vicieux du toujours plus et jamais assez.
Alors au lieu de vouloir se métamorphoser sans cesse, pourquoi ne pas supporter d’être comme l’on est ? »
Suite à cette tirade, l’Armoricaine (1) réagit au quart de tour : « mon cher François, je flaire en toi de la tendresse, de l’admiration, de l’amitié, de la profondeur, à mon égard. A vrai dire, tu vas au fond des choses, rejetant les apparences et la superficialité. Sans se mentir, tu es terriblement amoureux de moi, ce qui n’est pas mon cas à l’heure actuelle même si je ressens une réelle attirance… Peut-être qu’une étincelle jaillira un jour ou… pas ! »
Par ailleurs, sache que j’adore nos différences avec ton côté intello et mon côté populaire ! Franchement, on se complète à merveille. Et puis rien n’est banal dans notre relation, à l’image de nos contacts au vu et au su de tous, témoignant d’un amour sans limite, décomplexé, authentique, et in fine viral ! »
« J’acquiesce entièrement ma Gege ! Et effectivement, chacun apprendrait quelque chose de l’autre. Mais quel tandem on formerait ! »
(1) Depuis la fin de l’Antiquité, l’Armoricaine désigne l’habitante installée dans la France de l’Ouest.
.
.
7ème chapitre : ballon perdu !
8ème et ultime chapitre : au septième ciel !
Epilogue : retour à Cardiff…
À n’en pas douter, vous avez aimé les six premiers épisodes des aventures de Gege au coeur du chaudron de l’Arms Parc de Cardiff.
Désormais, vous allez adorer le dénouement délirant qui s’approche à pas de géant…
« Mais quel cloaque ! », s’inquiète François !
« En effet, ce n’est pas raisonnable de jouer dans ces conditions », renchérit Geneviève qui ajoute : « Heureusement, nos bleus auront le vent dans le dos, contrairement à la première mi-temps où ils ont dû subir le match. »
En effet, seuls trois points de Guy Gamberabero évitent que la France soit largement distancée à la pause (9-3).
« Hélas, je commence sérieusement à cailler », se lamente Gege, à tel point qu’elle est à deux doigts de quitter le stade.
« Tu n’a rien d’autres comme vêtements ? », s’époumone François tout en voyant sa copine répondre négativement. « Je vais te réchauffer énergiquement, ok ? »
« Merci mon pote de m’avoir tirer d’affaire ! Il n’y a pas à dire, ça change des traditionnelles mains baladeuses que nous exécrons tous les deux ! »
Gege : « Eh les frères Gamberabero que nous encourageons aujourd’hui, ça te parle ? »
François : « Une sacrée fratrie, originaire des Landes, qui a contribué à la légende du rugby français depuis la petite ville ardéchoise de La Voulte-sur-Rhône. Et toc madame Couapel ! »
Gege : « mais sais-tu que le stade accueille parfois plus de monde que les 6000 habitants de la commune ? »
François : « alors là, je baisse pavillon ! »
Gege : « je te paris que La Voulte sportif finira par être championne de France, à condition toutefois que les deux emblématiques frangins continuent à faire la pluie et le beau temps » (1).
Au fur et à mesure du réveil des Bleus, l’atmosphère devient à la fois irrespirable et explosive dans notre tribune. Nos sourires et ceux des Gallois ont brutalement disparu.
(1) Bien vu Gege, La Voulte sportif décrochant en 1970 le bouclier de Brénus au Stadium de Toulouse, suite à sa victoire 3 à 0 contre l‘Association sportive montferrandaise.
.
.
.
KELSA : DANS MON COEUR POUR L’ETERNITE…
.
.
La plage du Corps de Garde, la plus sauvage de la commune de Binic-Etables-sur-Mer, accessible qu’à pied depuis le GR 34, ce qui explique l’affluence modeste. Franchement, on ne s’en plaindra pas !
.
Cliché pris le 19 août 2020.
.
.
La sépulture de Kelza, dans son jardin d’Eden qu’elle aimait tant.
On distingue la plaque funéraire, installée dès sa disparition le 23 mai 2025.
Il n’y a pas à dire, je n’arrive toujours pas à oublier ma plus fidèle amie…
.
.
La plaque funéraire de Kelza, installée dès sa mort le 23 mai 2025.
.
.
Dès le lendemain, des cailloux ont été ramassées dans différents endroits de l’Avant Pays Haut-Savoyard, que fréquentait quotidiennement Kelza.
Sa sépulture devrait être enrichie par d’autres cailloux, en provenance cette fois-ci de trois des quatre départements bretons qui vibrent à jamais dans mon coeur, mais aussi dans celui de Gege !
Le Finistère :
– sur la rive droite de la Laïta, entre Quimperlé et Le Pouldu (commune de Clohars-Carnoet) ;
– sur la plage de Bellangenet au Pouldu (commune de Clohars-Carnoet) ;
– sur la rive droite du port de Doëlan (commune de Clohars-Carnoet) ;
– entre la rive droite du port de Doëlan (commune de de Clohars-Carnoet), Merrien, Brigneau, l’île Percée et la plage de Kerfany-les-Pins (commune de Moëlan-sur-Mer) ;
– entre Port Manec’h (commune de Névez) et l’île Raguénez ;
– entre la plage des Sables Blancs à Douarnenez et la pointe de Penharn (côte septentrionale du Cap Sizun) ;
– entre la pointe de Brézellec et la plage de Théolen où Kelza a effectué, en juillet 2013, son plus grand saut (côte septentrionale du Cap Sizun) ;
– entre le centre de plongée d’Audierne (côte méridionale du cap Sizun), la pointe du Raz (extrémité ouest du cap Sizun), la baie des Trépassés (extrémité ouest du cap Sizun), la pointe du Van et la pointe du Castelmeur (côte septentrionale du Cap Sizun) ;
– entre Nogant et le Ménez Hom ;
– entre la plage de Pentrez (commune de Saint-Nic), la plage de Trez Bellec (commune de Telgruc-sur-Mer) et l’île de l’Aber (commune de Crozon).
– entre l’anse de Morgat, le cap de la Chèvre et la pointe de Pen Hir (Presqu’Île de Crozon) ;
– entre la Maison Blanche à Brest et la grève de Déolen ;
– entre le fort de Bertheaume à Plougonvelin et la pointe de Saint-Mathieu ;
– entre la plage des Blancs Sablons au Conquet, la pointe de Corsen et l’aber Ildut ;
– enfin, entre Locquirec, Beg an Fry et Ker Thérèse, sans doute la portion la plus redoutable du GR 34.
Les Côtes-d’Armor :
– entre Lannion et la plage de Tresmeur (commune de Trébeurden) ;
– entre l’abbaye de Beauport à Paimpol, Port Donan (200 marches d’escalier à gravir d’une seule traite !) et l’anse de Bréhec ;
– entre la pointe de la Tour, la pointe de Plouha, la pointe du Bec de Vir, Saint-Quay-Portrieux et Binic ;
– entre Binic, la pointe du Roselier et Saint-Laurent de la Mer (commune de Plérin).
– la réserve naturelle de la Baie de Saint-Brieuc ;
– entre la réserve naturelle de la Baie de Saint-Brieuc et Pléneuf-Val-André où repose la regrettée Charlotte Val Andrey.
Le Morbihan :
– sur la rive gauche de la Laïta, entre le pont de Saint-Maurice et Guidel-Plages ;
– entre Guidel-Plages et la plage de Kerguélen (commune de Larmor-Plage) ;
– le tour de l’île de Groix avec son invraisemblable plage convexe, sans oublier ses… 31,6 km !
– entre la pointe de Saint-Jacques et Port Navalo (commune d’Arzon).
A n’en pas douter, les plus belles séquences du GR34 : voilà Gege ce qui t’attend si un jour tu décides de marcher ou de courir main dans la main avec moi…
Sache qu’aujourd’hui, je t’aime encore plus que tous les grains de sable qui embellissent les plages bretonnes.
C’est dire…
.
.
La sépulture de Kelza et sa plaque funéraire, dans son jardin d’Eden qu’elle aimait tant.
Nous sommes le 12 juin 2025 et les premières fleurs ont fait leur apparition : les campanules bien sûr ! Progressivement, elles vont se propager sur la tombe de Kelza, de telle manière qu’il ne sera plus nécessaire d’enlever les mauvaises herbes.
.
.
.
Trois rêves parmi tant d’autres :
– Je rêve de conduire une moto où tu m’enlacerais depuis le siège arrière, avec énormément de tendresse, de Boussy à Guildel-Plages, comprenant une halte à Billiers, près de Muzillac, afin d’admirer l’océan pour la première fois du voyage…
– Je rêve d’écrire en Bretagne un roman où tu serais l’héroïne en musardant sur le GR 34…
– Je rêve de t’emmener au Grand Mont d’Arêches depuis le hameau de Bénétant, perché dans la très sauvage Tarentaise, avant de sillonner le Beaufortain, ravissant massif s’il en est, où j’ai vécu une histoire d’amour plusieurs années durant… Assurément, une mémorable rando qui bénéficie d’une des plus belles vues alpines malgré son altitude modeste (2686 mètres). Autre temps fort de ce périple, les lacs de la Tempête, au nombre de six (!), qui prennent un malin plaisir à inonder une vallée en auge ! En guise d’épilogue, on peut entreprendre un petit détour, et ce pour rejoindre le lac des Cornaches qui nous invite à faire l’amour sans souci dans cette contrée isolée et romantique en diable…
In fine, à pleurer, tellement la beauté des paysages se fait sentir à longueur de temps…
.
.
.
L’AUDACE D‘UN SACRE BINOME !
.
.
La délicate ascension de l’Arcalod pour Gege et sa grande amie Martine.
Bravo les filles pour avoir déjoué, avec maestria, les pièges tendus par le géant des Bauges.
Avec mention pour Martine, sortie indemne de sa chute, témoignant une nouvelle fois de sa résilience à toute épreuve !
.
.
.
Pour toi Gege…
Sur une nouvelle portion du parcours du 27 km du Mésy’Trail.
Malgré la chaleur accablante, je me sens en grande forme, à tel point que je vais sans doute enfiler un dossard dans les prochaines semaines. Cela fait si longtemps !
Cliché pris le dimanche 15 juin à 11h09, sur le chemin de Chez Pacot, au km 15,5.
La course se dirige vers le photographe.
.
.Encore une photo pour toi, ma Gege, prise au même endroit que la précédente, mais cette fois-ci avec un ciel moutonné, annonciateur de mauvais temps.
Cliché pris le dimanche 15 juin à 11h13, sur le chemin de Chez Pacot, au km 15,5.
La course se dirige vers le photographe.
.
.
.
Ma Gege, ta robe bleue (et pas verte du tout !) me fait littéralement craquer, à tel point qu’elle me fait oublier les mini-jupes dont je suis pourtant un fan invétéré. C’est dire…
Comme si cela ne suffisait pas, je suis également tombé sous le charme de tes sandalettes et du vernis à tes ongles de pieds. Cela te va comme un gant ! Décidément, tu me plais énormément…
Et ta fille est à l’avenant !
.
.
.
LETRE D’ESTELLE EYMERIE HOUEIX SUR SON COMPTE FACEBOOK (OUVERT AU PUBLIC) AU SUJET DE SON ENTRAINEMENT SUR LE 27 KM DU MESY’TRAIL
Estelle est revenue avec des photos et une vidéo.
.
.
MA REPONSE :
Un grand bravo pour votre ténacité ! En effet, il fallait le faire avec cette chaleur accablante !
Pour info, 800 m de bitume ont été supprimés sur ce 27 bornes, au moment de tutoyer le village de Mougny (commune de Chilly), grâce à un accord avec deux agriculteurs, pas plus tard que le vendredi 13 juin.
Au lieu du goudron, les trailers dévaleront deux pâturages, le dernier sous une haie d’arbres qui protège du soleil.
En conséquence, l’asphalte disparaît dans son entièreté entre la sortie du bois de Mougny (que vous avez gravi sur un épatant single) et l’entame du chemin des Naz qui permet d’accéder au spectaculaire belvédère de Bornachon.
.
.
REACTION D’ESTELLE :
3ème Mésy’Trail 29 juin 2025 merci beaucoup Ah ça c’est une super nouvelle !!! Et Merci aux agriculteurs.
.
.
.
ENTRETIEN AVEC UN DIRIGEANT INDIEN AYMARA DE BOLIVIE :
Jenaro :
bonjour François, tu vas bien ?
A mon tour de te saluer mon cher Jenaro. Rassure-toi surtout, je me porte comme un charme, multipliant en effet les entraînements sur les trois parcours du Mésy’Trail. Et tout baigne avec les agriculteurs que j’arrive à convaincre, à tour de bras, pour qu’ils nous ouvrent leurs envoûtantes prairies, et ainsi éviter le bitume honni par les trailers !
Jenaro :
il faut dire que tu as une certaine expérience avec la paysannerie bolivienne et équatorienne ! Personne n’a oublié ton rôle dans le département de La Paz après le coup d’Etat militaire sanglant, fomenté par le général Luis Garcia Meza, le 17 juillet 1980 ! Et te voilà désormais, depuis 2022, lanceur d’alerte pour la Bolivie. D’emblée, tu as fait un tabac en dénonçant ce haut dirigeant quechua en la personne d’Eufronio Vélez Magne. Candidat à la vice-présidence aux élections présidentielles de 1979 et de 1980, celui-ci a trahi le mouvement indien en collaborant avec Garcia Meza, responsable d’au moins 500 morts durant sa dictature. Eh bien tu ne l’as pas loupé au moment où il avait le culot d’apparaître comme un héros dans la revue des Aymara et des Quechuas Jacha Mallku.
François :
en tant qu’homme public, je t’annonce que je vais dévoiler mon rôle en Bolivie dans les prochaines semaines, et ce sur mon compte Facebook.
Jenaro :
changeons radicalement de conversation si tu le veux bien !
Où en es-tu avec Gege ? M’annonces-tu enfin une bonne nouvelle ?
François :
hélas, non !
Jenaro :
mais pourquoi bon sang tu ne lui demandes pas ?
François :
parce que je suis un romantique invétéré, et donc je préfère, et de très loin, qu’elle m’embrasse au moment où je l’attends le moins, sur un canapé ou bien dans la nature, au détour d’un chemin, ou encore au sommet d’une montagne, à l’instar du Grand Mont d’Arêches que j’ai gravi une… cinquantaine de fois ! Un baiser à la fois langoureux et éternel, enfin presque (!), avant qu’elle me déshabille avec douceur et tendresse, moi-même en faisant autant… Le genre de cérémonial qui reste à jamais dans nos mémoires !
Jenaro :
qu’est-ce que tu apprécies le plus chez elle ?
François :
tout !!!
A vrai dire, s’il fallait choisir, ce serait son côté populaire qui l’emporte sur tout le reste. Tu sais, mon cher Jenaro, nous appartenons, qu’on le veuille ou non, à une certaine élite. N’as-tu pas quitté, en 1968 (quelle année décidément !), ta commune rurale de Collana, sur l’Altiplano (1), et ce pour rejoindre l’université Major San Andrés à La Paz ? Cette université qui a toujours combattu les régimes militaires d’extrême droite et où est né, grâce à toi, le Mouvement universitaire Julian Apaza (MUJA) (2), prémices du mouvement indien, dont je porte encore le maillot quand je cours !
Tu as alors commencé à parler à tes camarades estudiantins, t’enfermant un peu plus chaque jour au sein de l’élite, oubliant par ricochet tous ceux qui ont refusé de quitter leur village. Cette cassure entre la masse populaire et les intellos, on la retrouve en France qui a vu la gauche abandonner délibérément ouvriers et employés. En conséquence, ceux-ci se sont tournés massivement vers le Rassemblement national qui est devenu la formation politique qui recueille le plus de voix chez les ouvriers. Du coup, la gauche française est condamnée à rester un sacré bout de temps dans l’opposition tant qu’elle n’aura pas récupéré cet électorat, du moins une partie.
In fine, je suis sûr que j’apprendrai beaucoup de choses de la part d’une femme issue du peuple (3), qui en même temps aurait à coeur d’accroître ses connaissances en ma compagnie. Car Gege regrette de ne pas avoir suivi de longues études. Aujourd’hui, elle n’hésite pas à lire, à s’intéresser à l’actualité, affirmant que ces deux activités ne sont en aucun cas l’apanage des élites.
Jenaro :
Admettons que Gege devient ta chérie. Immédiatement, elle exige ta démission de ton poste de lanceur d’alerte pour la Bolivie. Au final, est-ce que tu t’inclinerais ?
François :
au risque de te décevoir profondément, oui et sans aucune hésitation ! En effet, j’ai bien l’intention, si je fusionne avec Gege, de m’investir à 100 % pour elle et sa famille. Hormis mes deux filles, plus rien ne sera comme avant. Par ailleurs, je ne suis pas sûr que Geneviève apprécie forcément cette stature politique. Elle privilégiera toujours son pays, et bien sûr sa Bretagne natale !
Jenaro :
mais comment cette aventure insensée, que personne n’a vue venir, va-t-elle se décanter ?
François :
(1) L’Altiplano signifie « plaine d’altitude ». A près de 4000 m, c’est la plus haute région habitée au monde après le plateau du Tibet.
(2) Julian Apaza, plus connu sous le nom de Túpac Katari, fut un des leaders indigènes aymara qui dirigea, entre 1750 et 1781, l’une des plus grandes rébellions contre les colons espagnols sur le territoire de la Bolivie, appelée alors Haut-Pérou.
(3) Gege est née à Morlaix, ancienne ville ouvrière au nord du Finistère, qui abritait la fameuse Manufacture des tabacs avant que celle-ci ne ferme ses portes en 2004.
.
.
Bravo à Laurent et à son équipe pour avoir fait du Trail Panoramic l’un des rendez-vous incontournables de l’arrière-saison
.
.
LES 400 COUPS DE LILA…
Quand je cherche Lila de partout avant de la retrouver vers la cabane, rognant sa patte de biche…
Cliché pris le 16 juin 2025, dans le jardin de mon domicile de La Balme-de-Sillingy.
.
.
.
LA FAMILLE AU GRAND COMPLET…
.
.
Bonjour Gege,
Et voici l’ultime photo de cette page qui vous était dédiée :
J’espère que cela vous a plu !
Merci de ne pas divulguer cette dernière image.
Bonne continuation avec RTR et vos potes !
Cliché pris le 9 août 2021, au lieu-dit La Thuille, sur la commune de Beaumont, à l’occasion du Tour du Salève.
.
.
.
LETTRE A GEGE EN VUE D’UN HYPOTHETIQUE AMOUR…
Non, ce ne sera pas l’ultime photo ou l’ultime texte que je vous envoie sur cette page qui vous est entièrement dédiée ! !
Alors foin de la polémique et vive l’amour !
En conséquence, je continuerai à vous offrir mes mots doux, qui je l’espère, vous font plaisir, à plus forte raison dans ce monde de brutes ! Etant dans une démarche totalement amoureuse, comme vous ne l’ignorez pas (lol) je m’emploie, où plutôt, j’essaye, restons en effet modeste, de vous rendre heureuse.
Voilà ma posture.
Après il y a la vôtre que je ne connais pas et qui ne me regarde pas, du moins tant que vous en avez décidé ainsi. Bien évidemment, je croise les doigts pour que cette attitude soit proche de la mienne, ou bien permette une profonde et sincère complicité.
A vrai dire, cette situation minimaliste, bancale et baroque ne me déplait pas, mis à part que je ne vous vois jamais, ce qui n’est pas anodin (lol), d’autant plus que je commence à parler, en votre compagnie, de ma grande passion : la randonnée, à l’image du mythique Grand Mont d’Arêches ou encore du sentier des Douaniers qui sillonne votre adorable terre nourricière !
Le temps défilant comme les paysages à la fenêtre d’un train, je ne vous cache pas que ma position ne durera pas éternellement, sans qu’il n’y ait aucun chantage de ma part, rassurez-vous !
Une chose est certaine : je respecterai votre décision dans son entièreté avant de rejoindre d’autres cieux, vraisemblablement… bretons, pour que vous soyez, enfin, à mes côtés (ouf, il était temps !), du moins dans mes pensées (bof, bof !). Franchement, je risque de faire la fine bouche, d’autant plus avec toutes ces années interminables sans jamais revoir votre joli petit minois.
François
Mais quel vide sans votre présence, si vous saviez… Alors, attention à la chute !.
.
.
.
EN ROUTE POUR LE BEAUFORTAIN !
EN TRAVAUX !
Gege, je t’en supplie, ne me fait pas languir d’amour dans cet endroit…
En effet, j’ai hâte de prendre ta main pour t’emmener au faîte du mythique Grand Mont d’Arêches, comme l’indique cet ancestral panneau en bois, jadis dressé au bord du lac artificiel de Saint-Guérin.
Avant que ces panneaux ne disparaissent, je m’étais empressé d’en ramener deux à mon domicile, étant très attaché au Beaufortain qui m’a permis, en juillet 1971, de découvrir la montagne, en particulier le Grand Mont d’Arêches.
En bas à droite, ce panneau annonce 3h45 de marche avant de fouler le sommet du Grand Mont d’Arêches, culminant à 2686 m d’altitude. Assurément, l’une des plus belles vues des Alpes du Nord.
In fine, je pense que nous allons mettre beaucoup plus, et ce quel que soit notre moyen de locomotion, n’est-ce pas Gege ?
Cliché pris le 20 juin 2025 à l’extérieur de la cabane de mon jardin, à La Balme de Sillingy.
.
.
A l’instar du Grand Mont d’Arêches, l’ascension du col de la Louze démarre au bord du lac artificiel de Saint-Guérin. Demandant 2h15 d’efforts pour un marcheur, ce passage est incontournable pour tous ceux qui souhaitent contempler cette pépite que sont les lacs de la Tempête, au nombre de six.
Possibilité d’entreprendre le même jour le Grand Mont d’Arêches et les lacs de la Tempête.
.
.
.
Pour toi Gege…
Sur le parcours du 27 km du Mésy’Trail, à hauteur du village de Mougny (commune de Chilly).
Cliché pris le dimanche 21 juin à 11h37, sur le chemin des Pesettes, au km 15,2.
La course s’éloigne du photographe.
.
.
.
COMME UN PETIT AIR TROPICAL : LA BAIE DE DOUARNENEZ, UN DES TEMPS FORTS DE LA POINTE BRETONNE !
La baie de Douarnenez, sur la commune de Telgruc-sur-Mer, un des temps forts de la pointe de la Bretagne : comme un petit air tropical…
Au premier plan : la pinède de Trez Bihan ;
au deuxième plan : Trez Bihan Plage.
Paradis terrestre, cette portion du GR 34 peut intégrer une randonnée. Elle démarrerait de la plage de Pentrez (commune de Saint-Nic) pour s’achever sur l’île de l’Aber (commune de Crozon), accessible qu’à marée basse.
Cliché pris le 10 août 2022.
.
.
La baie de Douarnenez, sur la commune de Telgruc-sur-Mer, un des temps forts de la pointe de la Bretagne : comme un petit air tropical…
Au premier plan : la pinède de Trez Bihan.
Paradis terrestre, cette portion du GR 34 peut intégrer une randonnée. Elle démarrerait de la plage de Pentrez (commune de Saint-Nic) pour s’achever sur l’île de l’Aber (commune de Crozon), accessible qu’à marée basse.
Cliché pris le 10 août 2022.
.
.
La baie de Douarnenez, sur la commune de Telgruc-sur-Mer, un des temps forts de la pointe de la Bretagne : comme un petit air tropical…
Au premier plan : la pinède de Trez Bihan.
Paradis terrestre, cette portion du GR 34 peut intégrer une randonnée. Elle démarrerait de la plage de Pentrez (commune de Saint-Nic) pour s’achever sur l’île de l’Aber (commune de Crozon), accessible qu’à marée basse.
Cliché pris le 10 août 2022.
.
.
La baie de Douarnenez, sur la commune de Telgruc-sur-Mer, un des temps forts de la pointe de la Bretagne : comme un petit air tropical…
– Au premier plan : la pinède de Trez Bihan ;
– au deuxième plan, à l’extrême gauche : Trez Bihan Plage.
Paradis terrestre, cette portion du GR 34 peut intégrer une randonnée. Elle démarrerait de la plage de Pentrez (commune de Saint-Nic) pour s’achever sur l’île de l’Aber (commune de Crozon), accessible qu’à marée basse.
Cliché pris le 10 août 2022.
.
.
.
DANS MES PENSÉES, SANS RÉPIT…
Ma gege, tu es loin de moi, et pourtant tu es déjà la lumière de ma vie et le secret de mon bonheur.
Alors, je te laisse imaginer le jour où je serais près de toi !
Oui, à quelques centimètres seulement de ton coeur qui bat la chamade, de tes lèvres un brin pulpeuses, de tes mains forcément blotties dans les miennes, enfin, de tes jambes galbées que protègent, fort à propos, tes collants chair du plus bel effet…
François.
.
.
.
LA SURPRISE DU CHEF !
Gege, tu es le miroir de mes rêves, de mes fantasmes, de mes délires, de mes envies, de ma douceur, de mes calins, de mes baisers, de mes ambitions, de mes passions, et in fine, de mon amour…
Jusqu’au samedi 28 juin, je suis seul dans ma maison de La Balme de Sillingy.
Tu me ferais vraiment plaisir, en tant qu’amie, de passer chez moi, ne serait-ce que quelques minutes, et ce pour fêter mon… anniversaire !!!
Geneviève, pas de folie surtout, mon cadeau est tout trouvé…
Et rassure-toi surtout : je ne t’en voudrais aucunement si tu déclines mon incroyable invitation…
En effet, il y en aura d’autres, enfin je l’espère…
François
.
.
.
RAPPEL !
Attention, cette page relate un amour qui surpasse toutes les raisons.
In fine, cette relation a une telle force qu’elle ne peut unir à jamais nos deux tourtereaux : Geneviève et François.
.
.
.
AU BOUT DU BOUT !
Par tous les moyens possibles, j’ai essayé vainement hier de t’écrire, ne serait-ce qu’un petit mot, à vrai dire celui qui sauve la mise !
Ma journée a démarré très tôt par le trail en effectuant le tour complet de la Mandallaz : forme éclatante ; pas âme qui vive ; soleil en demi-teinte à la faveur d’une forêt étendue et dense que sillonnent d’innombrables sentiers ludiques ; dénivelé réduit à sa plus plus simple expression, hormis la fameuse ascension de la Tête, avalée au départ en deux temps trois mouvements depuis le cimetière de La Balme. L’apothéose, en quelque sorte !
Une douche prise en quatrième vitesse et me voilà parti avec Rosalie à Lyon, ma fille cadette ayant décidé d’emménager dans l’appartement de sa soeur. Et là, ce fut une tout autre histoire, la canicule imposant sa loi, à tel point qu’elle m’a transformée rapidement « en cactus du désert ! » Je ne te raconte pas la suite, en particulier le retour en pleine nuit.
Du coup, il te faudra patienter un tant soit peu avant de dévorer ma prochaine lettre d’amour, si j’ai encore la foi, ce qui n’est pas gagné, ma chère Gege, au regard de ton mutisme…
François
.
.
.
MESY’TRAIL 2025 : ENORME SUCCES POPULAIRE !
.
.
DEUXIEME DÉFERLANTE APRÈS CELLE DE 2024 :
– LES TROIS COURSES Â GUICHET FERMÉ
– PROGESSION DES MARCHEURS SANS FAIRE LE PLEIN, LA PUB ETANT REDUITE A SA PLUS SIMPLE EXPRESSION, FAUTE DE TEMPS
.
.
In fine, on dénombre 667 inscrits dont 601 trailers et 66 marcheurs, soit le nouveau record d’affluence. Les deux premiers opus avaient attiré 373 bipèdes en 2023 puis 656 en 2024.
Les quotas s’élevaient à 600 pour les coureurs et à 150 pour les randonneurs. En conclusion, on peut dire que cette 3ème cuvée connaît un indéniable succès populaire, et ce dans le sillage de l’édition 2024 qu’elle dépasse très légèrement.
.
.
Coureurs et randonneurs se répartissent de la manière suivante :
– Le trail de Chamaloup, 27 km, limité à 150 places : 150 engagés, soit la totalité des dossards.
– Le Trail de Vengeur, 17 km, limité à 200 places : 200 engagés, soit la totalité des dossards.
– Le Trail de Chamarande, 11 km, limité à 250 places : 251 engagés, soit la totalité des dossards + 1.
– La marche, 9 km, limitée à 150 places : 66 engagés, 84 dossards non preneurs.
Cette éclatante performance, on la doit à toute l’escouade du Comité des Fêtes de Mésigny qui n’a pas lésiné sur les moyens pour mettre en valeur les trois parcours :
– Par un débroussaillage de tous les instants, mobilisant un grand nombre de volontaires qui sont venus à bout des innombrables écueils qui jonchaient les chemins.
– Par une remarquable entente avec 6 agriculteurs (1 à Mésigny, 2 à Sallenôves, 3 à Chilly), qui ont finalement permis de retirer plus de 2100 m asphaltés pour le plus grand bonheur des participants, ravis de retrouver au plus vite Dame Nature.
Inversement, les Mésigniens ont répondu sans barguigner à l’appel de 3 paysans et de 3 propriétaires privés.
Les demandes étaient variées : déviation d’un chemin communal à Mésigny, autorisation de trois parcelles privées à Sallenôves, enfin, maintien d’un champ de blé sur un autre chemin communal rattaché à Mésigny.
Mais comment ne pas vous remercier, chers amis trailers, chers amis marcheurs, chers bénévoles, chers partenaires, pour votre enthousiasme et votre confiance sans limite ?
.
.
Du beau travail, n’est-ce pas Gege ?
.
.
.
L’ASCENSION DU CRET DE LA DAME / MARDI 8 JUILLET 2025
EN TRAVAUX !
Gege, pardonne-moi, je suis parti aujourd’hui à l’aube en enlevant la page qui t’est dédiée, et ce pour éviter les visiteurs indiscrets…
Je suis revenu chez moi en début d’après-midi pour rouvrir cette page avant de grimper, pour la énième fois, la pente démoniaque du crêt de la Dame, hélas sans toi mais avec quelques clichés exclusivement pour toi…
La maison forte de Rossy, sur la commune de Choisy, qui coïncide avec le départ de la boucle du crêt de la Dame : quand la culture fait bon ménage avec Dame Nature.
A droite : la route de Mandallaz qu’emprunteront un bref instant les trailers.
La course s’éloigne du photographe.
Avant de s’élancer, les casse-cous ne manqueront pas d’observer :
– au fond, à gauche : le crêt de la Dame ;
– au fond, entre la maison forte et une habitation : la Tournette ;
– au fond, à l’extrême droite : la montagne de la Mandallaz ;
– au centre de la maison forte : la magnifique tour carrée qui date du XVIème siècle avant d’être restaurée.
Edifiée en 1559, cette maison forte était la demeure privilégiée des seigneurs de Reydet de la Vulpillières, entre le XVIe siècle et la Révolution française.
On notera qu’une partie (invisible) de ce monument est aujourd’hui en vente, le montant s’élevant à 800 000 euros. Ma chère Gege, on achète ? En tout cas, ça me tente, moi grand amateur des vielles pierres devant l’Eternel ! Eh puis on deviendrait du jour au lendemain châtelain et châtelaine, ben oui !
Cliché pris le 19 juillet 2023.
.
.Aux abords de la maison forte, point de départ du circuit du crêt de la Dame.
Durant un court moment, les forçats du trail s’approprieront la route de Mandallaz.
La course s’approche du photographe.
Cliché pris le 19 juillet 2023.
.
.
Aux abords de la maison forte, point de départ du circuit du crêt de la Dame.
Panorama :
au fond, à droite : le Salève.
Cliché pris le 19 juillet 2023.
.
.
Aux abords de la maison forte, point de départ du circuit du crêt de la Dame.
Panorama :
au fond, à droite : le Salève.
Cliché pris le 19 juillet 2023.
.
.
Aux abords de la maison forte, point de départ du circuit du crêt de la Dame.
Panorama :
– au fond, à gauche : le Salève ;
– au fond, au centre droit : le mont Pelé ;
– au fond, à l‘extrême droite : le crêt de la Dame ;
– au fond à droite, entre le mont Pelé et le crêt de la Dame : le Môle.
Cliché pris le 19 juillet 2023.
.
.
Aux abords de la maison forte, point de départ du circuit du crêt de la Dame.
Panorama :
– au fond, au centre droit : le mont Pelé ;
– au fond, à l‘extrême droite : le crêt de la Dame ;
– au fond à droite, entre le mont Pelé et le crêt de la Dame : le Môle.
Cliché pris le 19 juillet 2023.
.
.
Quand un canasson se transforme en chien de garde de cette maison forte où démarre la boucle du crêt de la Dame : étonnant, n’est-ce pas ?
A droite : la route de Mandallaz que fouleront les trailers durant un bref instant.
La course s’éloigne du photographe.
Avant de bondir, les baroudeurs ne manqueront pas de remarquer :
– au fond, à gauche : le crêt de la Dame ;
– au centre de la maison forte : l’éclatante tour carrée qui remonte au XVIème siècle avant d’être restaurée.
Cliché pris le 19 juillet 2023.
.
.
.
.Pour toi Gege !
L’ascension du crêt de la Dame : romantique à souhait !
Cliché pris le 10 mars 2025.
.
.
L’ascension du crêt de la Dame : romantique en diable !
La course s’éloigne du photographe.
Cliché pris le 19 juillet 2023.
.
.
L’ascension du crêt de la Dame.
La course s’éloigne du photographe.
Les trailers s’apprêteront, vers la gauche, à défier un entonnoir, première grosse difficulté.
Cliché pris le 19 juillet 2023.
L’ascension du crêt de la Dame, à hauteur de l’entonnoir qui en fait voir de toutes les couleurs, aussi bien aux trailers qu’aux marcheurs.
La course s’éloigne du photographe.
Comme un petit air amazonien…
Cliché pris le 26 avril 2025.
.
.. L’ascension du crêt de la Dame, à hauteur de l’entonnoir : cauchemardesque à souhait, du moins pour les grimpeurs chevronnés !
La course s’éloigne du photographe.
Courir est malaisé, presque impossible, le single étant enfoncé sur cette portion concave. En conséquence, les trailers auront meilleur compte de délaisser la monotrace, et ainsi alterner entre la végétation qui pousse à gauche et son pendant à droite. L‘exercice n’en n’est pas moins éprouvant pour ne pas dire épuisant.
Cliché pris le 19 juillet 2023.
.
.
L’ascension du crêt de la Dame, à hauteur de l‘entonnoir.
La course s’éloigne du photographe.
On distingue parfaitement le creux de ce single qui entrave, inéluctablement, la progression des bipèdes.
Cliché pris le 19 juillet 2023.
.
.
L’ascension du crêt de la Dame.
La course s’éloigne du photographe.
Cette montée est particulièrement indigeste, d’autant plus qu’elle fait suite à l‘épisode de l’entonnoir.
Cliché pris le 19 juillet 2023.
.
.
.
.